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Bandes dessinées
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Maeva, 15 ans, est amoureuse. Très amoureuse. Timide, aussi, très timide.
Bourrée de complexes, pour ne rien arranger. L'élu de son coeur ? Sanjay, aussi mystérieux que son prénom, un garçon solitaire qui fréquente le même établissement qu'elle, côté lycée. Maeva s'arrange pour le croiser " par hasard " sur le chemin du collège et au parc, où elle traîne avec ses copines Lou et Nora. Elle espère qu'il la remarque et en même temps, redoute ce moment. Un après-midi, le miracle se produit. Sanjay s'assied à côté d'elle dans le bus. De fil en aiguille, Maeva apprend que Sanjay a une passion, les danses de salon et plus particulièrement le tango. Il l'invite à assister à un cours mercredi après-midi, à l'école de danse. L'adolescente arrive très en avance ; elle a peur qu'il se soit moqué d'elle. Mais Sanjay est ravi qu'elle soit venue. Il profite du cours pour inviter la jeune fille à danser. Une rude épreuve pour Maeva.
Histoire inspirée du poème Je vis, je meurs de Louise Labé. -
Fais pas ta gamine !
Charlotte Bousquet, Stéphanie Rubini
- Gulf Stream
- 16 Septembre 2021
- 9782354889012
Plus d'appareil dentaire, presque plus d'acné, des seins qui se décident enfin à pousser... Je ne suis pas encore aussi jolie que Solveig ou Chloé, mais au moins, je n'ai plus l'impression d'être un grand sac d'os. Léo aussi l'a remarqué, puisque ça y est, nous sommes ensemble ! Il ne se passe plus une journée sans que nous soyons collés l'un à l'autre. Après des années d'insignifiance absolue, je suis enfin « celle-qui-sait ». Évidemment, ça rend les copines super curieuses : Annabelle, il embrasse bien Léo ? Annabelle, vous avez été jusqu'où ? Ça me gêne un peu. Surtout, je ne sais pas trop quoi leur répondre. Léo a envie de plus, mais moi, de quoi ai-je vraiment envie ?
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Mots rumeurs, mots cutter
Charlotte Bousquet, Stéphanie Rubini
- Gulf Stream
- 4 Septembre 2014
- 9782354882365
Mots rumeurs, mots cutter.
Je me suis levée, les mains tremblantes. J'entendais des chuchotements, des rires dans mon dos. J'ai pris le morceau de craie, regardé les chiffres inscrits sur le tableau. Des fractions qui auraient dû être faciles, des fractions qui se délitaient devant moi, des chiffres bizarres, monstrueux, qui me frappaient comme les insultes et les ricanements, comme la vérité qui me sautait au visage...
Charlotte Bousquet et Stéphanie Rubini.
Charlotte Bousquet, l'auteure, et Stéphanie Rubini, l'illustratrice, se sont rencontrées autour de Précieuses, pas ridicules, un abécédaire décalé sur l'art et le féminisme. Après maints cafés, glaces et discussions, elles ont décidé de se lancer dans un nouveau projet : une série dont le premier opus, Rouge Ttagada, a été remarqué par la critique. Messages discrets, graffitis gravés sur les tables, petits cours, injures taguées dans les toilettes des filles, mots d'amour glissés dans un cahier : de ces souvenirs de collège est né Mots rumeurs, mots cutter, le deuxième tome de cette photo de classe en bande-dessinée.
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Elle était dans ma classe. Quatrième D. D comme déconne, délire, débile, dévergondé, début, douleur, douceur aussi. Il y avait tout ça, chez nous. Des pimbêches qui riaient trop fort, des timides, des bébés sages, des filles toutes fières de se comporter en femmes et des garçons qui ne savaient plus comment fonctionnaient leurs mains ni leurs pieds. Il y avait aussi les Jade et les Benjamin, les bons copains toujours là en cas de coup de blues à la récré, toujours prêts à refaire le monde et jouer aux cancres au lieu d'aller en perm.
Mais il n'y avait qu'une Layla.
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Voilà Lucas. Lucas et ses yeux de chien battu. Lucas et ses mains moites, ses baisers trop mouillés. Lucas, qui n'a toujours pas compris qu'entre nous c'est terminé. Dégage, Lucas. Disparais ! Fous-moi la paix ! D'habitude, en soirée, je danse, je m'éclate. Ça me permet d'oublier les semaines en solitaire, le silence étouffant de cet appartement trop grand. Là, c'est le contraire. Je me sens étrangère. Pas intégrée. Désintégrée.
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A` table, j'ai pre´pare´ le terrain, j'ai agite´ mes bonnes notes et le couple gay de la classe, j'ai dit que c'e´tait juste comme c¸a, pour voir, m'amuser. Ils ont he´site´. Ils ont ce´de´. Parce qu'ils pensent exactement comme moi : je ne peux pas passer le reste de ma vie a` me planquer.
Et puis, comme le dit ma psy, le plus dur est passe´. J'ai eu mal. J'ai voulu mourir. Mais j'ai surve´cu. Je me suis montre´e plus forte qu'eux. Et je les ai laisse´s derrie`re moi, me^me si je ne pourrai jamais oublier ce qu'ils ont fait.
Et voila`. Les de´s sont jete´s. Le destin est en marche. Et moi, j'ai beau me la jouer de´contracte´e, je flippe comple`tement a` l'ide´e de cette soire´e.
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Bulles & blues Soan et Chloé ont toujours été très proches. Comme des frère et sour. Mais depuis quelque temps, Soan prend ses distances, et Chloé en souffre, en silence. Alors elle confie ses peines et ses espoirs à son journal et trouve dans le dessin le seul moyen de supporter son quotidien. Et les injustices dont elle est témoin.
Les auteures Charlotte Bousquet, l'auteure, et Stéphanie Rubini, l'illustratrice, se sont rencontrées il y a quatre ans, autour de Précieuses, pas ridicules, un abécédaire décapant sur l'art et le féminisme. Après maints cafés, chocolats chauds, pizzas et thés glacés, elles se sont lancées sur un nouveau projet : une photo de classe en bande-dessinée dont les premiers tomes, Rouge Tagada et Mots rumeurs, mots cutter, ont reçu un très bel accueil.
Bulles de savon, bulles de bédé, bulles pour rêver ou pour s'isoler quand on a le blues : ce sont tous ces moments que contient Bulles & blues, un journal intime tendre et révolté.
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En classe comme dans sa famille, Marie est invisible. Sa passion ? La couture et les bijoux faits main. Lorsqu'elle observe les autres filles, elle se trouve laide, grosse, inutile. Le seul qui la voit, c'est Soan. Mais ce regard est capable de faire éclore chez Marie une nouvelle confiance en elle. Une confiance bien fragile.
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Mia vit sous emprise.Sous emprise de rêves normés.Sous emprise de Jérémie son compagnon manipulateur.Un jour, sa route croise celle d'Aurore, une fille libre de toute influence et solaire...
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Une jeune pianiste en herbe apprend tout du milieu de la musique auprès de sa marraine qui se révélera gravement malade. Histoire de la transmission d'une passion.
Une famille ordinaire, avec ses rancoeurs, ses non-dits. Jeanne et Sophie, les deux aînées, ont souffert de la préférence de leur mère pour leur frêre, Stéphane. Celui-ci, la quarantaine, est un peu paumé, se laisse écraser par ses aînées. Malheureusement, cela rejaillit sur sa fille Manon. L'adolescente, mal dans sa peau, est la cible favorite de ses tantes et de ses cousins, qui ne lui laissent aucune chance de trouver sa place parmi eux.
L'arrivée pour le réveillon, de Nadia, marraine prodigue exilée à New-York, brise ce schéma. Nadia est une violoncelliste de renom, Manon prend des cours de piano. Entre la vieille dame et l'adolescente naît une relation singulière, presque fusionnelle, dont la musique est le médiateur.
Manon, peu à peu, apprend à s'affirmer et à dépasser ses craintes. Nadia, elle, trouve en Manon un regain de vie. La musicienne a un secret : si elle est revenue en France, c'est pour faire ses adieux. Elle souffre d'une maladie incurable et il ne lui reste que peu de temps. Mais quand Nadia, victime d'un malaise, est emmenée aux urgences, Manon découvre la vérité. L'ultime cadeau de Nadia pour la jeune fille, une place pour un concert lui permettra d'accepter son départ et d'aller de l'avant.