Durant son mandat, le président John F. Kennedy fait de la réforme de l'immigration son cheval de bataille, convaincu que les Américains constituent un peuple à la fois attaché aux traditions et tourné vers de nouvelles cultures, de nouveaux horizons. À ce titre, il faut selon lui défendre leur droit à la liberté, celle de se réinventer une vie meilleure dans leur pays d'adoption.
Cet opuscule, qui fut le dernier livre de JFK, publié à titre posthume, recense les réflexions de l'ancien président sur la question de l'immigration et retrace les principaux jalons de son histoire aux États-Unis.
À l'heure où les débats sur l'immigration sont plus vifs que jamais, ce texte constitue un hymne aux immigrants et à leur rôle dans la croissance d'un pays devenu la première puissance mondiale.
En 1963, un siècle après l'abolition de l'esclavage, la discrimination raciale est toujours d'actualité aux Etats-Unis. Sous la pression grandissante des militants noirs, John F. Kennedy annonce la promulgation d'une loi visant à taire des Noirs américains des citoyens comme les autres, "sans distinction de couleur ni de race". Mais les promesses du président ne suffisent pas à calmer la colère des mouvements radicaux. Pour Malcolm X, il n'est pas question d'opposer un discours non violent à la violence quotidienne infligée aux Noirs ; ce sera la liberté ou la mort, le vote ou le fusil. Des discours qui ont marqué l'Histoire, par des figures d'exception.