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Jose Noce
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Les troubles d'un ex prof plongé dans une paranoïa éblouie sous le soleil d'Italie. Une villégiature riche et débilitante à la fois, un roman original arrosé au limoncello et baigné du bruit des cigales...
[...] Pensez, se souriait-il en haussant involontairement les épaules, il fallait, entre autre, qu'il la rencontre, elle, et dans la plus grande discrétion, cette magnifique pute de luxe, si redevable en haut lieu de tant d'intelligentes compassions.
Il ne put pas s'empêcher de produire un petit rire sarcastique à peine étouffé.
Eh oui cette bombe humaine était paradoxalement le catalyseur indispensable de l'histoire, une effigie vivante du raffinement libidinal.
En définitive, se marmonnait-il de plus en plus grassement, elle n'a pratiquement rien su cette diablesse. Elle avait le feu vert sommital c'est tout. Et comme lui, le compagnero, elle avait circonstanciellement carte blanche.
Elle serait la « chèvre-émissaire », ça l'avait fait sourire l'expression, le temps d'une séduction éclair.
Il fallait vite charmer, dévoiler...
Elle, elle avait dit avec un petit accent de l'Est qu'elle allait : « Dessiner avec son corps des courbes asymptotiques », c'était exactement ses termes. Asymptotiques, putain !
Maintenant qu'il y pensait, il lui apparut qu'elle était sans aucun doute possible du type péripatéticienne, mais très cultivée, en tout cas beaucoup plus que ce qu'il en avait pu imaginer au premier contact...
Elle avait même rajouté avec une moue enfantine : « Autour d'une érection concupiscente de macho gras »...
Dingue !
Un beau jour sur une petite île, un type est débarqué d'un hélico avec une oreille en moins, et un petit trou en plus dans la tempe. Sur le point de trépasser, on le ranime avec toutes sortes de petits cailloux blancs aiguisés comme les dents des requins du même métal. Doucement, avec plus ou moins de tact, on ressuscite sa surprenante réalité. Entre flashback émoussés et thérapies de pointe, notre homme, ex professeur de lettres, va revivre, dans tous les sens du terme, le parcours de son existence rocambolesque. Aussi le voyage autour du monde de ce drôle de zigoto est-il à cataloguer dans le registre : pertes et fracas...
Après Villa confusione, José Noce nous entraîne à nouveau dans son imaginaire frappadingue. Il a emprunté son titre à Nietzsche. À lire, à l'ombre des pins, un limoncello à portée de gosier... Que du bonheur ! -
Pétulante septuagénaire, Malena narre ses frasques sexuelles à ses petites filles.
« C'est donc d'abord pour vous, Eva et Anna, que je me confesse ici, à votre demande, sachant que dans ce verbe « confesse », en principe auto flagellant, se cachent en catimini les parties anatomiques les plus sollicitées de mes hauts faits existentiels. Pour reprendre les termes de Paco Ignacio Taibo II, mon péché mignon préféré recto verso, je l'ai perpétré des foutièmes de fois,... »
L'ennui avec les nouvelles de José Noce, c'est leur caractère trop court inhérent au genre. Car quand, c'est bon, on en redemande. Ska est certain que la sémillante Malena a davantage encore de confessions dans la besace de sa mémoire piquante. S'il vous plait, Monsieur Joe !
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Libido flapie ? Qui n'a pas rêvé d'une cure de sexothérapie à Cool-Land ?.... d'un massage réparateur par exemple...
« Elle lui caressait en cercles de plus en plus petits les fesses et les lombaires, toujours en symétrie parfaite, appuyant pourtant en pressions décalées sur certains points stratégiques, véritables carrefours innervés, transformant alors la chair à peine effleurée en brasiers éphémères. Se penchant progressivement jusqu'à poser ses lèvres sur le bas du dos, elle lui susurrait des sortes d'onomatopées frissonnantes tandis qu'elle insinuait ses cercles digitaux le long de la raie culière écartée à mesure. »
Les caresses délivrées par de jolies masseuses hantent l'imaginaire de José Noce. Après sa nouvelle Sainte Lucie, il nous livre Cool-Land, sorte de lupanar soft où l'on répare le désir en berne des messieurs et des dames à l'aide du savoir tactile de savantes hôtesses et de virils masseurs.
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Au pays merveilleux de la gaudriole, la princesse s'appelle Monique qui donne sa langue rabelaisienne à tous les chats gourmands...
« Il était une fois une princesse moche comme un pou, de la tête jusqu'au cou. Mais alors très super bien roulée, en dessous jusqu'aux orteils. Par exemple elle avait deux nibars melons moulés à la Marylin qui pointaient aux nues dans un décolleté vertigineux, et un petit cul fendu à l'Angelina qui se cambrait aux vents pour un rien. Elle vivait dans une sorte de bois enchanté quelque part du côté de Montbéliard qu'on aurait pu appeler la zone... »
On connait la fantaisie langagière de José Noce et son imagination primesautière. Dans ce conte iconoclaste qui fraye avec les fossés de traverse d'une lubricité débridée, son style vivace fait merveille. Une régalade rigolote !
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Quand l'esprit fait l'amour... cela enfante des petits bonheurs qui tiennent en une phrase.
« Succulent petit cul rond doucement cambré sous les dents.
Les entorses aux interdits permettent de bien prendre son pied.
Les sillons les plus fertiles innervent le champ de l'oreiller...
Il faut parfois faire sortir l'étreinte de ses rails. »
L'amour sous toutes ses formes, sous toutes ses coutures, au fil rose d'une fantaisie joyeuse, en quelques mots choisis pour chaque situation... Les points de suspension vous mènent dans le champ des rêves, du sourire voire du rire. À lire sans modération. À déguster, à partager. Une dose par jour et plus si la morosité persiste. -
L'hôtel Tennyson Arms sur l'ile de Salina est exceptionnel de luxe et de beauté... Malheur à ceux qui viennent troubler ce paradis...
« Il saisit un fusil à lunette avec silencieux qui reposait sur un socle et le lui mit délicatement dans les bras. Sans un mot, il lui désigna une cible dans un angle. Elle s'exécuta. Elle y vida les quatre balles du chargeur avec lenteur, mais sans la moindre hésitation. En réglant à chaque fois son souffle. Il lui fit signe de reculer et alla vérifier les impacts. Une minute plus tard, ils repartaient en souriant vers le bar de l'hôtel... »
José Noce n'a pas fini de nettoyer le monde. On parle de nettoyage éthique concernant ces missions salutaires conduites par des héros obscurs, sorte d'éboueurs planétaires. Après la compil' Sniper qui vient de paraitre, Mister Jo reprend du service... avec des dames... -
« Homme libre, toujours tu chériras la mer... » : 150 vaguelettes d'intelligence et de poésie en guise de réponses à l'injonction du poète...
« La lune a le même diamètre qu'un joli cul de femme fantasmée par une nuit d'ivresse au bord d'une mer claire.
- Je me mélangeais à l'air, à la terre, à la mer, quand j'étais gosse, rien qu'en fermant les yeux, tout nu, pendant la sieste quelque part en Sardaigne, derrière les volets fermés aux cigales soules...
- La lune a le même diamètre qu'un joli cul de femme fantasmée par une nuit d'ivresse au bord d'une mer claire. »
José Noce récidive. Après « 100 doses de bonheur pour s'envoyer au ciel » il nous livre ses réflexions en forme d'aveux énamourés pour la mer, celles qu'il a connu lors de ses voyages et celles qui le font rêver. A lire sous le parasol, un verre de limoncello à portée de gosier...
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Violette, plus bécasse mouchetée qu'oie blanche, est initiée aux plaisirs iconoclastes...
Pour sa première saison lesbique, au menu : d'abord le baiser colombin mixte, dit aussi french kiss, avec subtilités linguales dans leurs torsions buccales plus ou moins salivées...
Entrée en matière très appréciée de Violette qui doubla de son propre chef chaque proposition linguale.
Puis en plat de résistance le cunnilingus basique, avec les succions étagées du petit bouton augmentées progressivement de vibrations digitales ou mécaniques...
Et Violette retrouva alors, en plus épicés, certains troubles déjà expérimentés avec des camarades de classe hardies, voire avec quelques maîtresses d'internat lubriques beaucoup plus poilues...
José Noce, artiste plasticien, a délaissé un temps ses compostions d'encres colorées, et tant mieux... pour nous dresser le tableau d'une drôlesse innocente s'abimant entre les bras et les cuisses d'accueillantes hôtesses. Et elle apprend vite la bougresse !
Bécasse mouchetée,
José Noce, nouvelle, collection Culissime, 2.99 EUR
9791023407747
Fiction, littérature, nouvelle érotique, saphisme, lesbienne, société secrète
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Les apprentissages sensuels d'une fille au père sur l'ile de Sein...
« Cybèle était aussi déjà partie prenante quand Laila lui planta canines et ongles dans ses fesses frémissantes. Cybèle prit même les devants en écartant les cuisses généreusement, quand Laila tête-bêche lui fouilla la fente noyée de ses doigts fins et lui téta conjointement l'anus en cercles de plus en plus rapprochés. Jean, à côté, sur le ventre, hoqueta en langage phoque épuisé, puis se rendormit encore plus loin. Quand Cybèle rendit grâce une heure plus tard en soupirant longuement comme une enfant repue, Laila les yeux exorbités décida de se finir le vertige en se caressant avec les orteils des petits pieds mignons de Cybèle à peine endormie, qu'elle avait fichés en elle comme de petites ventouses huilées... »
Avec ce titre impossible, le facétieux José Noce nous entraine sur une ile bretonne battue par les vents et les vagues. Son héroïne, à peine sortie de l'adolescence, apprend avec enthousiasme les rudiments de la jouissance en société. Illustrations d'un hédonisme au goût de sel dans le style « nocien » toujours aussi jouissif. -
Ces bienfaiteurs n'ont peur de rien. Il faut bien nettoyer les ordures qui polluent la planète, et eux se dévouent en flinguant à tout va...
« Madère regroupait déjà quelques brebis égarées du troupeau VIP des Nettoyeurs Internationaux Révolutionnaires. Les fameux NIR, qui écumaient la surface de la terre de tous ses parasites notoires, depuis la fin de la deuxième guerre mondiale. Sans que jamais, jusqu'alors, on eût pu mettre un nom sur leurs faits d'armes à dominantes éthiques. Aussi, comme pour deux ou trois autres îles éparpillées de par le monde, celle-ci, à mille kilomètres de Lisbonne et à la latitude de Casablanca, servait-elle de repli stratégique, accessoirement de maison de repos pour la vieille garde, et concrètement de réserve financière anonyme depuis de nombreuses années. Les NIR avaient un pion décisif sur chaque île choisie... »
Exutoire ou projet politique ? Faut-il que José Noce cet écrivain pacifique et amoureux de la vie, soit pétri de colère pour vouloir, par personnages interposés, tirer dans le gros tas des salauds qui salissent la planète et ruinent l'espoir. Il n'est pas au bout de ses peines, la série comprend encore de nombreux épisodes.
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Une jolie femme un peu perverse ne se dévoile qu'en ligne, de préférence en douce compagnie féminine, et affame son amant virtuel consumé de désirs...
Lucine lui révéla peu à peu sa sensualité explosive, sa bisexualité épanouie, occasionnelle mais récurrente, ses expériences de triolisme raffiné avec Paul son défunt mari et Elsa une éditrice de livres d'art néerlandaise qu'ils avaient connue à la suite d'un projet d'édition commun.
Paul était photographe professionnel pour un magazine de mode branché, et freelance pour des nus artistiques très osés.
Lucine, agrégée depuis cinq ans, avait été récemment promue docteur en droit international, chargée de cours en master 1, à l'université de Paris 2.
Elle écrivait sous le manteau, et sous pseudo, des romans érotiques aussi pervers que brillamment léchés, en interactivité continue avec des lectrices et des lecteurs assidus pour concevoir d'autres aventures croustillantes à son héroïne Lana, jeune fille très ouverte aux multiples sollicitations coquines, selon les divers penchants sexuels suggérés.
Dans cette nouvelle enjouée, où la sexualité est traitée en art majeur, José Noce nous offre un de ces feux d'artifice littéraire et poétique dont il a le secret. L'amour comme antidote à la sinistrose, pétrie de joie et de liberté.
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L'éducation érotique d'une Nippone friponne. Au pays du soleil levant, la belle asiatique soulève les coeurs...
Elle était nue, encore mouillée de plaisir, cambrée devant le miroir ovale de sa chambre rose qui occupait une aile entière des résidences impériales de printemps.
Elle entendait au loin les rires hauts perchés des convives s'adonnant aux festivités de son seizième anniversaire.
Son corps magnifique était déjà celui d'une geisha accomplie.
Ses seins pointaient fièrement les cieux. Ses fesses s'écartaient en frissonnant vers l'enfer. Elle caressait, ou plutôt elle flattait ses courbes fraîches, qui doucement étaient en train de disparaître de son champ de vision.
José Noce est un amoureux de la langue puisée dans les ouvrages des meilleurs auteurs qu'il fréquente depuis son enfance. Il la restitue avec flamboyanc et et poésie sensuelle.
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Enfance, terre merveilleuse d'interrogations et de curiosité, terre de poésie. Personne mieux que José Noce ne pouvait l'évoquer en la magnifiant de ses illustrations colorées et subtiles...
1) Quand on avait l'âge des récitations par coeur, notre voix avait cent issues...
2) J'ai bobiné à mon coeur d'enfant le fil de l'horizon. Pas le tout raide, non, mais celui qui s'estompe comme un mirage bleu en se tortillant dans une larme.
3) Les enfants jouent avec l'éternité à coups de marelles expertes et de lucidités débutantes.
4) Enfant, j'étais moi-même, en culotte courte maculée de tout, et en même temps plein d'illustres héros moulés dans des combinaisons secrètes nickel bourrées de muscles, jusqu'au sommeil de l'ourson repu de miels imaginaires.
Dans ce voyage au pays l'enfance, José Noce, écrivain poète et artiste, nous offre une promenade légère et grave à la fois. Ses illustrations embarquent le lecteur au pays des rêves, quand ce ne sont pas dans les souvenirs, car dans les folisophies tout est possible...
150 folisophiques pour apprivoiser son enfance, José Nocé, aphorismes, collection Mélanges, 3.99 EUR
9791023408287
Fiction, littérature, aphorismes, peintures, encres, rêves, poésie -
Des monitrices de sports d'hiver sexy et brulantes qui font fondre plus que les coeurs...
NOUS Y VOILA MA POULE, sourit Eve, tout en malaxant comme une kiné à fond dans son programme de remodelage musculaire les fesses rebondies de Lola, qui charmée par l'exotisme du site de carte postale n'esquissa aucun mouvement de rejet, réconfortant ainsi les projets collatéraux de la monitrice en rouge... Avant de commencer, ajouta-t-elle, le regard pétillant, on va direct se boire un bon kawa italien et des petites giclées de chartreuse verte de la cave à papa, histoire de nous harmoniser chaleureusement avant l'effort...
Un slalom géant autour des figures multiples de l'amour charnel joyeux et sans chichi par un maître du genre, José Noce, dont la plume tient ici la forme olympique... -
Douce folie des mots...
Avant, certains de mes poèmes étaient déguisés en aphorismes, mais je les ai reconnus, pendant une partie de lecture cache-cache, dans mes recueils intitulés : Folisophies, La vie est beautyfolle, et Aphorisiaques...
Je les ai alors retouchés des yeux, et leur ai dit en souriant « chat » ou « chatte », selon les circonstances !
Voilà pourquoi ils sont redevenus Ti-poèmes, parce qu'en plus ils sont pour la plupart vraiment tout petits...
Avant
Je me prenais
Pour
Quelqu'un
Maintenant
Je me prends
Par la main
La typographie est toujours révélatrice, surtout pour extraire des aphorismes de José Noce toute la substance poétique dont ils sont chargés. Un régal à lire et à déclamer entre amis.
José Nocé nous ramène en enfance, songeuse et rieuse... Des mots comme des caresses qui chatouillent, c'est la poésie de José Noce...
Version papier chez Horsain -
Un peu de poésie, dans ce monde ultra libéral, entre folie douce et couleurs chantantes, offerte comme sur un plateau par José Noce.
Tous les mots de mes écrits sont composés de fibres artificielles mais recyclables, fabriquées à partir de dicos divers, existants ou inventés, de molécules plus ou moins esquintées, de pensées nomades éparses, d'émotions diluées, d'envies d'éponger un peu de ma dette envers plein d'auteurs internationaux, et la vie en général...
Ces aphorismes sont extraits dans l'ordre de mes recueils d'aphorismes :
Au petit bonheur
La vie est beautyfolle
Aphorisiaques
Folisophies...
Ce petit recueil bourré d'illustrations qui jettent de la joie comme des miettes de bonheur aux oiseaux a été composé à partir d'aphorismes existants et pourtant, tout parait neuf tant José Noce y met de coeur et de fraîcheur. -
Trois soeurs, trois Grâces, converties à l'érotisme le plus torride...
[...] Les trois Grâces se composaient de : Marthe, l'aînée, trente-quatre ans, de père italien, Giuseppe, riche diplomate, papa poule. Brune pulpeuse aux yeux noisette, férue d'escalade et de motos. Elle était interne en psychiatrie de l'addictologie dans une clinique privée à Paris, gant d'argent de boxe française...
Sa soeur, Clara, brune extravertie aux yeux émeraude, avait un père allemand, Otto, rentier, colonel d'infanterie en retraite, papa poule. Marathonienne et ceinture noire de judo, la plus jeune, vingt-six ans, officiait comme professeure et chorégraphe de danse classique à l'opéra national de Lyon.
Suzanne, celle du milieu, trente ans, de père norvégien, Markus, capitaine au long cours, actionnaire majoritaire d'une compagnie maritime de fret internationale, papa poule, était-elle aussi une belle brune, mais aux yeux bleu turquoise, adepte du fitness quotidien à haute dose, agrégée de philosophie, professeure en école supérieure de commerce international à Brest, troisième dan d'aïkido. [...] -
Une jeune fille parfait son éducation sensuelle
Violette avait été dès l'enfance très influencée par son prénom, moralement et physiologiquement.
Bertrand Tsiprine, son père, pianiste soliste international, et Line, sa mère, artiste plasticienne dilettante, tous deux intellectuels hédonistes, pourtant loin d'être cons, l'avaient choisi, un soir d'été, quand les nuages, au-dessus de leur villa secondaire, dans le massif du Lubéron, donnaient l'impression de s'accoupler, instillant dans le ciel rosé comme des rayures mauves tirant élégamment vers le pourpre.
Ainsi Violette avait d'abord appris peu à peu à apprécier le parfum de cette fleur subtile, qui d'après le Feng Shui, est liée à l'intellect et à la spiritualité. Elle en vaporisait partout, allant jusqu'à en imprégner ses petites culottes et ses mouchoirs brodés d'un V. majuscule. [...]
Suivons Violette dans ses vagabondages libertins et joyeux, sans tabous...