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Prix
Claude Louis combet
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Blesse, ronce noire.
Ce sont les derniers mots que georg trakl fait prononcer à sa soeur, gretl, dans le poème révélation et anéantissement, écrit peu avant la bataille de grodek (1914) d'où, la drogue aidant, il ne devait pas revenir. lorsqu'on considère les photographies conjointes du frère et de la sueur, on peut se demander qui fut le premier à dire les mots de la douleur, de l'amour et de la faute et dans quelle secrète complicité naquirent les poèmes.
Dans l'espace de la proximité ouvert entre ces deux faces d'amants et d'artistes, on peut rêver abondamment sur le sens de la dilection, de l'écriture et de la déréliction. claude louis-combet.
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Du sens de l'absence ; A propos d'une majuscule
Claude Louis-combet
- Lettres Vives
- Entre 4 Yeux
- 19 Avril 2024
- 9782914577762
Du sens de l'Absence évoque la passion du silence et du vide ; il témoigne de cette nostalgie des origines très fondatrice chez Claude Louis-Combet. En 1985, il confiait à Monique Pétillon (Le Monde) : « Ce livre ravive la nostalgie de l'enfance, une enfance qui n'est localisée ni dans l'espace ni dans le temps, je dirais presque une enfance absolue. La destinée individuelle n'est que le piétinement et la répétition de cette enfance épuisante et inépuisable. » A propos d'une majuscule est un inédit où l'Auteur vient revisiter et enrichir un txte qui constitue l'un des écrits majeurs de son oeuvre quant aux mécanismes même de son écriture et à sa vision du monde, à ce sentiment de rupture, d'exil, de dépossession d'un moi que hante sa recherche si singulière des « lointains intérieurs ».
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Charles Péguy, l'initiation
Claude Louis-combet
- La Guepine
- Rapport A...
- 1 Janvier 2017
- 9782954489476
Tout texte renvoie à une culture; parfois même, plus précisément, se construit dans la relation à un livre, à une oeuvre, voire au Livre. Cette collection «Rapport à...» ouvre un espace pour que les auteurs expriment leur dette, ou rendent hommage à un écrivain qui a pu être source d'inspiration ou de libération personnelle ou littéraire.
Claude Louis-Combet, un des écrivains majeurs de notre siècle, a bien voulu, dans ces pages, exprimer sa découverte de Péguy.
Ce n'est pas ici un essai - après tant d'autres - sur l'oeuvre de Péguy, sa vie, sa pensée, son génie poétique. Il s'est agi, essentiellement, de retrouver, dans le souvenir, l'émotion première de la première lecture, celle du Mystère des Saints Innocents, à laquelle tout un jeu de circonstances, infimes mais restées très précises dans la mémoire, ont conféré le sens d'une initiation: à la fois commencement d'un rapport à l'oeuvre qui s'intellectualiserait plus tard, et introduction poétique à une dimension spirituelle de l'existence. Ce regard rétrospectif, tout à fait subjectif, sur la trace, recueillie dans la conscience, de la lecture des poèmes et des proses de Péguy, n'a d'autre sens que celui d'une célébration intime et reconnaissante.
Claude Louis-Combet
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Publié en 1927 et initialement destiné à une préface de Lucien Leuwen, ce texte est le portrait fulgurant d'un égotiste et de son drame : un homme partagé entre le souci d'entrer dans la gloire et l'orgueil suprême d'être unique, d'être lui-même. « Vivre. Plaire. Être aimé. Aimer. Écrire. N'être pas dupe. Être soi, - et pourtant parvenir. Comment se faire lire ? Et comment vivre, méprisant ou détestant tous les partis. » Ce questionnement conduit Valéry a une lumineuse réflexion sur la sincérité et sur la foi. Il n'est sans doute pas exclus de présumer que cette admiration pour un insolent est le prétexte d'un examen de conscience de son auteur par lui-même. Et qu'au travers des années, le toujours jeune Henry Beyle tend encore aux hommes sérieux de la postérité, c'est à dire à chacun d'entre nous, plus qu'une caricature : un miroir.
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L'art et l'artiste ; créativité et développement de la personnalité
Otto Rank
- Payot
- Petite Bibliotheque Payot
- 15 Octobre 2014
- 9782228911566
L'oeuvre d'art nous permet-elle d'être les créateurs de nous-mêmes, de prendre en main notre destin ? Pourquoi certaines personnes veulent-elles transformer en expérience les idées qu'elles ont sur l'art ? Dans cette célèbre étude du processus créatif, Otto Rank éclaire la relation de l'artiste à lui-même, aux autres artistes, au succès ou à l'échec, à l'idéologie artistique dominante, et se demande si les névrosés ne seraient pas des artistes ratés...
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Bethsabée, au clair comme à l'obscur
Claude Louis-combet
- Corti
- Domaine Francais
- 8 Janvier 2015
- 9782714311368
L'histoire nous apprend que Hendrickje Stoffels (1626-1663), entrée au service de Rembrandt après la mort de Saskia et l'internement de Geertjhe, devint la maîtresse du peintre. Elle fut sa dernière compagne, son modèle de prédilection et la nourrice de son fils, Titus. Tous les biographes la présentent comme une femme entièrement dévouée à son maître dont elle fut le principal soutien dans les années noires qui suivirent sa faillite et la liquidation de ses biens.
Dans ce livre, le narrateur, qui est tout sauf un historien, s'applique à composer l'image mythique du couple d'amants impliqués ensemble dans la création de l'oeuvre comme dans celle de leur vie. Le lien qui les unit s'enracine, d'essentielle façon, dans la part la plus obscure de leur être, dans cette ombre dont Rembrandt déploie la matière en ses toiles, et qui sans cesse enfante la seule lumière nécessaire - expansive, chaleureuse, mystérieuse, pure révélation de l'intériorité.
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Toutes les bêtes sont mortelles
Claude Louis-combet
- Corti
- Domaine Francais
- 4 Février 2021
- 9782714312488
Nous sommes ici bien loin des Fables de La Fontaine car même si les héroïnes et les héros de ces histoires sont des animaux, domestiques ou non, confrontés à des hommes, ou à des enfants, garçons ou filles, il s'agira toujours de contes cruels comme si la confrontation entre humains et non humains était inévitable et que la fraternité ontologique était remplacée par la pesanteur de la culpabilité.
Comment dès lors donner du sens à la douleur, à l'abjection, à la déréliction ?
À travers dix récits, Claude Louis-Combet poursuit son exploration de la psyché humaine et nous révèle jusqu'à où peut aller l'infamie. Nous n'oublierons ni les héroïnes animales ou humaines (Isa de la nuit, Bloody Mary) ni les victimes animales ou humaines (La mort de César, Les larmes d'une truie).
Car tous, autant qu'ils sont, sont des animaux de désir et des animaux de malheur.
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Sainte Christine l'Admirable (1150-1224) s'est trouvée reléguée dans les recoins les plus écartés de l'hagiographie. Elle est un défi aux convenances et au bon sens.
Et c'est pourquoi il est nécessaire de la rejoindre, dans les grandes lignes de sa vie et dans l'extrême singularité de sa personnalité. Révulsée par l'odeur des hommes (des mâles) mais gratifiée du don de lévitation, elle rompit avec le monde, tel qu'elle le connaissait, dans son Brabant natal, et vécut la plus grande partie de sa vie dans les arbres, parmi les oiseaux. -
Ce petit texte intimiste est une méditation, d'inspiration autobiographique, sur le déploiement de la solitude à travers une série d'expériences vécues, données comme autant de points d'ancrage de la mémoire : solitude de l'enfant dans
ses moments de rêverie, solitude du jeune adolescent aux prises avec les pulsions de sa sensualité, solitude intellectuelle du jeune clerc en rupture de ban avec les impératifs de la vie religieuse, solitude de l'homme que l'amour
tient face à l'évidence de la mort, enfin solitude du créateur et fauteur de texte dans le silence où mûrissent les mots.
La solitude dans laquelle les âmes bien assises pouvaient lire un risque une menace pour la communication et le partage, une contagion pathologique ruinant l'équilibre affectif et moral de l'enfant et de l'adolescent - révèle toute sa force de signification et sa valeur définitive, dans cette issue de l'existence que représente la création par l'écriture, pour autant que celle-ci affirme son intransigeante fidélité à la nécessité intérieure sa seule justification.
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C'était, comme à l'opéra, une ouverture qui n'en finissait pas de remettre à plus tard le début de l'action. Cela aurait pu durer encore et durer jusqu'à aujourd'hui et au-delà. Mais voici : l'artisan commis par le dieu créateur pour préparer des projets a soudain touché le fond de sa songerie et, comme il commençait à s'éveiller, l'idée lui est venue qu'il fallait en finir avec l'être qu'il tenait en ses mains - l'être de l'homme - et que cet achèvement et accomplissement ne pourrait s'effectuer que par l'introduction, au plus profond de la matière vivante, d'un principe de lumière :
Une concrétion organique destinée à illuminer le dedans de l'être dans toutes ses dimensions.
C'est ainsi qu'il créa l'oeil.
Médecin, professeur de cardiologie, Martial Hamon dispose d'un capital culturel qui fait la part belle à l'anatomie et à l'imagerie médicale. Le peintre qu'il est devenu a choisi pour champ d'expression la matière vivante et ses constructions viscérales, oniriques et inconscientes - celles qui ont hanté l'imagination du démiurge appliqué à la création de l'homme. A ce point de son parcours, l'artiste provoque nécessairement l'écriture et la poésie. De là est née la rencontre.
De là le livre.
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Le cérémonial, évoqué dans le titre, préside à la célébration de l'amour par les amants. Il est le fruit longuement préparé, dans le terreau de l'enfance et de l'adolescence, par des expériences aussi occultes qu'essentielles qui résultent elles-mêmes du travail des sens, associé à quelques intuitions que l'on peut dire de l'ordre du coeur. Des arcanes, en quelque sorte, symbolisés dans cette suite de textes par trois images : celle des Gémeaux, celle du Chant, celle de la Fleur.
Les trois récits qui composent l'ouvrage ont été écrits avec un intervalle d'une dizaine d'années entre chacun d'eux : " Gémellies " date de 1990, " Choralies " de 1999 et " Floralies " de 2010
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Des égarées ; portraits de femmes mystiques du XVII siècle français
Claude Louis-Combet
- Millon
- Golgotha
- 19 Septembre 2008
- 9782841372362
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Voici le livre du fils. Il tmoigne par le
souvenir, la rverie, le fantasme, du rle jou par le corps de la mre -
prsence charnelle d'abord ravissante et englobante avant de devenir hostile et
rpulsive - dans l'initiation l'rotique amoureuse et par l dans la destine
spirituelle de l'homme du texte. Modle des modles de tout corps de dsir et
d'amour, le corps maternel appelle la fusion, entretien la confusion et
ncessite le rejet. Sur le fond de cette aventure de l'intimit, le fils assure
son projet, de lier sans hiatus l'criture et l'existence. C. L.-C. Ce livre
aurait pu tout aussi bien s'intituler Naissance d'une vocation d'crivain,
car c'est bien de cela qu'il s'agit. Point d'aboutissement en mme temps que
point de dpart, tel est le paradoxe de ce grand livre qui sera l'oeuvre de
Louis-Combet ce que furent Les Mots pour Sartre, Enfance pour Sarraute, L'ge
d'homme pour Leiris et, si l'on remonte dans le temps, Les Confessions pour
Rousseau.
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Magdeleine, à corps et à Christ
Claude Louis-combet, Elizabeth Prouvost
- Fata Morgana
- 6 Octobre 2009
- 9782851947451
Dans ce court récit hagiographique, l'inassouvissement et la quête d'absolu conduisent Magdeleine, languide prostituée de Jérusalem, à se dévouer corps et âme à un jeune Rabbi.
Claude Louis-Combet sacralise la sensualité de la femme, comme si l'émoi charnel face à la prostituée, provenait moins de l'exhibition sexuelle que de la réminiscence d'une virginité qui demeure jusque dans la dernière déchéance. -
Enracinée dans les photographies d'Elizabeth Prouvost, où transpire la fébrile fragilité d'un corps contorsionné, la prose de Claude Louis-Combet travaille les mêmes matériaux : nudité primale, argile, douleur ou épouvante. OEuvre des confins de l'être et des gouffres, le corps et les réflexes ne sont ici jamais en sécurité.
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« Et le monde, qui faisait horreur et effroi, est à présent congédié. Il ne reste de lui que la grande plage anonyme et plate d'un sol et d'une cloison - ce qui reste du désert quand la nature a été annihilée ».
Ces mots, tirés de la préface de Claude Louis-Combet, décrivent à la fois le décor et le propos des photographies de Natacha Nikouline. Le contexte se résume chez elle à l'essentiel (une lumière en douche, froide, sans complaisance, des murs nus) pour mieux laisser place au langage silencieux de douleurs en chute : les seuls sujets sont des corps agités de soubresauts silencieux, anonymes et sans visages. Figé, émoussé, la tête vide est une monographie de Natacha Nikouline, entre livre et portfolio, qui présente plus d'une trentaine de photographies en grand format. Une carte postale de Nature Morte, glissée entre les pages, leur apporte un contrepoint étrangement coloré.
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Les textes rassemblés ici représentent chacun le moment d'une interrogation sur le sens de l'application à l'écriture qui tend à remplir la vie et voudrait lui donner un sens.
On y trouve d'une part des études, fortement imprégnées d'autobiographie, portant sur des modèles de pensée (Platon, Nietzsche, Henri Maldiney), d'autre part des réflexions et des souvenirs sur la genèse d'oeuvres récentes, enfin quelques aperçus sur le travail en cours, en matière de mythobiographie, d'hagiographie et d'autobiographie. L'interrogation porte sur le lien qui rattache l'écriture à l'existence : promesse tenue et promesse déçue.
C.L.C.
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Dans la bithynie chrétienne du ve siècle, vivait une jeune vierge nommée marina.
à l'âge de quinze ans, elle entra, à la suite de son père, dans un monastère d'hommes ou, ayant réussi à dissimuler son identité sexuelle, elle mena une existence de contemplation et de pénitence. après sa mort, l'église la canonisa et elle fut honorée indistinctement ici sous le nom masculin de marinus et là, sous le féminin de marina. traducteur et interprète de cette légende, le narrateur élabore le récit de son propre cheminement spirituel, à la fois contrepoint et écho de l'aventure intérieure de marina.
Le texte étranger - à sa langue, à sa culture et à sa foi - devient la lumière qui lui permet de déchiffrer peu à peu sa biographie, au coeur de laquelle la question de l'adhésion au masculin ou au féminin s'impose comme un problème limite qui ne débouche, ici, sur aucune voie de salut.
C. l. -c.
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Claude Louis-Combet répond par écrit à chacune des questions posées par une jeune universitaire, Aude Bonord, faisant le point de façon très personnelle sur son expérience de l'écriture telle qu'elle s'impose comme expérience intérieure. Pas un dialogue platonicien, mais l'articulation vivante de la pensée de l'auteur aux suggestions suscitées par les questions du professeur.
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Un témoignage de reconnaissance de l'écriture de J.-K. Huysmans dans lequel l'auteur éclaire la façon dont sa sensibilité littéraire, son sentiment esthétique, son sens du spirituel ont été profondément inspirés.
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Si une idée parcourt ce cahier de notes de Jacques Le Scanff, c'est que nous n'avons pas fini d'apprendre à voir : qu'il s'agisse du motif - faces d'hommes, montagnes, ciels -, ou des tableaux eux-mêmes, tout reste à inventer, à chaque instant. Et ce qui se joue dans l'ordre du regard ne se réduit que très lointainement, très approximativement, à la matière en apparence ordonnée du langage. Écrire la peinture, cette aporie ne vaut que lorsque la langue touche à un autre domaine, à un autre état, celui du poème. Ces fragments, tout proches de l'atelier, de la main, de l'oeil, sont de cette nature. Ils sont une approche des images elles-mêmes à travers leur gésine, mais ils disent aussi l'effarant mystère de ce dont le peintre, tout autant que sa main et son pinceau, n'est qu'un medium éphémère et toujours menacé.
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Via crucis - le "chemin de croix" de gabriel saury
Claude Louis-combet
- Grand Tetras
- 1 Mai 2012
- 9782911648502
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Les vies des saints dans la tradition chrétienne (mais cette remarque vaut, je crois, pour toutes les religions) constituent une fabuleuse richesse d'imaginaire.
Celui qui a grandi, toute son enfance et son adolescence, consciemment ou inconsciemment, dans le sein de sa sainte mère l'eglise, et qui est devenu, avec le temps, le rêveur nostalgique de sa propre existence, trouve, en ces récits surannés, matière à brassage de fantasmes et à fixations d'affects.
Les personnages de la littérature hagiographique expriment, au degré supérieur, sur les hauts ciels de la sublimation et dans la proximité du sacré qui fait trembler, les pulsions de tous les désirs, les contradictions du moi et du monde, les conflits de l'élan vital et des forces de dissolution et d'annihilation.
Ils expriment tout ce que l'humanité peut savoir de plus excessif sur l'amour, le sacrifice, la perdition, l'anéantissement. ils incarnent de prodigieuses images libidinales et leur vie se tient sur un fil tendu et ténu, prêt à se rompre : celui qui sépare la sainteté de la perversité.
Rose de lima, qui vécut au temps des conquistadors et fut la première sainte officiellement reconnue de l'amérique latine, apparaît comme le point focal d'une histoire sanglante, lourde de culpabilité collective.
L'auto-punition, l'auto-destruction, le délire flagellatoire et mutilatoire de la vierge péruvienne signalent l'abcès de fixation qui draine toute la violence des inassouvissements de la chair comme de la foi.
Le narrateur de cette histoire, quant à lui, saisit l'occasion de son investigation dans le passé et de sa rencontre avec une figure très singulière de la sainteté chrétienne au féminin, pour trafiquer et troquer celle-ci, des émotions, des sentiments, des visions qui lui appartiennent encore.
Ce processus, hautement subjectif, d'identification, de projection, d'appropriation et d'échange est au coeur de l'entreprise mythobiographique dont rose de lima fait ici -dernier supplice- tous les frais.