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Giovanni Verga
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Nouvelles siciliennes
Vincenzo Consolo, Luigi Pirandello, Giovanni Verga
- Folio
- Folio Bilingue
- 22 Septembre 2011
- 9782070443208
Recueil de nouvelles d'auteurs siciliens emblématiques qui décrivent les Siciliens, paysans un peu rustres, petits commerçants, hommes d'église, et cette île ensoleillée aux confins de l'Orient et de l'Occident. Une excursion au sud de l'Italie et un voyage à travers le temps et la langue, car le sicilien est empreint de dialecte. Entre la sympathie de Giovanni Verga (1840-1922) pour les siciliens, ces rustiques « vaincus de la vie », l'écho insistant de la religion et de l'Histoire chez Luigi Pirandello (1867-1936) et plus récemment chez Vincenzo Consolo (né en 1933) la découverte de « l'Autre », personnifié par les chars américains, un portrait riche et chamarré de la Sicile.
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«Autrefois les Malavoglia avaient été aussi nombreux que les pierres de la vieille route de Trezza ; il y en avait jusqu'à l'Ognina et jusqu'à Aci Castello, tous de bonnes et braves gens de mer qui, comme de juste, démentaient ce que semblait indiquer leur surnom. Ils s'appelaient en réalité Toscano sur le livre de la paroisse, mais cela ne voulait rien dire, puisque depuis que le monde était monde, à l'Ognina, à Trezza et à Aci Castello, on les avait toujours connus de père en fils sous ce nom : les Malavoglia qui avaient toujours eu des barques sur l'eau et des tuiles au soleil.»
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«Au village, on l'appelait la Louve parce qu'elle n'était jamais rassasiée - de rien. Les femmes se signaient quand elles la voyaient passer, seule comme une mauvaise chienne, avec cette allure incertaine et soupçonneuse de la louve affamée : elle dévorait leurs fils et leurs maris en un clin d'oeil avec ses lèvres rouges, et les entraînait derrière ses jupes rien qu'en les regardant de ces yeux de démon, quand bien même ils auraient été devant l'autel de sainte Agrippine. Heureusement la Louve ne venait jamais à l'église, ni à Pâques, ni à Noël, ni pour entendre la messe, ni pour se confesser - le père Ange de Sainte-Marie de Jésus, un vrai serviteur de Dieu, avait perdu son âme pour elle.» Dans les paysages brûlants d'une Sicile rongée par la malaria, Giovanni Verga dépeint magistralement les combats et les tourments de ceux qu'il appellera «les vaincus de la vie». Quatre nouvelles par l'auteur des Malavoglia, grand classique de la littérature italienne.
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Toute l'oeuvre de Giovanni Verga, le plus grand vériste italien, est centrée sur les " vinti dalla vita " (" les vaincus de la vie "). Dans les nouvelles ici rassemblées il s'est attaché à peindre le courage viril avec lequel les humbles affrontent la vie. Avec un réalisme saisissant il nous montre l'attachement au lieu de naissance, aux anciennes coutumes, la résignation à la dureté d'une vie parfois inhumaine, la conscience que cette société fermée où évoluent ses personnages, hauts en couleurs, est la seule défense contre les nouveautés venues de l'extérieur.
Ses personnages manifestent leur fidélité à des sentiments simples et à des valeurs ancestrales. Pour Verga ceux qui acceptent leur propre destin dans une résignation consciente possèdent la sagesse et la moralité. C'est toute la Sicile, âpre et rude de la fin du XIXe siècle qu'il fait ainsi revivre pour ses lecteurs.
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Après le village de pêcheurs siciliens qu'il a inoubliablement campé dans Les Malavoglia, oeuvre majeure de la littérature vériste qui devait inspirer Luchino Visconti pour son film La terre tremble, Giovanni Verga ressuscite cette fois le grouillement de toute une ville, Vizzini, dans la province de Catane, en même temps qu'il nous conte l'ascension forcenée et la tragique défaite d'un homme du peuple : Mastro-don Gesualdo. Avec ce roman, dont l'action se déroule entre 1820 et 1848, l'art de Verga a trouvé son expression la plus haute. Chaque chapitre relève un défi : incendie, procession, inondation, mariage, enchère, révolution, épidémie emportent le lecteur dans une action percutante à deux cents personnages. Et dans la solitude aussi de la campagne sicilienne, brûlée sous un soleil à la morsure fauve. C'est dans ce décor que, seul sur son âne, obstiné, âpre au labeur et au gain, don Gesualdo va défier une société immobile et des pouvoirs insolents, jusqu'à s'affronter aux siens et aux limites mêmes de sa chair.
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Par les rues réunit en un seul recueil en 1883 douze récits (dont dix publiés dans la presse à partir de janvier 1882) qui sont autant d'instantanés sur la vie milanaise de la fin du xixe siècle. Leur rythme lent, le ton légèrement amusé, parfois ironique, l'acuité descriptive, témoignent de la proximité de Verga avec les personnages et les situations qu'il a eu tout le loisir d'observer durant la vingtaine d'années où il a vécu à Milan. Édition bilingue. Postface d'Emmanuel Malherbet.
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Par les rues réunit en un seul recueil en 1883 douze récits (dont dix publiés dans la presse à partir de janvier 1882) qui sont autant d'instantanés sur la vie milanaise de la fin du xixe siècle. Leur rythme lent, le ton légèrement amusé, parfois ironique, l'acuité descriptive, témoignent de la proximité de Verga avec les personnages et les situations qu'il a eu tout le loisir d'observer durant la vingtaine d'années où il a vécu à Milan.
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Par les rues réunit en un seul recueil en 1883 douze récits (dont dix publiés dans la presse à partir de janvier 1882) qui sont autant d'instantanés sur la vie milanaise de la fin du xixe siècle. Leur rythme lent, le ton légèrement amusé, parfois ironique, l'acuité descriptive, témoignent de la proximité de Verga avec les personnages et les situations qu'il a eu tout le loisir d'observer durant la vingtaine d'années où il a vécu à Milan.
Ce second volume contient :
- Amour sans fard / Amor senza Benda - Une histoire simple / Semplice Storia - La taverne des bons amis / L'Osteria dei Buoni Amici Edition bilingue. -
Giovanni Verga, né et mort à Catane (1840-1922), est une des plus grandes figures de la littérature italienne de la seconde moitié du xixeme siècle. Admirateur de Flaubert, de Maupassant et de Zola, mais aussi du réalisme anglais et russe, il est le principal représentant du vérisme. Qu'il s'agisse de ses grands romans (Les Malavoglia, Mastro-Don Gesualdo) ou de ses très nombreuses nouvelles, son écriture est fondée sur une observation scrupuleuse de la réalité sociale et de la psychologie des personnages toujours mises en perspective par une profondeur dramatique totalement maîtrisée.
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Eccovi una narrazione - sogno o storia poco importa - ma vera, com'è stata e come potrebbe essere, senza retorica e senza ipocrisie. Voi ci troverete qualcosa di voi, che vi appartiene, che è frutto delle vostre passioni, e se sentite di dover chiudere il libro allorché si avvicina vostra figlia - voi che non osate scoprirvi il seno dinanzi a lei se non alla presenza di duemila spettatori e alla luce del gas, o voi che, pur lacerando i guanti nell'applaudire le ballerine, avete il buon senso di supporre che ella non scorga scintillare l'ardore dei vostri desideri nelle lenti del vostro occhialetto - tanto meglio per voi, che rispettate ancora qualche cosa.
Però non maledite l'arte che è ... -
Al centro della narrazione sta la "Provvidenza", la barca più illustre della letteratura italiana, la più vecchia delle barche da pesca del villaggio. La vicenda ruota intorno alla sventura dei Malavoglia, innescata proprio dal naufragio della "Provvidenza" carica di lupini presi a credito. Si snoda così tutta una trama straordinariamente complessa che non abbandona mai lo svolgersi doloroso del dramma. Il quale è una serie di rovesci, colpo su colpo contro i Malavoglia, ogni volta che a forza di rassegnazione e coraggio riescono a rialzarsi dal colpo precedente.
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Turiddu Macca, el hijo de la sena Anuncia, al volver de servir al rey, pavoneabase todos los domingos en la plaza, con su uniforme de tirador y su gorro rojo, que parecia talmente el hombre de la buenaventura cuando saca la jaula de los canarios. A las mozas ibanseles tras él los ojos, según entraban en misa, recatadas bajo la mantilla, y los chiquillos revoloteaban como moscas a su alrededor. Habia traido hasta una pipa con el rey a caballo, que parecia de verdad, y encendia los fósforos en la trasera de los pantalones, levantando la pierna como si diese un puntapié. Mas, con todo, Lola la del senor Angel no se dejaba ver ni en misa ni en el balcón: que se habia tomado los dichos con uno de Licodia que era carretero, y tenia en la cuadra cuatro machos del Sortino. Cuando Turiddu lo supo, en el primer pronto, ¡santo diablo!, queria sacarle las tripas al de Licodia; pero no lo hizo, y se desahogó yendo a cantar bajo la ventana de la bella cuantas canciones de desdenes sabia.
- ¿Es que no tiene nada que hacer Turiddu, el de la sena Anuncia - decian los vecinos -, que se pasa las noches cantando como un gorrión solitario?
Al cabo, topó con Lola, que volvia del viaje a la Virgen de los Peligros, y que al verle ni palideció ni se puso colorada, cual si nada hubiera pasado.
- ¡Ojos que te ven!- le dijo.
- Hola, compadre Turiddu; ya me habian dicho que habias vuelto a primeros de mes.
- ¡A mi me han dicho otras cosas! - respondió -. ¿Es verdad que te casas con el compadre Alfio el carretero?
- ¡Si es la voluntad de Dios...! - contestó Lola, juntando sobre la barbilla las dos puntas del panuelo.
- ¡La voluntad de Dios la haces con el tira y afloja que te conviene! ¡Y la voluntad de Dios ha sido que yo tenia que venir de tan lejos para encontrarme con tan buenas noticias, Lola!
El pobrecillo intentaba aún darselas de valiente; pero la voz casi le faltaba e iba tras de la moza contoneandose, bailandole de hombro a hombro la borla del gorro. A ella, en conciencia, le dolia verle con una cara tan larga; pero no tenia animos para lisonjearle con buenas palabras. -
Non sapevo più nulla di Giorgio La Ferlita allorché ricevetti il biglietto che m'invitava alle sue nozze. Dacché si era messo nella carriera diplomatica non ci eravamo visti che a rari intervalli, e come di sfuggita. L'ultima volta che l'avevo incontrato a Firenze, in tutta la pompa della sua cravatta bianca, arrivava dal Giappone, e ci stringemmo la mano alla tavola rotonda dell'Albergo della Pace. Il mio amico era un bel giovane, pieno di brio, alquanto sarcastico e motteggevole, con una vernice di buona compagnia raccolta qua e là, a Londra e a Vienna, un po' commesso viaggiatore in uniforme d'addetto d'ambasciata. Fu gentilissimo verso di me, mi riconobbe subito, non mi parlò de' suoi...
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Nel vano della finestra s'incorniciano i castagni d'India del viale, verdi sotto l'azzurro immenso - con tutte le tinte verdi della vasta campagna - il verde fresco dei pascoli prima, dove il sole bacia le frondi; più in là l'ombrìa misteriosa dei boschi. Fra i rami che agita il venticello s'intravvede ondeggiante un lembo di cielo, quasi visione di patria lontana. Al muoversi delle foglie le ombre e la luce scorrono e s`inseguono in tutta la distesa frastagliata di verde e di sole come una brezza che vi giunga da orizzonti sconosciuti. E nel folto, invisibili, i passeri garriscono la loro allegra giornata con un fruscìo d'ale fresco e carezzevole anch'esso.
Sotto, nel largo viale, la ci... -
LA GNÀ PINA, detta la Lupa, ancora bella e provocante, malgrado i suoi trentacinque anni suonati, col seno fermo da vergine, gli occhi luminosi in fondo alle occhiaie scure e il bel fiore carnoso della bocca, nel pallore caldo del viso.
MARA, sua figlia, giovanetta delicata e triste - quasi la colpa non sua le pesasse sul capo biondo, e non osasse fissare in viso alla gente i begli occhi timidi.
NANNI LASCA, bel giovane - tenero con le donne, ma più tenero ancora del suo interesse; sobrio e duro al lavoro, come chi mira ad assicurarsi uno stato. - Fronte bassa e stretta, sotto i capelli ruvidi - denti di lupo, e begli occhi di cane da caccia.
BRUNO, contadinotto sano ed allegro, che pi... -
Allorché Paolo era arrivato a Milano colla sua musica sotto il braccio - in quel tempo in cui il sole splendeva per lui tutti i giorni, e tutte le donne erano belle - avea incontrato la Principessa: le ragazze del magazzino le davano quel titolo perché aveva un visetto gentile e le mani delicate; ma soprattutto perch'era superbiosetta, e la sera, quando le sue compagne irrompevano in Galleria come uno stormo di passere, ella preferiva andarsene tutta sola, impettita sotto la sua sciarpetta bianca, sino a Porta Garibaldi. Così s'erano incontrati con Paolo, mentre egli girandolava, masticando pensieri musicali, e sogni di giovinezza e di gloria - una di quelle sere beate in cui si sentiva t...
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Potevano essere le undici quando la piccola Gabina si svegliò nel gran letto di legno della stanza di sopra, ove dormiva sempre con la sua mamma che le voleva tanto bene.
Ma quella notte la mamma non le stava allato. Perché dunque non c'era? Per quanto Gabina stendesse le sue manine da tutte le parti del gran letto di legno non poteva trovare la sua mamma. Solo le lenzuola fredde come il vento, solo i guanciali di percalle rosso; null'altro!
Dove era dunque la mamma? Gabina si coricava e si levava sempre insieme a lei; mai s'era trovata sola in letto, così, nel gran letto freddo, nell'oscurità della notte spaventosa.
Quello era dunque un grande avvenimento per la piccina.
- Mamma... m... -
Camilla picchiò all'uscio, mentre i genitori stavano per andare a letto, e disse:
- Elena è fuggita.
Don Liborio rimase collo stivaletto in mano, sbalordito. Poscia andò ad aprire zoppicando, pallido come un morto.
La figliuola, colla sua voce calma di ragazza clorotica, ripeté tranquillamente:
- L'ho cercata dappertutto. Non c'è più.
Allora la mamma si rizzò a sedere sul letto e cominciò a strillare: - M'hanno rubata mia figlia! m'hanno rubata mia figlia! - Taci! le disse suo marito. Non gridare così, ché i vicini sentono!
Il pover'uomo, tutto sottosopra, ancora mezzo scalzo, colla camicia che gli si gonfiava al pari di una gobba fra la croce degli straccali, andò ad accendere un'a... -
Nanni Lasca, da ragazzo, non si rammentava altro: suo padre, compare Cosimo, che tirava la fune della chiatta, sul Simeto, con Mangialerba, Ventura e l'Orbo; e lui a stendere la mano per riscuotere il pedaggio. Passavano carri, passavano vetturali, passava gente a piedi e a cavallo d'ogni paese, e se ne andavano pel mondo, di qua e di là del fiume.
Prima compare Cosimo aveva fatto il lettighiere. E Nanni aveva accompagnato il babbo nei suoi viaggi, per strade e sentieri, sempre coll'allegro scampanellìo delle mule negli orecchi. Ma una volta, la vigilia di Natale - giorno segnalato - tornato a Licodia colla lettiga vuota, compare Cosimo trovò al Biviere la notizia che sua moglie stava pe... -
Don Candeloro era proprio artista nel suo genere: figlio di burattinai, nipote di burattinai - ché bisogna nascerci con quel bernoccolo - il suo pane, il suo amore, la sua gloria erano i burattini. - Non son chi sono se non arrivo a farli parlare! - diceva in certi momenti di vanagloria come ne abbiamo tutti, allorché gli applausi del pubblico gli andavano alla testa, e gli pareva di essere un dio, fra le nuvole del palcoscenico, reggendo i fili dei suoi personaggi.
Per essi non guardava a spesa. Li perfezionava, li vestiva sfarzosamente, aveva ideato delle teste che movevano occhi e bocca, studiava sugli autori la voce che avrebbe dovuto avere ciascuno di essi, Almansore o Astiladoro.... -
Turiddu Macca, il figlio della gnà Nunzia, come tornò da fare il soldato, ogni domenica si pavoneggiava in piazza coll'uniforme da bersagliere e il berretto rosso, che sembrava quella della buona ventura, quando mette su banco colla gabbia dei canarini. Le ragazze se lo rubavano cogli occhi, mentre andavano a messa col naso dentro la mantellina, e i monelli gli ronzavano attorno come le mosche. Egli aveva portato anche una pipa col re a cavallo che pareva vivo, e accendeva gli zolfanelli sul dietro dei calzoni, levando la gamba, come se desse una pedata.
Ma con tutto ciò Lola di massaro Angelo non si era fatta vedere né alla messa, né sul ballatoio, ché si era fatta sposa con uno di Lico... -
Il cavalier Falconi dal viale di sinistra, e Tonio dal padiglione.
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Dirò come mi sia pervenuta questa storia, che convenienze particolari mi obbligano a velare sotto la forma del romanzo.
Verso la metà di novembre avevamo progettato una partita di campagna con Consoli e Pietro Abate.
Il 14, con una bella giornata, noi eravamo sulla strada di Aci.
Verso Cannizzaro un elegante calesse signorile oltrepassò la nostra modesta carrozza da nolo. Giammai si è tanto umiliati dal contrasto come in simili casi. Consoli, ch'era forse il più matto della compagnia, gridò al cocchiere:
«Dieci lire se passi quel calesse!».
Il cocchiere frustò a sangue le rozze, che cominciarono a correre disperatamente, facendoci sbalzare in modo da esser sicuri di ribaltare; e sicc... -
FERDINANDO. La riverisco, cara signora Emilia. Buon giorno. Maria.
EMILIA. Oh, ecco qui il Dottor Ferdinando che ci reca qualche notizia. Non sedete un momento?
FERDINANDO. Cercavo il sig. Montalti.
EMILIA. È uscito poco fa.
FERDINANDO. Non per andare in piazza ad aspettare l'esito della votazione, ne sono sicuro!
EMILIA. Oh, tutt'altro! È così agitato quel povero Prospero! Ma accordateci almeno cinque minuti (invitandolo a sedere sul canapé). Il caffé pel dottor Ferdinando, Maria! (siedono).
MARIA. Subito, mamma (esce).
EMILIA. A voi, sig. Ferdinando, che ci dite?
FERDINANDO. Buone nuove, ottime nuove! Lodato sia il Signore! (inchinando il capo).
EMILIA. Credete che riusciremo?
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