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Prix
Georges Brassens
-
Georges Brassens : Premières chansons
Georges Brassens, Jean-Paul Liégeois, Gabriel Garcia Marquez
- Poésie
- 20 Mars 2025
- 9782266348492
Un recueil des 68 premières chansons de Georges Brassens qui intègre la collection Poèmes.
" Il y a quelques années, au cours d'une discussion littéraire, quelqu'un demanda quel était actuellement le meilleur poète français, et je répondis, sans hésitation : Georges Brassens ", nous dit Gabriel García Márquez. Dans chacune de ces Premières chansons, on rencontre un instinct poétique que la suite de l'oeuvre de Georges Brassens confirmera avec éclat.
C'est en 1938, année de ses 17 ans, que le jeune Georges a vraiment commencé à écrire des chansons. Seuls quatre de ces soixante-huit textes sont passés à la postérité ; les autres sont restés inédits jusqu'à la publication de ce recueil. Les voici livrés à la curiosité et au plaisir de tous. -
C'est de la « mauvaise herbe », un copain de Brel et Ferré ; c'est un portraitiste d'exception aux mélodies décalée ; un poète, qui chante Ronsard et Villon ; un timide aussi, qui fredonne « sous un coin de parapluie ». Plus de deux cents chansons scandent cette ballade du temps jadis, menée par le parolier génial qu'était Brassens, l'éternel « polisson de la chanson ».
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Ses mots exquis et bourrus à la fois, sa tendresse retenue, son ironie délicieuse, son humour volontiers féroce, son sens naturel de la tolérance, son goût irrépressible de la liberté, ses chants d'amour insolents : telles sont les richesses de l'oeuvre de Georges Brassens, de ses chansons réunies dans J'ai rendez-vous avec vous.
« Meilleur poète » de son époque pour Gabriel García Márquez, « chanteur de blues » pour Boris Vian, véritable « vaccin contre la connerie » pour Maxime Le Forestier, Brassens est devenu un auteur intemporel et universel : il est d'ores et déjà traduit et chanté dans plus de quarante langues.
« Brassens s'est réfugié dans un total amour des mots » a écrit son ami romancier René Fallet. Appréciation exacte, mais insuffisante. Car ce fou de la langue française nourrissait aussi une profonde passion pour la musique, comme l'atteste la beauté ses mélodies. Toujours, en privé et en public, il se refusait à séparer ses mots et ses notes.
Brassens en rêvait, J'ai rendez-vous avec vous le réalise : les paroles et les musiques de ses chansons sont publiées ensemble dans un seul et même volume.
Pour rendre ces musiques vivantes et accessibles à qui voudrait les jouer, Yves Uzureau, compositeur et guitariste, a commis l'inattendu : d'une part, il signe un roman-méthode ludique, permettant à tous d'appréhender musicalement chaque chanson du Sètois ; d'autre part, s'éloignant de l'habituel solfège, il livre un système inédit de tablatures pour guitare qui permettra à chacun, même au néophyte, de devenir un interprète actif des chansons de Brassens.
De ce fait, et c'est là son originalité, J'ai rendez-vous avec vous n'est pas un volume tout à fait semblable aux autres titres de la collection BOUQUINS : il n'est pas seulement à lire, il est aussi à écouter et à faire écouter.
« Pour moi, une chanson, c'est une chose qui fait que n'importe qui, à un moment, se lève et se met à chanter pour une oreille quelconque, sans trop d'artifice » expliquait volontiers Georges Brassens.
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Journal et autres carnets inédits
Georges Brassens, Jean-paul Liégeois
- Le Cherche Midi
- 6 Octobre 2022
- 9782749175393
" Dans ce cahier, j'écris tout ce qui me passe par la tête. "
Ce
Journal inédit, que Georges Brassens a tenu de 1963 à 1981, est un document atypique et surprenant dans lequel les événements intimes voisinent avec les aphorismes et les ébauches de chansons. Et pas n'importe quelles ébauches !
Car dans ces pages à petits carreaux ont germé
Mourir pour des idées,
Cupidon s'en fout,
Les Quat'z'arts,
Le Pluriel,
La Ballade des gens qui sont nés quelque part,
Les Deux Oncles,
Don Juan,
Mélanie,
Tempête dans un bénitier, etc. Quarante-trois titres au total.
Un autre journal datant de la période 1946-1953, titré
Le Vent des marécages, ainsi que ses agendas des années 1953 à 1955 viennent également révéler des facettes insolites de Georges Brassens. De toute évidence, sa personnalité était d'une richesse et d'une complexité qu'il protégeait volontiers en affichant en public une certaine réserve.
Le Brassens du
Journal et autres carnets inédits ne se cache pas derrière son petit doigt. Sans apprêts ni précautions, il met les points sur les i : " Quand on écoute mes chansons avec une oreille un peu fine, on entend que
je ne suis pas du côté de la guillotine, de la loi, du côté de l'armée, du côté de l'exploitation de l'homme et de la femme qu'on force à se prostituer, du côté de la religion, du côté du profit, du côté du béton et des grands ensembles. "
Ou encore : " Le dernier mot que je dirai, ce sera "merde'. "
Édition établie et annotée par Jean-Paul Liégeois -
La tour des miracles
Georges Brassens, Etienne Davodeau, David Prudhomme
- Delcourt
- 29 Septembre 2021
- 9782413043232
« Une maison miraclifique de sept étages par temps calme et de six, les jours de bourrasques ». Georges Brassens était un homme libre, engagé, dénonçant l'hypocrisie de notre société avec un ton gouailleur, iconoclaste et parfois potache. Dans ce roman, les habitants irrationnels du dernier étage de l'immeuble L'Abbaye gré-du-vent, tentent de créer une société idéale, utopique et grotesque.
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En trente ans de chansons, Georges Brassens a légué à ses millions d'admirateurs un monde poétique tour à tour drôle et émouvant, truculent et pittoresque, plein de personnages inoubliables - l'oncle Archibald, Jeanne, Pauvre Martin - et de couplets aussi célèbres que les plus belles pages de La Fontaine ou de Villon : « Le Parapluie », « La Non-Demande en mariage », « Le Grand Chêne »... Voici réunie l'intégrale de cette oeuvre : plus de cent soixante chansons, y compris celles qui furent écrites pour d'autres interprètes (Marcel Amont, Patachou...), et les dernières compositions, enregistrées après la mort du poète par son ami Jean Bertola. à retrouver, à savourer, à découvrir peut-être, un des plus authentiques trésors de la chanson et de la poésie françaises.
Edition établie par Pierre Saka. -
Je suis une espèce de libertaire ; Brassens par lui-même
Georges Brassens
- Le Cherche Midi
- 17 Octobre 2019
- 9782749162478
Chaque fois que je chante une chanson, je me fais la belle.
Chaque chanson est un cri que je pousse, un cri étouffé.
J'ai été auteur avant de savoir écrire.
L'anarchie, je pense qu'à dix ans je l'avais en moi.
Les militaires obéissent sans chercher à comprendre et moi je désobéis sans chercher à comprendre.
Je n'ai pas besoin d'un grand frère là-haut qui me protège et me dicte ses lois.
La Bastille n'a pas été tout à fait prise...
La vraie nature de l'homme, c'est la férocité, le fanatisme, la folie.
Les cons, faut tout leur dire !
Il ne me déplaît pas de déplaire à certains.
Ce qui importe, c'est la somme de tendresse, d'amour et de fraternité que peut donner un homme.
Le reste, c'est de la rigolade.
Ma vie privée ne regarde personne, même pas moi.
Georges Brassens.
Édition établie et présentée par Jean-Paul Liégeois.
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C'est en 1938, année de ses 17 ans, que le jeune Georges a vraiment commencé à écrire des chansons. En 1942, pour les protéger, il a passé le concours d'entrée de la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique). Admis comme parolier, il y a déposé, entre 1942 et 1949, les textes des soixante-huit chansons qui sont ici réunies. Elles sont publiées dans l'ordre où Brassens les avait recopiées de sa main dans deux cahiers d'écoliers.
Seules quatre de ces soixante-huit chansons sont passées à la postérité : Maman, Papa ; Le bricoleur ; Les amoureux qui s'bécott' sur les bancs publics ; et J'ai rendez-vous avec vous. Les soixante-quatre autres, Brassens ne les a jamais chantées en public ni enregistrées en studio. Elles étaient restées inédites jusqu'à la publication de ce recueil : Personne ne saura jamais ; Le bon Dieu est swing ; Souviens-toi du beau rêve ; Je pleure ; Loin des yeux, loin du coeur ; Paris s'est endormi, etc.
Dans chacune de ces Premières chansons, on rencontre - selon le mot de Gabriel García Marquez - un « instinct poétique » que la suite de l'oeuvre de Georges Brassens confirmera avec éclat.
Édition établie et annotée par Jean-Paul Liégeois ;
De Georges Brassens au cherche midi : oeuvres complètes, Les chemins qui ne mènent pas à Rome, Journal et autres carnets inédits, Je suis une espèce de libertaire.
Et aussi : Brassens par Brassens, Les Mots de Brassens et Sous la moustache, le rire, de Loïc Rochard. Brassens, homme libre de Jacques Vassal.
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La Fontaine et Brassens ; fables et chansons satiriques et rebelles
Jean de La Fontaine, Georges Brassens
- Epervier
- Les Ecrivains Engages
- 22 Novembre 2010
- 9782361940089
Jean de La Fontaine et Georges Brassens ont chacun dans leur siècle réussi à associer le poids du contenu et la légèreté de la forme. Ils furent aussi honnis des puissants qu'appréciés du grand public pour la gravité de ce qu ils ont écrit et le caractère badin de l'art dont ils défendaient la cause ainsi que le statut : la fable en vers, la poésie chantée. Hors des sentiers battus, à l écart des chapelles, dans leur lutte individuelle contre l'autorité et le conformisme, ils ont déposé au pied du mur de l'ordre établi leurs mots explosifs, avec le sourire, comme des gamins espiègles et turbulents. Ce faisant, ils ont éveillé tant de consciences que nous leur devons une partie des libertés dont nous jouissons aujourd hui. Poètes dérangeants, virtuoses de la langue française, ils furent aussi les continuateurs d'une tradition qu'ils eurent à coeur de dépasser, celle des anciens fabulistes, Ésope, Phèdre, Horace, Abstémius, présentés ici en référence dans une traduction nouvelle.
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Georges Brassens a parfois fait allusion à un carnet dans lequel il notait tout ce qui lui passait par la tête. Ce carnet - en fait, un cahier d'écolier -, le voici.
Ce Journal inédit, que Brassens a tenu de 1963 à 1981, est atypique et hétéroclite : les événements intimes y voisinent avec des aphorismes ou des ébauches de chansons. Et pas n'importe quelles ébauches !
C'est dans ces pages à petits carreaux que l'on voit surgir Mourir pour des idées, Cupidon s'en fout, Les quat'z'arts, Le pluriel, La ballade des gens qui sont nés quelque part, Les deux oncles, Don Juan, Mélanie, Tempête dans un bénitier, etc. Au total, 41 chansons.
Dans ce Journal, Georges Brassens est égal à lui-même, constant dans ses convictions et sa manière d'être : libertaire et tolérant, truculent et discret, lucide et courageux.
Inédits aussi, et ajoutés au Journal, Le vent des marécages (un premier journal datant de la période 1946-1953) et trois agendas (des années 1953 et 1955) viennent préciser l'autoportrait d'un homme qui ne s'est jamais caché derrière son petit doigt.
Faut-il encore mettre les points sur les i ? Georges Brassens n'hésite pas à le faire dans son Journal : « Quand on écoute mes chansons avec une oreille un peu fine, on entend que je ne suis pas du côté de la guillotine, de la loi, du côté de l'armée, du côté de l'exploitation de l'homme et de la femme qu'on force à se prostituer, du côté de la religion, du côté du profit, du côté du béton et des grands ensembles. Tout cela, je l'ai quand même écrit noir sur blanc ! »
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Des chansons inédites de Georges Brassens, celles qu'il n'a ni enregistrées ni chantées sur scène.
Avec un CD OFFERT : 6 chansons inédites interprétées par Yves Uzureau !
Quand il a commencé sa carrière scénique à Montmartre, dans le cabaret de Patachou le 26 janvier 1952, Georges Brassens écrivait des chansons depuis longtemps. Depuis 1938, l'année de ses 17 ans.
On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans , proclamait Arthur Rimbaud. Mais Brassens, lui, sans le dire, a rapidement pris la chanson au sérieux : dès 1942, pour protéger ses textes, il a concouru pour entrer à la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique) et y a été reçu comme parolier.
Entre 1942 et 1949, après les avoir mises au propre dans des cahiers à carreaux, il a déposé à la Sacem soixante-huit chansons.
Ce sont ces soixante-huit textes qui sont réunis dans Premières chansons et publiés dans l'ordre où Brassens les a recopiés de sa main.
Si quatre d'entre eux sont passés à la postérité ( Maman, Papa ; Le bricoleur ; Les amoureux qui s'bécott' sur les bancs publics et J'ai rendez-vous avec vous), Georges Brassens n'a jamais enregistré en studio ni chanté en public les soixante-quatre autres :
Personne ne saura jamais, Le bon Dieu est swing, Souviens-toi du beau rêve, Je pleure, etc.
Soixante-quatre chansons de Brassens restées inédites ! Donc à découvrir. Elles contiennent en germe les chefs-d'oeuvre qui suivront.
Édition établie par Jean-Paul Liégeois L'essentiel des écrits de Georges Brassens est disponible au cherche midi : Oeuvres complètes ; Les chemins qui ne mènent pas à Rome (Réflexions et maximes d'un libertaire) ; Journal et autres cahiers inédits.
Et aussi, Brassens, homme libre de Jacques Vassal ; Brassens par Brassens et Les mots de Brassens de Loïc Rochard. -
De Brassens, le cherche midi a déjà publié ses oeuvres complètes, Les chemins qui ne mènent pas à Rome et Brassens par Brassens.
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Entre romantisme et vers acérés, Brassens évoque, comme dans ses chansons, l'amitié, l'amour et la beauté mais aussi son engagement et son refus de l'ordre établi.
Avec trois recueils et une série de poèmes retrouvés, il justifie pleinement son titre de chanteur- poète.
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Les chemins qui ne mènent pas à Rome ; réflexions et maximes d'un libertaire
Georges Brassens
- Cherche Midi
- 31 Janvier 2008
- 9782749111421
'aime la pensée solitaire, je déteste les moutons.
Je n'ai pas besoin d'un grand frère là-haut qui me protège et me dicte ses lois.
L'effort d'aimer, c'est peut-être l'amour...
Il ne me déplaît pas de déplaire à certains.
Ma vie privée ne regarde personne, même pas moi.
La vraie nature de l'homme, c'est la férocité, le fanatisme, la folie.
Les foules modernes ont une puissance d'avilissement telle que rien ne leur résiste.
Il n'est jamais trop tard pour mal faire.
Les militaires de carrière sont affligés d'un crétinisme hyperbolique.
Les nouilles ne nourrissent pas aussi bien qu'on le prétend chez les mangeurs de canard farci.
Qu'est-ce que nous sommes ? Un peu d'argile et d'eau. Et nous voulons être éternels... C'est l'éternelle sottise.
Georges Brassens
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Lettres à Toussenot ; 1946-1950
Georges Brassens
- Textuel
- Essais Et Documents
- 23 Septembre 2001
- 9782845970397
" Tu es l'ami du meilleur de moi-même " confiait Brassens à Toussenot.
Ce sont les lettres que le chanteur envoya, entre 1946 et 1950, à son ami Roger Toussenot, philosophe, qui sont ici publiées pour la première fois. Si ce sont leurs convictions libertaires qui les unissent, leur dialogue va bien au-delà. On y découvre les goûts littéraires de Georges Brassens, ses doutes, ses passions -alors qu'il est en plein apprentissage de l'écriture et l'extrême dénuement dans lequel il vivait.
Ce recueil permet de pénétrer dans les coulisses de la conception d'une oeuvre exceptionnelle grâce à une amitié qui a participé à sa construction.
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Georges brassens ; piano/chant/guitare
Georges Brassens
- Id Music
- Paroles Et Accords
- 1 Juin 2002
- 3553301000530
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