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Religion & Esotérisme
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Femmes dans la bible ; 30 figures d'humanité
Nathalie Nabert
- Magnificat
- 16 Octobre 2020
- 9782917146811
Les femmes, au coeur de l'Alliance entre Dieu et les Hommes.
30 figures de femmes de la Bible illustrées par une iconographie exceptionnelle et variée, de Piero Della Francesca à Gustave Moreau.
Dans son style riche et profond, Nathalie Nabert nous emmène à la découverte de 30 figures féminines de la Bible, connues ou méconnues, saintes ou pécheresses.
Chaque portrait, enrichi par un texte du magistère ou de la Tradition, souligne un aspect de notre humanité invitée àentrer dans l'Alliance avec Dieu.
Nathalie Nabert collabore régulièrement à la revue Magnificat et a publié de nombreux ouvrages de spiritualité (Albin Michel, Salvator, Ad Solem...).
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La prière dans l'ordre des Chartreux : Études et anthologie
Nathalie Nabert
- Cerf
- Spiritualite Cartusienne
- 20 Juin 2024
- 9782204164641
Dans le monde monastique et particulièrement dans l'ordre des chartreux où les principes de vie conduisent à une grande solitude, la prière est un des quatre exercices décrits par Guigues II dans sa Lettre sur la vie contemplative et exécutés dans l'intimité de la cellule ou sur le lieu de travail pour les convers et les converses : lecture, méditation, prière, contemplation. Partageant leur temps entre les longs offices au choeur, le travail manuel, les études et les pratiques spirituelles, les ermites chartreux font de la prière, sous ses formes les plus variées, le centre de leurs activités intérieures, les conduisant à l'union à Dieu.
Ce livre rassemble plusieurs études des écrits les plus clairs et les plus denses sur la prière des chartreux. Il se veut un parcours à travers le temps d'une méthode et d'une pratique transmise de génération en génération à partir de ce qui était connu de l'expérience des Pères du désert et de ce qui a été expérimenté par les chartreux de l'oraison jaculatoire et de la dévotion mariale. Le passage de la construction méditée à la simplicité de l'élan du coeur qui renvoie à une théologie mystique affective sera souligné à maintes reprises ainsi que les lois du silence et du recueillement - l'hésychasme - communes à l'Église d'Orient et à l'Église d'Occident. Une anthologie des principaux auteurs chartreux accompagne ces études. -
Qui passe par la Grande Chartreuse emporte avec lui ce goût de l'harmonie et de la simplicité qui met en état de silence et d'écoute qui résume tout le mystère de la vie des chartreux. L'auteur nous fait entrer au coeur de leur spiritualité, la recherche constante du don le plus absolu de sa vie et de son temps pour être constamment en présence du Seul.
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Il y a en moi un puits très profond. Et dans ce puits, il y a Dieu. Parfois je parviens à l'atteindre. Mais plus souvent, des pierres et des gravats obstruent ce puits, et Dieu est enseveli. Alors il faut le remettre au jour. Etty Hillesum.
Pour explorer cette profondeur de la vie spirituelle, nous disposons d'outils - la Torah, la Bible, le Coran... - et de méthodes - la liturgie, la prière, la contemplation. Nathalie Nabert, Doyen honoraire de la Faculté des Lettres de L'Institut Catholique de Paris et spécialiste de la spiritualité cartusienne, a réuni des personnalités d'horizons divers - catholique, protestant, orthodoxe, juif, musulman - pour parler des richesses auxquelles mène cette aventure intérieure. Avec : Michel Leplay, pasteur ; André Louf, ancien Père abbé du Mont-des-Cats ; Boris Bobrinskoy, doyen honoraire de l'Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge ; Claude Vigée, écrivain ; et Larbi Kéchat, recteur de la mosquée Adda'wa. -
Du monde au désert, l'aspiration à la solitude au XVIIe siècle
Nathalie Nabert
- Beauchesne
- Spiritualite Cartusienne
- 1 Avril 2021
- 9782701023014
"Dans la première moitié du xviie siècle, un véritable engouement apparaît pour la vie contemplative et solitaire, en dehors des ordres constitués. Cet engouement touche des femmes du siècle, d'anciens militaires, des laïcs, avocats, chevaliers, seigneurs de province, clercs qui tout en souhaitant mener une vie intérieure plus dense et plus contemplative, ne s'engagent pas dans les ordres monastiques. Ils se retirent du monde, totalement ou partiellement, dans des lieux isolés, parfois éloignés des villes et s'engagent au silence, à la prière et à la conversion de leurs moeurs. Ils rejoignent les solitaires de Port-Royal, comme Pierre-Thomas du Fossé, ou fondent, pour certains, des résidences, comme ce fut le cas de Jean de Bernières-Louvigny, Trésorier du roi de France, membre laïc du Tiers-Ordre franciscain et qui fonda, à la fin de sa vie, l'ermitage de Caen.
Cet univers de l'entre-deux, du monde au désert, se constitue de façon pérenne dans un contexte encore marqué par le souvenir de la Ligue et bientôt confronté à la Fronde.
Il s'élabore dans une période où le sentiment religieux s'individualise et s'approprie la mystique Rhéno-flamande et la Devotio moderna dont la chartreuse de Paris - qui fut une des grandes inspiratrices du désir de retrait du monde - favorisera la diffusion en français. Ces nouveaux convertis s'attachent donc à la contemplation mais aussi à la doctrine de la pauvreté volontaire, dans la mouvance franciscaine, comme Gaston de Renty qui se retirera de la vie militaire, en Normandie, pour se consacrer aux pauvres. Tous sont attirés par la doctrine de l'abandon véhiculée par les écrits de Benoît de Canfield, de Surin et plus tard de Madame Guyon, ce qui vaudra à certains d'entre eux la méfiance de l'autorité ecclésiale, voire la condamnation pour quiétisme. Il s'agit avant tout de fortes personnalités qui iront jusqu'au bout de leur projet, parfois en marge des institutions, comme Jean de Labadie.
L'aspiration à la solitude, à travers ses modèles institutionnels, leur dépassement et sa réinvention permanente pose ainsi la question de la liberté de l'homme face aux enjeux de sa foi et de son engagement sociétal dans un XVII e siècle commençant, marqué, comme le soulignait Henri Bremond, par l'invasion mystique. Et au-delà des cas de figure étudiés au cours de la première journée, c'est toute une tradition esthétique du retrait du monde qui se laisse percevoir et qui perdurera dans les milieux laïcs où progressivement retraite et contemplation de la nature se rejoignent laissant un patrimoine architectural et pictural riche qui évoqué dans la troisième partie de ce livre.
Conseil scientique : Nathalie Nabert, Institut Catholique de Paris, CRESC, Pascal Pradié (osb), CRESC, attaché de recherches au CNRS, CRAHAM, Jean-Robert Armogathe, École Pratique des Hautes Études, président de la Société d'étude du XVII e , Gérard Ferreyrolles Paris IV-Sorbonne, Philippe Luez, Conservateur général du patrimoine, Directeur du musée national de Port-Royal des Champs."
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La branche féminine de l'ordre des chartreux (fondé en 1084 par saint bruno de cologne) est née au milieu du xiie siècle, vers 1150, lorsque les moniales de prébayon en provence décidèrent d'embrasser la règle de vie des chartreux.
Depuis cette époque, l'histoire des moniales ne s'est jamais interrompue. solidement établis en france depuis les origines, puis en italie, en espagne et depuis peu en corée du sud, les monastères féminins illustrent, dans la discrétion la plus complète, l'idéal de vie cachée en dieu transmis par saint bruno. a l'écart du monde, dans ce tout-à-dieu de la pauvreté matérielle, du recueillement et de la prière, les moniales chartreuses vivent ce " grand sacrement qui s'accomplit en solitude entre le christ et l'eglise " que mentionnent les statuts.
Elles témoignent ici par leurs paroles et leur humble présence de cette lumière inaltérable de la vie divine vécue dans la fidélité à leur profession.
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Entre la lettre qu'adresse saint Bruno à son ami Raoul le Verd, entre 1096 et 1101, pour l'attirer au désert et Silence cartusien de Dom Augustin Guillerand, il s'est écoulé neuf siècles.
L'homme du Moyen Age et l'homme du XXe siècle se sont rencontrés par-delà les générations dans une même unité d'esprit faite de solitude, de silence et de purification intérieure. Leur prière a rejoint celle de leurs frères et soeurs aux noms dispersés ou perdus dans la mémoire collective : les trois Guigues, Marguerite d'Oingt, Denys le Chartreux, Ludolphe de Saxe, Lansperge, etc. Une famille spirituelle a tissé le manteau de sa vie en Dieu avec quelques principes forts maintenus par une observance rigoureuse des Coutumes érigées au XIIe siècle et par des écrits lumineux et profonds inscrits dans une sensibilité dépourvue d'intellectualisme où l'union à Dieu est l'unique nécessaire.
Les larmes, la nourriture, le silence découvre les premières intuitions de la spiritualité des Chartreux et leur écho chez les auteurs de la maturité de l'Ordre. Le tracé suivi dégage l'unité entre les lignes de force dessinées par les voies de la purification, de l'oraison et du désir de Dieu que reflète le don des larmes, par celle du goût de Dieu dans la rencontre de sa Parole, nourriture quotidienne du moine, et enfin par celle du dépouillement dans le creuset du silence et de la solitude.
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Des jardins d’herbes et d’âme
Nathalie Nabert
- Beauchesne
- Spiritualite Cartusienne
- 7 Avril 2009
- 9782701015286
Le jardin appartient à l'architecture monastique comme le cloître, l'herbarium clairement dessiné dans le plan du monastère de Saint-GaIl où s'alignent sagement les simples cultivés par la tradition monastique pour les remèdes et le vinum bonum qui revigore le coeur et l'esprit.
En chartreuse le jardin, s'il est celui des légumes et des simples dont s'occupent les frères convers pour la nourriture et le soin des moines, il est aussi et avant tout celui de la cellule où le père chartreux s'exerce à l'humble travail des mains et à l'exercice du corps afin d'assurer l'équilibre de la vie. Ici rien de grandiose, mais bien souvent quelques campanules maigres qui s'étirent au gré des saisons et de l'attention du solitaire dont le jardin est tout intérieur et spirituel comme en témoignent les textes.
Au XVIIIe siècle, la Chartreuse de Paris dont le parc du Luxembourg garde la mémoire horticole offre l'exceptionnelle ressource d'un verger, aux fruits variés et réputés grâce à l'inventivité des moines.
Ce sont ces quelques aspects du jardin d'herbes, de fruits et d'âme dans la tradition monastique et cartusienne, qui sont présentés dans ce livre.
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Le film « Le grand silence » a fasciné un très large public. Qui sont donc ces moines Chartreux qui se consacrent totalement à la prière dans le silence et la solitude ?
Qu'est-ce qui constitue le trésor spirituel des héritiers de saint Bruno ? Cette source a-t-elle quelque chose à nous dire, à nous, hommes et femmes du XXIème siècle ? Sûrement !
Ce livre magnifique propose une initiation à la spiritualité cartusienne. Chaque jour, pendant un mois, Nathalie Nabert propose une belle méditation à partir d'un extrait d'un texte écrit par un Chartreux au cours des siècles.
Ainsi, ce livre propose une petite échelle de vie à gravir pas à pas, pendant trente jours, à la suite des Chartreux.
Cette « retraite » est organisée en trois grandes parties : « Se dévêtir du monde », « Habiter le silence », « Revêtir Dieu ». Chaque chapitre proposant 10 méditations.
Un petit livre pour découvrir et se nourrir de la spiritualité des Pères Chartreux...
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Les monastères sont des lieux de jouissance paisible pour peu qu'on y ait acquis la douceur du coeur et la nudité du regard.
On y goûte les instants et les jours dans le retour saisonnier des fêtes liturgiques des fruits de printemps et d'automne. On y mange avec parcimonie la nourriture des hommes pour mieux goûter celle de Dieu. On y respire l'humilité des fleurs de clôture pour demeurer dans la fraîcheur de l'onction baptismale. On y écoute le Verbe pour en faire son miel. Le paradis est dans le brin d'herbe comme dans la somme théologique de toute une vie.
Les cinq sens ont donc leur place dans la vie monastique. C'est ce que montre ici Nathalie Nabert avec l'élégance de style et l'érudition toujours d'une extrême précision qu'on lui connaît, dévoilant toute la dimension « civilisationnelle » de l'aventure monastique européenne.
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Il y a sur nous une couture de Dieu, un tissage de haute lisse qui nous met au monde deux fois dans l'humble parure de la terre : à l'aube du jour de notre naissance et dans le crépuscule de notre mort.
Et entre ces deux rives de notre humanité, nous vivons de l'éclipse et de la lumière. Dieu est cette part d'infini dans notre hébétude de vivants que nous portons comme un trésor à contempler. Nous ne rayonnons que par la lumière qui nous habite et qui nous ordonne à la contemplation. Et cette contemplation est l'expression de notre filiation. Devant la crèche, comme au pied de la Croix, nous sommes l'humanité vigilante caressée par l'Esprit et les témoins de la Lumière dans la longue transhumance de nos doutes et de nos défaillances.
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La figure de Marie en Chartreuse ; une dormition de la vierge
Marie-geneviève Grossel
- Beauchesne
- Spiritualite Cartusienne
- 7 Avril 2009
- 9782701015279
Dans les Coutumes de Chartreuse, compilées par Guigues Ier entre 1121 et 1128, on peut lire, au chapitre de la profession du novice, une formule de serment qui porte la mention de la construction des ermitages en l'honneur de « Dieu et de la Bienheureuse Marie toujours vierge et de saint Jean-Baptiste ». Ces deux références sont explicites sur la double invocation protectrice par les chartreux à la Mère de Dieu et au Précurseur. Tôt dans l'histoire de l'ordre, Marie est donc présentée comme le modèle de la vie contemplative auquel doivent se conformer les solitaires. De là vient l'usage, à partir du XIIe siècle, de donner le nom de Marie aux fondations et de doubler l'office canonial de celui de la vierge, l'office de Beata, récité en cellule.
Au XVIe siècle, c'est au tour de Jean-Juste Lansperge de marquer du sceau de Marie l'architecture cartusienne en donnant le nom d'Ave Maria à la première pièce de l'ermitage à cause de l'usage d'y réciter cette prière avant de pénétrer dans le cubiculum. Ainsi, Marie, à travers les multiples visages que l'histoire de l'Église lui affecte, devient-elle en chartreuse le paradigme d'une réflexion et d'une dévotion intense, héritière, certes, d'une tradition née avec la prédication de saint Bernard, mais sans cesse relue et renouvelée par les écrits cartusiens et la pratique de la prière et de la liturgie.
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La figure du Christ en Chartreuse
Nathalie Nabert
- Beauchesne
- Spiritualite Cartusienne
- 3 Octobre 2016
- 9782701021232
"À la mort de saint Bruno le 6 octobre 1106, les Titres funèbres où sont recueillis les éloges du défunt soulignent sa maîtrise dans l'art du commentaire exégétique, sa rigueur dans l'observance monastique et son attachement au Christ dont il épousa la pauvreté, selon le titre 55 : « Il méprisa tout et, pauvre, il adhéra au Christ » (métropole de Reims, PL 152, col. 571). Guigues Ier, cinquième prieur de Chartreuse et législateur de l'Ordre, montra les mêmes dispositions à suivre le Christ et ses Méditations en rendent compte dans une formulation ramassée qui frappe par la radicalité du regard posé sur la Croix : « Sans éclat ni beauté, et clouée à la Croix, ainsi doit être adorée la Vérité » (SC 308, Paris, 1983, p. 105). L'adhésion au Christ est un présupposé général de l'amour de Dieu caractéristique du monachisme depuis les origines, mais, dans l'Ordre chartreux, cet aspect de la christologie prend une intensité particulière liée à la solitude et à la vocation de pénitence, ainsi que l'énonce Guigues Ier dans ses Coutumes, au chapitre consacré au novice (SC 313, Paris, 1984, chap. 22, p. 213). Dès lors, il est évident que la figure du Christ en parallèle à celle de Marie - dont la vénération fut liée à l'influence de saint Bernard sur les chartreux - a marqué les pratiques et enrichi les écrits cartusiens d'un nombre considérable de thèmes, parmi lesquels certains sont propres à éclairer leur vocation, comme la pauvreté, la vie cachée de Jésus à Nazareth, l'humilité, l'amour de Dieu, la sensibilité à la Croix et la rédemption par la Croix.
La première partie des actes aborde de ces thèmes parmi les plus marquants et la seconde les influences exercées par les chartreux sur leurs contemporains, tels Ignace de Loyola, lecteur assidu de la Vita Christi de Ludolphe le chartreux, et Catherine de Sienne qui entreprit une correspondance avec les chartreux des environs de Sienne sur la dévotion au Sang du Christ. En marge des lectures cartusiennes, le dernier chapitre évoque la sensibilité flamboyante de Margery Kempe dont le Livre fut hautement apprécié des chartreux de Mount Grace.
Ont participé à cet ouvrage : Dominique Ancelet-Netter ; Gilles Berceville, op ; Monique Caravel ; Philippe Lécrivain, sj ; Anita Higgie + ; Nathalie Nabert ; Pascal Pradié, osb ; Sylvie Robert, aux ; Audrey Sulpice-Pérard ; René Tixier.
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Vice, maladie de l'âme et du corps, simple défaillance humaine, état de crise ou usure lancinante, l'acédie est un concept et une réalité de la vie monastique polysémique isotopant et axiologique, tant il génère de sens, induit un vocabulaire touffu et se comprend comme un malheur de tout l'être minant la paix du cloître et de la cellule.
Insaisissable, l'akèdia définie pour la première fois par Évagre le Pontique (IVe s) comme " le démon de la méridiène " , " le démon de midi " de l'anachorète, échappe à la glose de la plupart des dictionnaires et des commentateurs qui l'ignorent bien souvent sous cette forme lexicale pour lui préférer les termes plus appropriés de " manque d'ardeur, dégoût, ennui, tiédeur, torpeur, paresse, mélancolie " ou lui associer des co-occurrents qui viennent en revitaliser le sens, tel Cassien (IVe-Ve s) qui fait de l'acédie le sixième vice de son octonaire, emprunté à Évagre le Pontique, précédé par la tristesse.
Ce dernier terme auquel on relie souvent l'acédie pour éclairer son sens demeuré énigmatique, quand on ne réduit pas purement et simplement son contenu à la tristesse, comme le fera Grégoire le Grand (VIe-VIIe s.), indique que sur l'échelle de la perfection monastique, où se gravissent pas à pas les degrés des vertus, l'acédie surgit comme une atteinte à la fidélité à la vocation et à la ferveur de la prière qui a pour conséquence la distraction de l'esprit, la morosité et le désir de fuir le cloître, la cellule.
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Une nouvelle série des textes et prières fondamentaux des plus importants ordres religieux de l'Occident chrétien. Voici un des volumes de la série d'anthologies des textes et prières fondamentaux des plus importants ordres religieux de l'Occident chrétien. Les ordres monastiques suscitent toujours une certaine fascination mêlée d'incompréhension : que signifie cette vie retirée du monde ? Qu'est-ce qu'une vie de prières ? Quelles sont ces prières ? Ces questions se posent encore davantage pour les Chartreux qui vivent dans une clôture stricte et dont les prières ne doivent pas être divulguées. Nous proposons donc avec cette anthologie quelque chose de parfaitement inédit : une mise à disposition des prières secrètes du monde du silence !
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Les plus belles prières de Noël
Nathalie Nabert
- J'ai Lu
- Librio ; Documents
- 8 Novembre 2017
- 9782290156735
Noël, célébré en plein coeur de l'hiver, est un moment privilégié pour les croyants, rassemblés pour célébrer la naissance de Jésus Christ.
Ce temps de Noël, plein d'espérance et de poésie, a inspiré de nombreux auteurs : cette anthologie réunit les plus beaux textes sur Noël, écrits par des écrivains incontournables de l'Église (Bernard de Clairvaux, saint Augustin, Thérèse d'Avilla, Soeur Emmanuelle...) mais aussi par de grands poètes comme Corneille, Claudel, Marie-Noël, Verlaine ou Théophile Gautier...
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A l'origine, la terre et les éléments étaient encore habités par la présence divine. Le vent parlait de l'Esprit, l'eau de la vie, le feu de l'amour qui purifie.
L'homme voyait la nature comme un livre, comme une parole venant de plus loin et de plus grand que le monde. Pour en connaître le récit, l'homme cheminait de lieux en lieux; la terre se déroulait sous son regard comme le rouleau primordial sur lequel était écrit le secret des choses.
Dans le premier volume de ses Carnets nomades, Nathalie Nabert a voulu retrouver cette relation originaire, poétique, de la Parole avec une terre - ici le désert africain. Il ne s'agit pas d'évoquer un paradis perdu ou de susciter de la nostalgie, mais de donner voix à l'Origine, dans un lieu, dans une terre, avant que le vent de l'oubli efface sa trace.
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Le mal et le diable - Leurs figures à la fin du Moyen Age - N° 4
Nathalie Nabert
- Beauchesne
- 1 Avril 1997
- 9782701013466
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Ici se trouvent rassemblées les méditations de personnalités pour qui la rencontre de la Parole divine manifestée dans la Torah, la Bible et le Coran a éveillé l'intériorité, le goût du Dieu des profondeurs, savouré dans la liturgie, la prière et la contemplation.
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Dans l'océan des livres, celui-ci est une île ou Nathalie Nabert nous invite à prendre le temps de nous ouvrir au monde, de porter notre attention sur les grandes questions de notre temps : la réussite et l'échec, la violence et l'amour, la quête intérieure et la souffrance, la guérison et la mort. Elle nous offre une réflexion qui se tient au niveau le plus profond de la foi, de l'expérience spirituelle, de l'espérance et d'une relecture des faits à la lumière de la Bible. Aborder à cette terre des vivants, c'est se laisser pénétrer par une parole de sagesse et un esprit de simplicité.