Si l'on entend par âme la partie incorporelle de l'être, le siège de la sensibilité, de l'entendement et de la volonté, oui, les animaux ont une âme.
Si l'on entend par âme le courage, les sentiments élevés, les instincts généreux d'un individu, oui, les animaux ont une âme.
Si l'on entend par âme un principe immatériel se séparant du corps à l'heure de la mort, permettant de continuer à vivre dans un autre monde et de se manifester en celui-ci, oui, les animaux ont une âme.
Secouant le joug de nos philosophies occidentales, Jean Prieur, se fondant sur la tradition ésotérique universelle et sur mille faits d'observation quotidienne, remet tout en question. Le dossier qu'il présente ici témoigne de la profondeur des relations qui nous unissent à ces compagnons de notre quotidien.
Étudier les symboles, c'est faire incursion dans l'histoire, la religion, la mythologie comme dans la magie, le folklore et les communications avec l'au-delà.
- Le symbole est un résumé de la connaissance, médiateur entre le monde visible et invisible.
- Toute la création s'y retrouve simplifiée et magnifiée.
Adolph Hitler est né le 20 avril 1889 en Autriche, jeunesse difficile à Vienne, il fréquente des sociétés occultes dont les membres ne cesseront de le soutenir. Comment expliquer qu'il soit monté si vite et si haut?? De quelle force était-il investi pour rassurer tous les pouvoirs existants : de la Wehrmacht aux grands patrons, des ouvriers aux intellectuels?? Comment expliquer cet incroyable destin, cette fascination qu'il exerçait sur les foules?? Existe-t-il une providence satanique?? Pour Jean Prieur, les forces en présence lors de la Seconde Guerre se situaient autant dans le ciel métaphysique que dans celui des bombardiers. Car l'histoire n'est que l'autre nom de l'éternelle bataille des Fils des Ténèbres contre les Fils de la lumière.
« La croyance en la survie, si profondément enracinée dans l'âme des Orientaux, la notion de vie éternelle, rappelée souvent dans les messages du Christ, ne préoccupent guère qu'un petit nombre d'humains. Pourtant, comme dans toutes les époques troublées, se manisfeste de nos jours un intérêt croissant pour « J'occulte » sous ses différents aspects. Ces Invisibles : Pierre Monnier, Roland de Jouvenel, messagers français et britanniques, nous offrent un témoignage solide et simple, en pleine conformité avec les Ecritures. Ils devraient apporter la paix aux êtres travaillés par le doute ou l'angoisse devant le mystère de l'Au-delà. » L'auteur, qui connaît les objections des adversaires des communications spirituelles, répond à toutes les questions, éclaire les points obscurs, précise les conditions requises pour que s'effectuent ces échanges entre les deux mondes, et nous fait pénétrer, grâce à de précieux témoignages, dans le royaume merveilleux auquel, consciemment ou inconsciemment, tout âme aspire. Un ouvrage où, ainsi que le souligne Gabriel Marcel dans sa préface : « La profondeur de la pensée s'unit au scrupule de la recherche.» Magda Martini dans Les Nouvelles Littéraires
- Y'a t-il un Au-delà ?
- S'il est un Au-delà, nous retrouverons-nous ?
- Et si je te retrouve, me reconnaîtras-tu ?
Jean Prieur, avec la force de son expérience, répond aujourd'hui clairement et fermement OUI à ces questions à travers ce livre.
Un incontournable de Jean PRIEUR.
L'Europe existe-t-elle encore en tant qu'unité et projet ? Comment définir aujourd'hui la place de notre pays au sein de l'Union ? L'auteur propose de s'appuyer sur la zone euro en construisant un véritable fédéralisme économique et social ; de favoriser des noyaux durs européens capables de résister à la concurrence mondiale et constitués autour des grandes industries, universités et pôles de recherche, et de la mise en commun des ressources militaires de quelques pays...
Il est impossible de parler de spiritualité moderne sans évoquer la personnalité dynamique de ce penseur singulier que fut Emmet Fox. Ce grand homme d'origine Irlandaise et de culture catholique naquit à Cork le 30 juillet 1886. Il a quatorze ans quand, en fouinant chez un bouquiniste, il tombe sur des brochures américaines traitant de spiritualité pratique. Émerveillé, bouleversé, il se convertit au protestantisme. Il découvre la philosophie d'Emerson et de William James, puis le Mouvement Silent Unity fondé par Charles et Myrtle Fillmore. Il devient membre de la Société Britannique pour la recherche psychique et participe à de nombreuses expériences de spiritisme avant de développer une conception originale de guérison basée sur l'enseignement du Christ et l'application de la pensée positive. En 1931, il sent soudain que sa destinée n'est pas en Angleterre. Comme il s'interroge sur la direction à prendre, une voix intérieure lui dit : «Va à l'ouest ! Vois d'abord l'Amérique !» Il y connait un succès immédiat, propageant, grâce à des livres et de nombreuses conférences, sa technique positive qui a bouleversé bien des existences. La pensée d'Emmet Fox se rattache au pragmatisme américain de William James qui faisait de la méthode expérimentale l'instrument privilégié de toute connaissance. Pour lui, comme pour Fox, le critère de la vérité réside dans sa valeur pratique.
Il n'existait jusqu'à présent, aucun ouvrage d'ensemble sur le corps ultra-physique qui a été connu de tout temps par la tradition ésotérique universelle et méconnu par la science, la philosophie et la théologie occidentales de ces trois derniers siècles. Selon les civilisations, ce corps a reçu les noms les plus divers: corps subtil, astral, éthéré, lumineux, spirituel, métaphysique; ces termes d'ailleurs ne sont pas synonymes. C'est le corps subtil qui est à la base de tous les phénomènes dits paranormaux et qui en donne une explication rationnelle. Apparitions, lévitations, manifestations post mortem, raps, poltergeist, apports, dédoublement, idéoplastie, s'organisent autour de ce dénominateur commun. Commun aux humains et aux animaux, aux incarnés et aux désincarnés, ce corps métaphysique a une forme, une substance, un poids, une couleur, une structure atomique. Il est comme la lumière, dont il porte parfois le nom de nature vibratoire et corpusculaire; son rayonnement coloré est appelé aura. Il assure stabilité et permanence aux vivants de tous les règnes et, une fois de plus, nous constatons l'unité conceptuelle et physique du cosmos. Le livre de Jean Prieur est une sorte de grand voyage initiatique à travers les religions, les philosophies dissidentes, les traditions ésotériques et occultes des divers siècles et des diverses cultures.
Jean Prieur présente ici un témoignage sous forme de récit où les noms et lieux sont imaginaires mais où les faits, les situations et les pensées ont été vécues. Marianne, dont l'époux René quitte la terre tente de se suicider. Lui-même, en proie à ses questionnements dans la psychosphère, décide de lui venir en aide par le biais de la transcommunication. Il entreprend de se faire entendre par les rêves, les parfums, les bruits et les animaux mais ce n'est qu'avec l'écriture automatique que peut débuter un vrai dialogue.
Au-delà de l'existence de cet Au-delà, l'auteur nous transporte au fil des pages dans ce monde bel et bien vivant, où la loi de cause à effet est omniprésente.
Les symboles sont présents partout dans le monde moderne. Ils nous entourent, nous obsèdent. Peu compris aujourd'hui, leur importance reste toujours aussi grande.
Dans cette nouvelle édition, Jean Prieur nous explique toute la symbolique des arbres, des fleurs et de certains minéraux. Riche en référence historique, mythologique, religieuse et philosophique, ce livre permet d'élargir sa connaissance du vivant afin de s'en rapprocher au mieux.
J'ai fait un rêve, dit le Grand Oublié Divin, j'ai vu en songe la scène suivante : les représentants des peuples de la Terre se constituaient en Assemblée internationale et considéraient que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des Droits de Dieu étaient les principales causes des malheurs publics et de la corruption des moeurs et des gouvernements.
Lesdits représentants décidaient d'exposer dans un texte solennel les droits naturels et surnaturels, inaliénables et sacrés du Souverain des mondes. Cette déclaration, constamment présente à l'esprit de tous les membres du corps international, devait leur rappeler sans cesse leurs devoirs à l'égard de la divinité. En conséquence, l'Assemblée internationale des peuples de la Terre reconnaissait et déclarait, sous les auspices de l'Etre suprême, Ses droits imprescriptibles, en complément des droits de l'Homme, ce futur citoyen des cieux.
Comme il est écrit dans un article de la Déclaration d'indépendance des Etats-Unis : « tous les hommes sont créés égaux, doués par leur Créateur de certains droits inaliénables parmi lesquels se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur ». La recherche du bonheur : quelle belle expression et comme elle est rare dans les textes sacrés que l'on attribue à Dieu ! Et si la recherche du bonheur était tout simplement la recherche de la lumière divine ? Voici donc, mise en forme pour la première fois, la Déclaration Universelle des Droits de Dieu.
Comme la « Déclaration des droits de l'Homme » dont il s'inspire, ce texte comporte 17 articles.
Si l'on entend par âme la partie incorporelle de l'être, le siège de la sensibilité, de l'entendement et de la volonté, la source des pensées, des attachements et des passions, oui, les animaux ont une âme.
Si l'on entend par âme le courage, les sentiments élevés, les instincts généreux d'une individualité considérée du point de vue moral, oui, les animaux ont une âme. Si l'on entend par âme un principe immatériel se séparant du corps à l'heure de la mort ; si l'on entend par âme un double de l'être à la ressemblance du vivant qu'il fut et lui permettant de continuer à vivre dans un autre monde, et de se manifester en celui-ci, oui, les animaux ont une âme.
Les Egyptiens, les Grecs, les Perses, les Indiens n'en ont jamais douté. Mais en Occident Descartes affirme, contre toute évidence, que les animaux ne sont que des automates. Secouant le joug du rationalisme et du matérialisme, Jean Prieur, se fondant sur la tradition ésotérique universelle et sur mille faits d'observation quotidienne, remet tout en question. Le dossier qu'il présente ici ne permet plus de doute : oui, les animaux ont une âme.
Pour Jean Prieur, il existe plusieurs sortes d'approches de ce monde parallèles qu'on appelle l'au-delà. Il y a bien sûr les messages venus des sphères christiques : ceux de Roland de Jouvenel ou de Pierre Monnier. Mais il y a aussi des messages au contenu plus simple mais dont on peut vérifier après coup la réalité et la consistance. Ces signes, tels les songes, les apports, les prémonitions, les présages, les apparitions et autres messages et contacts avec des médiums sont nombreux et variés. À la lecture de ce livre richement documenté, on constate que, dans le domaine des irruptions d'lnvisible dans la vie contemporaine, la France n'a rien à envier aux pays anglo-saxons. Cet ouvrage est émaillé d'anecdotes à propos de ces contacts si nombreux. Certaines sont surprenantes, déroutantes même. Il s'agit d'une plongée dans le monde méconnu de la médiumnité et du mystère d'où le lecteur ressortira conforté dans cet étrange sentiment que, effectivement, les morts ont donné signe de vie !
Il n'existait jusqu'à présent, aucun ouvrage d'ensemble sur le corps ultra-physique qui a été connu de tout temps par la tradition ésotérique universelle et méconnu par la science, la philosophie et la théologie occidentales de ces trois derniers siècles. Selon les civilisations, ce corps a reçu les noms les plus divers : corps subtil, astral, éthéré, lumineux, spirituel, métaphysique ; ces termes d'ailleurs ne sont pas synonymes. C'est le corps subtil qui est à la base de tous les phénomènes dits paranormaux et qui en donne une explication rationnelle. Apparitions, lévitations, manifestations post mortem, raps, poltergeist, apports, dédoublement, idéoplastie... s'organisent autour de ce dénominateur commun. Commun aux humains et aux animaux, aux incarnés et aux désincarnés, ce corps métaphysique a une forme, une substance, un poids, une couleur, une structure atomique. Il est comme la lumière, dont il porte parfois le nom de nature vibratoire et corpusculaire ; son rayonnement coloré est appelé aura. Il assure stabilité et permanence aux vivants de tous les règnes et, une fois de plus, nous constatons l'unité conceptuelle et physique du cosmos. Le nouveau livre de Jean Prieur est une sorte de grand voyage initiatique à travers les religions, les philosophies dissidentes, les traditions ésotériques et occultes des divers siècles et des diverses cultures.
Plus le temps passe, plus l'Apocalypse devient claire, plus l'actualité se charge de l'élucider.
Au début de ce long travail de traduction et de commentaire auquel il s'attela en août 1945, Jean Prieur était persuadé que l'Apocalypse est permanente, que batailles, disettes, séismes, révolutions sont de tous les temps et que chaque siècle a l'illusion d'être le dernier. Cependant, en complétant l'Apocalypse (écrite) de Saint Jean par celle (orale) de Jésus lui-même : Apocalypse synoptique de Matthieu XXIV, Marc XVII et XXI, il constata que tous les signes, autrefois dispersés sur différentes époques, se rassemblaient soudain sur la nôtre.
Aux catastrophes classiques de jadis se sont superposés de catastrophes inédites. Aux guerres, bruits de guerre et insurrections, aux famines et tremblements de terre, aux persécutions contre les croyants, se sont ajoutés les faux prophètes et leurs doctrines démentielles ; les faux christs de ce monde et de l'autre ; le refus général de toute autorité politique, sociale ou ecclésiale ; la puanteur de la dévastation (l'abomination de la désolation) : puanteur de l'air et des eaux, puanteur des idées et du vocabulaire ordurier ; les grandes terreurs venues du ciel (bombardements aériens, bombes A et H, armés A, B, C : atomiques, bactériologiques, chimiques ; le grand désastre tel qu'il n'y en a pas eu de semblable depuis le commencement du monde.
Enfin, l'Evangile annoncé à toutes les nations, voilà qui est fait, mais annoncé ne signifie pas accepté. Peut-on dater ces événements ? Certainement, il suffit de relire Luc XXI, 24 : " Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations jusqu'à ce que les temps des nations soient accomplis ". Effectivement Jérusalem a été occupée par les nations, les non-juifs, de l'an 70 à l'an 1967, où s'est enclenché le vaste processus de désintégration morale, mentale, religieuse et politique auquel nous assistons.
Dans l'Apocalypse johannique comme dans l'Apocalypse synoptique, il est question de soleil et de lune obscurcis, tout cela s'est réalisé dans les zones industrielles et, en 1991, dans le Koweit de la guerre du Golfe. Les deux Apocalypses sont, hélas, de moins ne moins symboliques. Cependant, toutes deux par la voix de Jésus et de Saint-Jean nous promettent que le signe du Fils de l'Homme paraîtra dans le ciel de l'Esprit.