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Nadia Hashimi
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Kaboul, 2007 : les Talibans font la loi dans les rues. Avec un père toxicomane et sans frère, Rahima et ses soeurs ne peuvent quitter la maison. Leur seul espoir réside dans la tradition des bacha posh, qui permettra à la jeune Rahima de se travestir jusqu'à ce qu'elle soit en âge de se marier. Elle jouit alors d'une liberté qui va la transformer à jamais, comme le fit, un siècle plus tôt, son ancêtre Shekiba. Les destinées de ces deux femmes se font écho, et permettent une exploration captivante de la condition féminine en Afghanistan.
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Je porte en moi un monde disparuKaboul, 1978. Sitara, dix ans, mène une vie heureuse avec sa famille au palais. Son père est le bras droit du président. Un soir, elle quitte sa chambre sur la pointe des pieds pour observer les constellations. Cette nuit-là, c'est le coup d'État ; aucun des siens n'y survivra. Si elle a la vie sauve, c'est grâce aux étoiles.Mais l'orpheline n'est en sécurité nulle part dans ce pays qui a changé de visage. Grâce à l'aide de deux femmes prêtes à tout pour lui assurer de meilleurs lendemains, Sitara trouve refuge aux États-Unis. Des années après son exil, le passé revient la hanter, ne lui laissant d'autre choix que de retourner en Afghanistan pour faire toute la lumière sur cette nuit où sa vie a basculé. Ce douloureux retour aux sources est peut-être sa seule chance de se réconcilier avec le passé.
« Absolument fascinant ! » New York Post« Un roman aussi passionnant qu'émouvant. » Booklist« Un vibrant hommage à la famille et à la civilisation - autant de choses qu'on devrait chérir tant qu'il en est encore temps. » BookPage« Incontournable ! » Marie Claire -
Par l'auteure du Prix des Lectrices 2016...« J'avais imaginé un million de morts pour mon mari : il aurait pu mourir frappé par la foudre. Ça aurait été tellement plus simple pour tout le monde : un éclair tombé du ciel. Une fin douloureuse mais brève. Hélas, les orages ne sont jamais là quand on a besoin d'eux. »Lorsque Zeba est retrouvée devant chez elle, le cadavre de son mari à ses pieds, il paraît évident aux yeux de tous qu'elle l'a tué. Depuis son retour de guerre, Kamal était devenu un autre homme, alcoolique et violent. Mais cette mère de famille dévouée est-elle capable d'un tel crime ? Présumée coupable, Zeba est incarcérée dans la prison pour femmes de Chil Mahtab, laissant derrière elle ses quatre enfants. C'est à Yusuf, revenu des États-Unis pour régler une dette symbolique envers son pays d'origine, l'Afghanistan, que revient la défense de ce cas désespéré. Mais la prisonnière garde obstinément le silence. Qui cherche-t-elle à protéger en acceptant de jouer le rôle du suspect idéal ? Et dans ces conditions, comment faire innocenter celle qu'on voit déjà pendue haut et court ?« Le portrait saisissant et juste d'une femme d'honneur parmi des hommes qui en sont dépourvus. » Kirkus« Quand vous aurez achevé la lecture de ce livre, n'oubliez pas. Faites quelque chose. » Washington Independent« Une histoire que vous n'êtes pas prêt d'oublier. » Booknotes« Un roman puissant sur un monde plongé dans l'obscurantisme. » Book ReporterMot de l'éditeur :Poursuivant sa mission de porte-parole des femmes afghanes, Nadia Hashimi aborde dans ce troisième roman l'une des injustices les plus criantes dont elles sont victimes en Afghanistan : les incarcérations abusives. Ce n'est un secret pour personne, il y a beaucoup trop d'innocentes derrière les barreaux en Afghanistan. Lorsque les femmes dérangent ou que leur attitude semble remettre en cause l'ordre établi, on les emprisonne sans autre forme de procès, et parfois même, on les exécute pour s'assurer qu'elles ne pourront plus clamer leur innocence. Parce qu'elles sont aperçues aux abords d'un parc avec un homme, parce qu'elles tardent à se marier ou refusent d'épouser celui qu'on leur a choisi, parce qu'elles ont osé être des femmes et se revendiquer comme telles, on les réduit au silence et on les prive de liberté.Grâce au courage et à la détermination de Yusuf, Zeba, accusée du meurtre de son mari, a peut-être une chance d'échapper à la pendaison. Un roman poignant sur un simulacre de justice fait par les hommes pour les hommes, qui sait si bien réduire les femmes au silence.
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« Un roman d'une actualité brûlante qui rappelle le sort des millions de déplacés à travers le monde. » Washington Post Kaboul est entre les mains des talibans. Depuis que son mari, considéré comme un ennemi du régime, a été assassiné, Fereiba est livrée à elle-même. Si elle ne veut pas connaître le même sort que son mari, elle doit fuir. Après avoir vendu le peu qu'elle possède, elle entreprend un voyage périlleux avec ses trois enfants, dans l'espoir de trouver refuge chez sa soeur, à Londres. Comme des milliers d'autres, elle traverse l'Iran, la Turquie, la Grèce, l'Italie et la France. Hélas, les routes de l'exil sont semées d'embûches : que devra-t-elle sacrifier pour de meilleurs lendemains ?
« Une odyssée captivante. » Library Journal « Hashimi raconte avec beaucoup de délicatesse l'odyssée tourmentée et les innombrables épreuves qui attendent tous ceux qui s'exilent dans l'espoir de trouver refuge. » Booklist « L'histoire bouleversante d'une mère héroïque dans un monde à court de compassion. » Toronto Star « Un roman magnifique, des personnages plus vrais que nature, avec pour toile de fond un monde devenu fou. » Bookreporter « Une épopée à lire absolument, sur les frontières, les obstacles et le courage d'une mère. » O, The Oprah Magazine -
Le premier roman jeunesse de Nadia Hashimi, auteure de La Perle et la Coquille La famille d'Obayda a subi des déboires et dû s'installer dans la campagne afghane. Mais une tante a une idée pour leur attirer la chance : faire d'Obayda, la plus jeune des quatre filles, une bacha posh, c'est-à-dire l'habiller en garçon. D'abord désemparée de renoncer à ses cheveux longs et à la danse, Obayda - désormais appelée Obayd - devient amie avec Rahim, une bacha posh lui aussi. Et elle va ainsi découvrir la liberté...
« Un livre remarquable qui offre un aperçu de la vie en Afghanistan et évoque la différence des rôles attribués aux filles et aux garçons à travers le monde. » School Library Journal « Des personnages inoubliables. » KidsReads « Une histoire bouleversante qui marquera les esprits pour longtemps. » Booklist -
Un magnifique roman qui met en parallèle les destins de deux femmes afghanes d'une même famille. Rahima a pour ainsi dire « la chance » d'être élevée comme «bacha posh», c'est-à-dire comme un garçon dans une famille qui ne comporte que des filles, pour donner le change au village. Libre de sortir, d'étudier, de courir, d'aller faire les courses pour sa mère... Jusqu'au jour où son père la marie à un homme violent. Elle ne trouve alors la paix que dans le récit que lui fait sa tante de la vie de son aïeule Shekiba. Est-ce que ce récit lui permettra de s'émanciper ? Ce titres est en deux volumes.
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Sélectionné pour le Prix des lectrices 2018. Poursuivant sa mission de porte-parole des femmes afghanes, Nadia Hashimi aborde dans ce troisième roman l'une des injustices les plus criantes dont celles-ci sont victimes en Afghanistan?: les incarcérations abusives. Parce qu'elles sont aperçues aux abords d'un parc avec un homme, parce qu'elles refusent d'épouser celui qu'on leur a choisi, parce qu'elles osent être des femmes et se revendiquer comme telles, elles sont réduites au silence et privées de liberté. Grâce au courage et à la détermination de Yusuf, Zeba, accusée du meurtre de son mari, a peut-être une chance d'échapper à son cruel destin. Nadia Hashimi vit avec sa famille dans la banlieue de Washington, où elle exerce le métier de pédiatre. Ses parents ont quitté l'Afghanistan dans les années 1970, avant l'invasion soviétique. Ils sont retournés dans leur pays d'origine pour la première fois en 2002 avec leur fille. Un voyage marquant qui lui permet de découvrir sous un nouveau jour l'histoire et la culture af
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Sélectionné pour le Prix des lectrices 2018. Poursuivant sa mission de porte-parole des femmes afghanes, Nadia Hashimi aborde dans ce troisième roman l'une des injustices les plus criantes dont celles-ci sont victimes en Afghanistan?: les incarcérations abusives. Parce qu'elles sont aperçues aux abords d'un parc avec un homme, parce qu'elles refusent d'épouser celui qu'on leur a choisi, parce qu'elles osent être des femmes et se revendiquer comme telles, elles sont réduites au silence et privées de liberté. Grâce au courage et à la détermination de Yusuf, Zeba, accusée du meurtre de son mari, a peut-être une chance d'échapper à son cruel destin. Nadia Hashimi vit avec sa famille dans la banlieue de Washington, où elle exerce le métier de pédiatre. Ses parents ont quitté l'Afghanistan dans les années 1970, avant l'invasion soviétique. Ils sont retournés dans leur pays d'origine pour la première fois en 2002 avec leur fille. Un voyage marquant qui lui permet de découvrir sous un nouveau jour l'histoire et la culture afghanes do
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Un magnifique roman qui met en parallèle les destins de deux femmes afghanes d'une même famille. Rahima a pour ainsi dire « la chance » d'être élevée comme «bacha posh», c'est-à-dire comme un garçon dans une famille qui ne comporte que des filles, pour donner le change au village. Libre de sortir, d'étudier, de courir, d'aller faire les courses pour sa mère... Jusqu'au jour où son père la marie à un homme violent. Elle ne trouve alors la paix que dans le récit que lui fait sa tante de la vie de son aïeule Shekiba. Est-ce que ce récit lui permettra de s'émanciper ? Ce titres est en deux volumes.