Un été incandescent dans la vie de la future Gisèle Halimi.Juillet 1945. Chaque matin, sous un soleil brûlant, Gisèle piétine devant la Résidence générale de Tunis, déterminée à obtenir le papier qui lui donnera des ailes : un ordre de mission avec Paris pour horizon. Car Gisèle veut étudier à la Sorbonne et devenir avocate. Elle veut lutter contre l'injustice, elle veut se battre pour le droit des femmes - deux combats qui s'enracinent dans son enfance.Face à la mer, l'été de ses 18 ans, Gisèle navigue dans ses souvenirs, le regard tourné vers l'avenir.
Maïa Brami découvre son oeuvre, s'éprend de lui, et pousse la porte de sa dernière maison, à Milly-La-Forêt, où il a vécu avec Jean Marais jusqu'à sa mort.
Sur sa tombe, à la chapelle Saint-Blaise-des-Simples où un chat veille sur lui, une seule inscription :
" Je reste avec vous. " Jean Cocteau (1889-1963), génie aux mille visages, romancier, cinéaste, dramaturge, peintre. Et toujours poète.
Maïa Brami découvre son oeuvre, s'éprend de lui, et pousse la porte de sa dernière maison, à Milly-La-Forêt, où il a vécu avec Jean Marais jusqu'à sa mort. Tout y semble pétrifié, comme dans les contes, hanté comme dans La Belle et la Bête d'une formidable présence.
Si le poète a quitté son " refuge ", il y a laissé des traces : une foule d'objets hétéroclites, grigris et souvenirs qui le racontent : le dé de Picasso, la tapisserie en imprimé léopard, l'exemplaire corné du Fou d'Elsa, les rideaux de velours rouge... et les étoiles, dont il signait toutes ses lettres.
Sur sa tombe, à la chapelle Saint-Blaise-des-Simples où un chat veille sur lui, une seule inscription :
" Je reste avec vous. "
Depuis qu'elle l'a surpris en train d'enlever son t-shirt devant sa fenêtre, Stella fantasme sur son voisin d'en face. Installée aux premières loges, elle écrit des lettres enflammées à cet homme dont elle ignore tout et qui, c'est certain, ne la lira jamais. Alors elle s'en donne à coeur joie, s'inventant mille scenarii et livrant ses réflexions, drôles et pertinentes, sur les hommes, les femmes, le cinéma, le désir, le sexe et tout le reste... Maïa Brami nous offre un roman épistolaire délicieux qui aborde avec finesse et humour les questions de corps et de sexualité, pour un troisième ouvrage de la collection L'Ardeur.
Alors qu'elle se trouve en vacances avec ses parents dans un coin isolé de l'Ardèche, la narratrice de ce récit, seize ans, reçoit une lettre de son amie Béa.
Ce qu'elle lit, va l'amener à reconsidérer d'un autre oeil les années de collège et de lycée qui viennent de s'écouler. Qui sont réellement Eve, Béa, Ariane et Jasmine, ses amies à-la-vie-à-la-mort ? Quel drame s'est peu à peu noué entre cours et promenades au Jardin du Luxembourg ? Et quel jus amer coulait des cerises cueillies un dimanche de campagne, tandis qu'à la télévision, Jim Courier remportait pour la deuxième année consécutive le tournoi de Roland-Garros ?
Alors que ses copines sont en vacances, Douce fait un stage dans le magazine féminin d'une amie de sa mère.Hélas ! Le journal est en difficulté et l'ambiance est désastreuse. Livrée à elle même, Douce est complètement perdue et démoralisée.On finit par lui confier la rédaction de tests psychologiques pour le site Internet, mais les journalistes les méprisent et Douce se trouve encore plus isolée.Alors quand, par hasard, elle rencontre Amira, sa star préférée en pleine crise de déprime, elle saisit sa chance. Si elle réussit à décrocher une interview exclusive, peut-être parviendra-t-elle enfin à être reconnue ?Mais les stars sont des gens très spéciaux, et Douce n'est pas au bout de ses surprises...
Avec "Pour qu'il advienne", Maïa Brami signe son premier recueil de poèmes. Il s'inscrit dans la nouvelle collection "Arts en résonance", qui propose de mettre en écho mots, images et musique. Les dessins abstraits de son grand-père, le peintre Emanuel Proweller - publiés ici pour la première fois -, dialoguent avec ses mots de poète, et répondent aux notes de la partition de Sarah Nemtsov, compositrice berlinoise, qui a mis en musique cinq des textes du recueil.Derrière ce titre en forme de prière, il y a une femme qui se débat avec son désir contrarié d'enfants et qui tente de dompter la souffrance, en cherchant à lâcher prise : "ne plus espérer pour qu'il advienne".
Maïa Brami vit à Paris. Violoniste de coeur, elle doit sa première expérience littéraire à son voisin de palier avec lequel elle entretient une correspondance exaltée entre 1991 et 1994. Côtoyant pendant deux années les bancs ingrats de la fac de droit, elle décide de tout abandonner pour écrire. Depuis, elle collabore à divers journaux et magazines : musique classique et littérature jeunesse constituent ses chevaux de bataille. Après Vis ta vie Nina publié chez Grasset-Jeunesse en 2000, Les pères aussi ont leurs secrets est son second ouvrage destiné aux adolescents.
Le Livre :
Entre le lycée et ses cours de violon, entre deux absences de son père pilote de ligne, Amanda doute de sa vocation : est-ce pour elle ou pour son père qu'elle poursuit ces dures études au conservatoire ? Sa rencontre avec Ariel Zimbal le grand maestro changera sa vie et la poussera à choisir son destin...
« Une jeune femme aspire de tout son être à donner la vie mais son utérus s'y refuse. En miroir, une autre jeune femme, sa soeur dépressive, ne tient plus à la vie et menace de se détruire mais le lien vital est plus fort et l'en empêche. La non-vie réfléchit la vie. Hors de toute dualité. Ici, la mort n'a pas son mot à dire, jamais. C'est la maternité qui parle. (.) Chez Maïa Brami, le corps féminin, méticuleusement, crument, opiniâtrement, par poussées d'authenticité à nu, enfante le réel précaire de l'origine, dépouillé de tout idéalisme, de tout intellectualisme, et presque, même, de tout filtre du langage, pour dévoiler l'endurance et la force de toute vie ».
Extrait de la préface de Chantal Chawaf.
Un roman poignant sur le désir d'enfant et la maternité interdite. Maïa Brami, sublime la douleur du manque pour donner naissance à un texte littéraire intense, intime et rare, résolument tourné vers la vie.
Paula Modersohn-Becker (1876 -1907), artiste peintre allemande, est l'une des représentantes les plus précoces du mouvement expressionniste dans son pays. Morte prématurément à 31 ans après avoir donné naissance à sa fille Mathilde, elle pressentait que son temps était compté et avait confié son ambition à ses proches et à son journal devenu bestseller après sa mort. Paula voulait tout : liberté, gloire, le droit de jouir de son corps et d'en jouir, d'avoir un enfant toute seule. Paris, la ville lumière, capitale mondiale de l'Art a joué un rôle de révélateur dans son art. Elle l'a fait découvrir à son grand ami le poète Rilke et y a séjourné quatre fois. Juste avant de mourir, alitée dans sa maison de Worpswede au nord de Brême, où elle vivait dans une communauté d'artistes avec son mari - le peintre Otto Modersohn -, elle n'avait qu'une hâte : y retourner. C'est la première artiste a avoir réalisé des autoportraits nus. La première aussi à avoir eu son propre musée.
« Morte dans l'anonymat, son étoile brillera le temps de l'entre-deux-guerres avant d'être aspirée dans les confins de l'Histoire de l'Art, jusqu'à ce que des universitaires américaines publient ses lettres et son journal dans les années 80. Hasard ou coïncidence, Paula est entrée dans ma vie l'année de mes trente ans et plus qu'à aucune autre, je désirais un jour rendre hommage. Qu'elle trouve en France, sous les doigts d'une artiste parisienne, la place qui lui revient, elle, inclassable pionnière de l'Art moderne, qui a rendu son corps aux femmes. »
Maïa Brami s'est transformée en « écrivain détective » pour partir sur les traces de cet artiste avant-gardiste génial et prolifique que fut Jean Cocteau, à la fois poète, chorégraphe, peintre, dramaturge et cinéaste.
À travers la découverte du « refuge » de Cocteau à Milly-la-Forêt, nous pénétrons sur les « lieux » de l'artiste, mais surtout dans son oeuvre et dans ce que Maïa Brami perçoit comme son « mystère ». Au fil de cette « enquête », nous devenons plus à même de comprendre cet écrivain aux multiples facettes, qui a côtoyé et inspiré les plus grands de son époque, et marqué le XXe siècle.
Maïa Brami réussit à refaire prendre vie à la maison de Milly, son hôte inclassable, réalisant la phrase écrite sur la pierre tombale de l'artiste : « Je reste avec vous ».
Dans le ventre des femmes, qu'y a-t-il ?
De textes en images, dans ce livre choral, 57 écrivains et artistes du monde entier font ricocher le mot « utérus » sur les tabous et les clichés pour approcher le mystère de la création. POURQUOI CETTE ANTHOLOGIE ? Ouvrir un dialogue inédit entre des écrivains et des artistes, hommes et femmes, toutes générations et nationalités confondues, faire résonner voix, formes et couleurs autour d'un mot, UTERUS, d'où jaillissent un tas de notions fondamentales : origine, identité, création, féminité, maternité UNE VERITABLE FINALITE : Chaque exemplaire vendu soutient l'action de l'Association Maia, qui accompagne depuis plus de 10 ans les couples infertiles dans leur désir d'enfants. Site web : http://www.maia-asso.org/ PREFACE D'EVE ENSLER, auteur des « monologues du vagin », et activiste (V-day)« J'ai reçu un email de Maïa Brami m'invitant à écrire une préface à son anthologie le jour même où j'ai été diagnostiquée avec un cancer de l'utérus. C'était comme si l'univers me jouait une farce surréaliste. Mais, sans que je puisse me l'expliquer, j'ai trouvé cette coïncidence profondément réconfortante. »
Les femmes et les hommes d'aujourd'hui doivent entendre le cri vital, le cri d'alarme poussé par ce texte choc où, avec sobriété, le tout puissant désir de parvenir à enfanter révèle comment il s'est trouvé pris au piège de l'impuissance du totalitarisme médical.
C'est l'été : nina quitte le désert pour aller au kibboutz rencontrer tamara, une grand-mère inconnue et attachante.
Elle découvre aussi son beau cousin yorham, et le temps du même été, entre les pages d'un journal secret, le premier amour de sa grand-mère. un été qui va la transformer.
Norma, 7 ans, atterrit en foyer d'accueil sur fond de procès médiatique.
Aussitôt, sa fragilité, son crâne nu, focalisent l'attention. Il émane quelque chose de spécial de cette fillette, mais quoi ? Sa présence, tel un révélateur, va bouleverser la vie du foyer, exacerber tensions et passions, précipiter les destins, notamment celui de Léo, adolescent brisé, violent, poursuivi par la poisse et l'incompréhension des adultes. Un premier roman - reflet d'une société où chacun, en quête d'identité et d'amour, tente de se libérer des apparences - servi par une émotion à fleur de mots.
Peut-on tomber amoureux... par correspondance ?
À quinze ans, Nora est une incorrigible rêveuse, qui préfère le glamour hollywoodien d'une Ava Gardner aux amours bien prosaïques de sa copine Julie avec le beau gosse du lycée. Lorsqu'un jour une lettre de rupture adressée à son voisin, un certain Rodrigue, tombe sur son balcon, elle renvoie la missive au bon destinataire. Il lui répond. De lettres en lettres, les deux jeunes gens deviennent intimes. Sans vraiment oser passer à l'action, Nora ne peut s'empêcher de rêver à une histoire d'amour avec Rodrigue. Mais la réalité peut-elle être aussi belle que le fruit de son imagination?
Les princes charmants n'existent pas est à la fois une comédie romantique légère et profonde sur la découverte de l'amour entre deux adolescents et un roman initiatique plein d'humour et de tendresse sur le passage à l'âge adulte.
Un livre qu'on dévore avec plaisir.
Ce beau livre illustré mêlant narration et documentaire dépeint le quotidien de 22 enfants venant des quatre coins du monde avec chacun leur propre culture et leur façon de vivre.
Tous sont aussi réunis autour d'une même motivation : aider à préserver la planète. Pour cela, avec l'aide des habitants de leur village, ils essaient de trouver des solutions pour remédier aux problématiques écologiques actuelles.
- C'est ainsi qu'Émile en France va laisser pousser son jardin en libre évolution pour qu'il puisse de nouveau observer les insectes.
- Jose, en Espagne, aide ses oncles à la récolte pour faire une huile parfumée, une des meilleures du monde. Chez lui, les habitants et la nature ont toujours vécu en harmonie.
- Akoua qui vit au Ghana veut construire des vélos en bambou, la plante qui pousse le plus vite au monde ! Son rêve : inventer le premier vélo biodégradable.
- Sonam habite au Bhoutan, pays le plus écologique du monde ! Il étudie dans une école verte où la moitié de la journée, il s'occupe, avec ses camarades, des plantations de l'école. L'idée de réussite est remplacée par celle du bonheur !
- Dans le village d'Aurora en plein milieu du désert au Chili, les scientifiques ont fabriqué des attrapes-nuages pour récupérer l'eau et ainsi permettre à sa famille de cultiver tomates et aloe verra.
Avec un regard bienveillant, l'auteur nous raconte le quotidien d'enfants évoluant dans un monde en plein changement. Des enfants qui ont des rêves plein la tête !
Grâce à une écriture tendre et poétique et des illustrations qui mêlent dessins et collages, ce livre propose un tour du monde autour d'une grande idée : la Terre, notre amie.
Entre l'album et le documentaire, cet album est un voyage autour du monde vu par les enfants eux-mêmes. Chaque enfant prend la parole pour raconter son quotidien : sa maison, son école, sa famille, ses plats préférés, les fêtes traditionnelles auxquelles il assiste. Autant d'occasions pour le lecteur de découvrir climats, moeurs et coutumes d'un autre pays.Un texte vivant qui parle aux sens (petit-déjeuner, friandises préférées, fleurs et fruits typiques, musique traditionnelle...) et permet de goûter d'autres langues à travers une dizaine de mots de chaque langue, traduits dans un glossaire. Un texte écrit à la première personne : chaque enfant de chaque pays nous raconte avec ses mots sa vie quotidienne et ses espoirs. Les illustrations sous forme de collages participent au projet en intégrant les enfants dans leur contexte de vie.
Un explorateur s'enfonce dans la jungle.
Autour de lui, une profusion de couleurs et de bruits.
Déterminé, il avance vers son plus cher désir : voir l'oiseau de paradis. Arrivé au point d'observation, débute l'attente, longue. Il a faim, soif. Autour de lui, le monde continue sa course, insensible à sa volonté et son obstination. Parfois, l'espoir renaît et s'envole à nouveau. Cette fois, abattu, l'homme le sait : tout espoir est perdu. Et puis soudain...
Depuis des siècles on célèbre l'esprit d'exploration et de conquête. Le temps est peut-être venu de penser autrement, harmonieusement, notre lien au vivant. Ce récit offre avec beauté et sensibilité, l'exemple d'un explorateur parti conquérant et qui fait l'expérience, par la force de choses qui le dépassent, d'un décentrement libérateur.
Blanche vit dans un royaume sans Soleil, triste et gris.
Du haut de sa tour, elle rêve d'un monde plus beau.
Un monde qu'elle a découvert dans son livre préféré qui raconte la légende de la femme-oiseau Sacagawea où les oiseaux chantent et les saisons changent de couleur.
Son père, le roi, est très puissant depuis qu'il vend de la lumière et un système pour imiter les saisons. Mais l'usine qui les fabrique libère beaucoup de fumée.
Un jour, le roi tombe malade et Blanche s'inquiète : est-ce qu'il va mourir ?
« C'est la vapeur émanant de l'usine qui pollue le royaume » répondent les médecins.
Alors que tout le monde panique, un colibri à l'étrange voix de femme s'approche de la petite fille et lui propose de partir avec elle. Est-ce l'esprit de Sacagawea ?
Sur le dos de l'oiseau, Blanche vole à travers les nuages et arrive près d'une clairière.
Elle y découvre, émerveillée, le Soleil et les arbres qui chantent.
C'est à ce moment-là que le colibri se transforme en femme : la princesse Sacagawea elle-même.
Celle-ci lui donne un brin d'herbe pour faire repousser les arbres du royaume et un cocon pour soigner et sauver son père.
Saura-t-il s'émerveiller de la naissance d'un papillon ?
Tout dépend de lui...
Cet album sous forme de conte naturaliste dépeint de manière poétique un monde devenu terne et malade à cause des Hommes et dont les enfants sont les seuls à avoir un regard lucide.
Une histoire qui fait réfléchir sur l'environnement, la préservation de la planète mais aussi sur l'espérance à travers les yeux de Blanche.
Cette petite fille symbolise la promesse d'un monde meilleur.
La dernière double page est consacrée à la princesse Sacagawea, très connue aux Etats-Unis et figure légendaire. Elle a réellement existé et participa aux premières expéditions vers la conquête de l'Ouest américain. Sa connaissance de la nature et des tribus amérindiennes a permis le succès de ces expéditions. Ce mythe inspire l'histoire de ce conte.
parce que le sexe est affaire d'imagination et de fantaisie.
réveillez vos sens grâce à ces 30 positions surréalistes à partager en toute complicité. las d'une vision du sexe trop terre à terre, barroux, illustrateur, et maïa brami, écrivain, ont décidé d'inventer un nouveau kamasutra qui défie les lois de la pesanteur. alors, n'attendez plus. envoyez-vous en l'air !.