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Ruth Krauss
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Un petit garçon planta une graine de carotte.
Sa mère lui dit : « Je crois que ça ne poussera pas ». Son père lui dit : « Je crois que ça ne poussera pas ». Et son grand frère lui dit « Ça ne poussera pas ». Et soudain, un jour ...
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Dee dee dee oh-h-h, je connais une maison, pas un nid d'écureuil, ni l'écurie de l'âne, ce n'est pas une maison que vous pouvez voir. Elle n'est dans aucune rue, sur aucune route, c'est juste une maison pour moi.
POUR MOI !
Mêlant un texte sautillant de Ruth Krauss et les dessins très libres de Maurice Sendak, le lecteur découvre un petit garçon qui a une maison à lui ! Un lieu où tout peut arriver, où l'imagination prend forme. On peut y dessiner sur les murs, mettre les pieds sur la table, sauter sur les lits et même y ramener un géant, une tortue et une souris morte (mais dans une boîte). Bref, un lieu où l'on peut s'amuser sans fin, partager des secrets avec des lions, chanter à tue-tête, s'inventer et se réinventer.
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Un trou, c'est pour creuser
Maurice Sendak
- Memo
- Les Tresor De Sendak
- 15 Septembre 2016
- 9782352893097
Que dire des sourcils ? Miss Krauss et les nombreux enfants qui ont fait des suggestions, corrections, additions (et soustractions) pour ce livre ont abouti à « les sourcils, c'est pour mettre sur les yeux ». Et qu'estce qu'une fi gure ? « La fi gure, c'est quelque chose qu'on a sur le devant de la tête ». Mais aussi : « La fi gure, c'est bien pour faire des grimaces ».
Les mains ? Eh bien, les mains, c'est pour tenir. Mais aussi, « une main, c'est pour répondre si on la lève ». « Une fête, c'est pour dire comment ça va et qu'on se serre la main » mais aussi « une fête, c'est pour rendre les enfants heureux ». Bien sûr, un frère, c'est pour vous aider, un paquet, c'est pour regarder dedans, les bras, c'est pour embrasser et un livre, c'est pour regarder.
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Sur le même principe que Un trou c'est pour creuser et Ouvrir la porte aux papillons, de Ruth Krauss et Maurice Sendak, des centaines de petits dessins, des histoires, des poèmes, de courtes mises en scène, des mystères et des rêves sont présentés dans ce livre... C'est une ode à l'enfance et à l'imagination. Quel livre ! On dirait un carnet de croquis de Ruth Krauss et Maurice Sendak, qui parlerait d'amour et d'amitié comme le font les enfants. De Ruth Krauss, avec qui il a commencé sa carrière d'illustrateur, Sendak disait : « Avant qu'on commercialise des livres pour enfants, il y avait Ruth Krauss ».
Cette collaboration, servie par une traduction de Françoise Morvan, réjouira petits et grands.
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Comme pour Un trou c'est pour creuser, des définitions, préceptes et petits proverbes se suivent de page en page. Entre logique improbable, délicieux nonsense et fine observation, ils mettent en scène les enfants, qui sont au centre du monde de Ruth Krauss et de Sendak. Ce qui nous enchante dans les mines déterminées et tendres de ces enfants, c'est un puissant sentiment de liberté : aucune mièvrerie, on se tape dessus parfois, on s'embrasse souvent, on vit toujours.
Les parents font une épisodique apparition, mais les animaux et les jouets sont bien plus centraux. Ils ont pourtant droit à l'une des plus belles définitions de l'ouvrage : un bébé fabrique un père et une mère, sinon ce sont juste des gens ordinaires.
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Il neige. Les souris des champs, les ours, les marmottes, les escargots dorment. Tout à coup les animaux se réveillent. Ils reniflent. Ils se mettent à courir. Mais où vont-ils ?
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Charlotte convainc son père de la laisser s'occuper de Blandelune, un poulain blanc qui ne tient pas encore sur ses pattes. Elle prend soin de lui, l'hiver passe, et au printemps, le voilà qui est debout ! Debout, mais de constitution trop fragile d'après le père de Charlotte.
Celle-ci n'en a que faire, et continue de prendre soin de Blandelune.
En douceur, l'histoire de l'amitié de Charlotte et du petit cheval blanc se déroule comme un rêve, magnifiquement illustré par Maurice Sendak.
Ce petit chef d'oeuvre où se sent l'influence du grand peintre Marc Chagall est pour la première fois traduit en français par Françoise Morvan et s'inscrit dans la collection des petits trésors de Sendak.
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