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cahiers du cinema
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Cahiers du cinéma n.741 : cinéma américain
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 27 Janvier 2018
- 9782377160082
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Cahiers du cinéma n.734 : retour de Cannes 2017 ; entretien avec Robert Pattinson
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
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- 12 Juin 2017
- 9782866429980
Pattinson l'apprenti entretien avec Robert Pattinson - par Cyril Béghin & Stéphane Delorme Retour de Cannes Festival de New York - Des migrants à toutes fins utiles - Néo-réacs - Claire's camera?: Cannes l'année d'avant - Eastern - Jeune Italie - Confirmation par le picaresque - Où est passé le numérique?? - Il suffit d'une idée - Twin Peaks?: le temps qu'il faut pour revenir - Anesthésie générale - S'effondrer ou être enfoncé - Cinéma positif - Moments musicaux - Tant d'enfants, si peu de sortilèges?! - Visages, visages - Vive les excentriques?! - Fraîcheur ACID Et le film continue... entretien avec Ahmad Kiarostami - par Nicholas Elliott Okja de Bong Joon-ho - par Joachim Lepastier Visages Villages d'Agnès Varda & JR - par Nicholas Elliott
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Cahiers du cinéma n.744 : Cannes 68
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
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- 1 Mai 2018
- 9782377160112
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Cahiers du cinéma n.764 : écoles et facs ? nouveaux lieux, nouveaux enjeux
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
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- 7 Mars 2020
- 9782377160365
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Cahiers du cinéma n.784 : filmer la France
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
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- 3 Février 2022
- 9782377160747
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Cahiers du cinéma n.720 : hommage à Jacques Rivette
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 24 Mars 2016
- 9782866429812
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Cahiers du cinéma n.726 : Jim Jarmusch à New York
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
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- 10 Juin 2016
- 9782866429874
L'art naît où on ne l'attend pas. C'est le propre même de l'art. Ce qui "fait art" n'est jamais art. Jarmusch en deux films se fait le chantre de deux révolutions : la poésie du quotidien de William Carlos Williams et le punk-rock des Stooges. Il ne se comporte pas en embaumeur de l'histoire officielle, au contraire il réactive au présent des révolutions antiacad émique donnant à tous le droit à l'inspiration. L'art va y puiser dans l'envers de l'art : un poème naît d'une liste de courses, une chanson des moteurs de voiture de Détroit. L'histoire officielle de l'art, segmentée en disciplines, n'arrive pas à rendre compte des révolutions esthétiques du siècle. L'instant où Iggy Pop s'agite sur scène à Cincinatti, à l'été 1970, saute dans la foule et s'enduit de beurre de cacahouètes comme une parodie de dieu égyptien, est une révolution - qui n'a d'équivalent, l'été précédent, que le premier homme qui marche sur la Lune. Rien ne sera plus pareil, ni pour le rock, ni pour une foule de gens, connus ou anonymes, qui savent être les témoins de leur époque. L'arrogance serait de croire que l'académisme appartient au passé et que l'institution célèbre le "bon" art, sans comprendre que, toujours, des inconnus sont en train de créer l'art de demain dans son dos.
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Cahiers du cinéma n.743 : Wes Anderson, le maître des marionnettes
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
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- 24 Mars 2018
- 9782377160105
Avec L'Île aux chiens, nous sommes dans un domaine particulier de l'animation, l'animation en volume. Wes Anderson pour la deuxième fois réalise un long métrage en stop-motion et la virtuosité sidérante dépasse celle de Fantastic Mr. Fox. Il s'agit moins littéralement de marionnettes (puppets) que de poupées, ou de figurines. L'émotion vient d'abord de l'extraordinaire minutie. L'oeil en fête ne sait plus où regarder. Minutie de l'animation accordant autant de soin à chaque détail?; minutie de l'art du Japon, cadre idéal de l'intrigue et horizon esthétique ; minutie de la virevoltante composition d'Alexandre Desplat, le «?frappé?» des percussion ou le «?touché?» des doigts tapotant la flûte résonnent avec les petits gestes de ces figurines au teint de cire. Le motif le plus délicat est le vent qui souffle sur le pelage des chiens dans de petits «brossés».
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Cahiers du cinéma n.736 : la rentrée cinéma
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
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- 1 Septembre 2017
- 9782377160006
Le génie rend heureux car cest notre victoire à tous de voir un homme trouver et déployer toute sa puissance. Nous en sommes tous illuminés. Le génie est contagieux. Il rend les autres plus forts, il relève le niveau général. Hitchcock était un maître, il devient génial avec Vertigo, La Mort aux trousses et Psychose qui révolutionnent le cinéma. Tout le cinéma est devenu plus fort avec lui. Quand le génie est collectif (la Nouvelle Vague), cest un raz de marée. Car au fond ce nest pas lhomme qui est un génie?: il est à lécoute du génie qui le traverse et peut traverser quiconque. Le monde est-il encore à lécoute du génie?? On le réduit à lingéniosité, la stratégie, la capacité à convaincre ou mettre en échec. Le génie est tout linverse. Lartiste est par nature désintéressé. Le génial ne simpose jamais avec le sceau de lévidence, mais notre époque est particulièrement rétive au génie poétique. On dira que cest inclassable, original, singulier, bizarre, comme en témoigne la timide réception anglo-saxonne de Jeannette à Cannes. Il disparaît entre, dun côté, la satisfaction générale que tout est bien, ou pas si mal, et, de lautre, la nostalgie passéiste qui naccorde plus de génie à quiconque. Le génie est-il destiné à être solitaire pour autant?? On veut croire que non, vu la jubilation autour de Twin Peaks et le triomphe de Ptit Quinquin. Tout le cinéma français est réorganisé autour de la tentative extraordinaire de Dumont, cest lui qui cristallise cet excentrisme devenu cardinal?; et tout le cinéma, toutes les séries devraient être affectés par lépopée lynchienne. Plus la normalisation lemporte, plus les exceptions surgissent. Au milieu de la cacophonie, il faut sarrêter, regarder, sétonner. Cest pour cela quon voit des films, pour leuphorie de voir les portes souvrir sur linconnu.
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Cahiers du cinéma n.752 : Clint Eastwood
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
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- 1 Février 2019
- 9782377160198
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Cahiers du cinéma n.754 : herbier : arbres, plantes, fleurs
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
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- 1 Avril 2019
- 9782377160211
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Cahiers du cinéma n.762 : les films les plus attendus de 2020
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
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- 10 Janvier 2020
- 9782377160341
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Cahiers du cinéma n.768 : tous en salle !
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 2 Septembre 2020
- 9782377160419
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Cahiers du cinéma n.770 : Dupieux fait mouche
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 31 Octobre 2020
- 9782377160433
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Cahiers du cinéma n.775 : 70 ans
Cahiers Du Cinema
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- 2 Avril 2021
- 9782377160594
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Cahiers du cinéma n.780 : il était deux fois Tarantino
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
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- 1 Juin 2021
- 9782377160648
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Cahiers du cinéma n.785 : Hollywood rêve-t-il encore ?
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
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- 1 Mars 2022
- 9782377160754
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Cahiers du cinéma n.789
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
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- 5 Juillet 2022
- 9782377160792
Les Cahiers vous proposent de passer un été avec Pier Paolo Pasolini et Rainer Werner Fassbinder, dont les films brûlent encore, cent ans après la naissance du premier et quarante après la mort du second. Intraitables, ces deux cinéastes n'ont jamais opposé conscience de l'histoire (les ruines fumantes du fascisme et du nazisme) et foi inébranlable dans la fiction, dans la truculence de la chair, des mythes, bazardant toute approche naturaliste. L'incandescence d'Accattone et de Tous les autres s'appellent Ali anime le travail de cinéastes aussi différents que Wang Bing, Catherine Breillat, Albert Serra ou Nadav Lapid, qui livrent aux Cahiers leur choc devant Saló ou, pour ceux qui ont été partie prenante des tournages, Ingrid Caven et Bulle Ogier. L'ensemble de trente pages consacrées à ces deux cinéastes et en particulier au bouillonnement des années 1970 questionne leur rapport à la télévision, aux mythes, au corps en général et à la sexualité en particulier. Il inscrit aussi tout le numéro sous les auspices d'une approche délibérément non-patrimoniale des films qui nous arrivent restaurés : : Chantons sous la pluie, (l'occasion de réévaluer la part de Gene Kelly dans la mise en scène), mais aussi les chefs-d'oeuvre de Djibril Diob Mambéty ou les propositions singulières de Coni Beeson et de Tacita Dean. Qu'ils soient découverts en festival (on trouvera dans nos pages la moisson de Côté court et du Festival d'animation d'Annecy) ou distribués au retour de Cannes (les derniers films de Dominik Moll, Damien Manivel, Saeed Roustaee...), les films que nous vous invitons à voir cet été ont tous en commun la nécessité absolue du grand écran, du dispositif de la salle, que le président Macron, dans une récente « sortie » médiatique sur laquelle Bruno Icher revient dans sa chronique mensuelle - appelle à « réinventer ». Une trilogie de « Jean-Louis » traverse aussi ce numéro de juillet-août. Comolli et Schefer, deux penseurs qui les a nourris au cours de leur histoire ; et Trintignant, qui comme aucun autre, rappelle Mathieu Macheret dans un portrait substantiel au prisme de ses rôles, a su « incarner le doute fondamental » : une bonne définition de la démarche critique de la revue qui aux oukases politiciennes et au fléchage culturel a toujours substitué des joies cinéphiles, obtenues par secousses (Fassbinder), pirouettes (Donen), courts-circuits (les écrits poétiques de Bunuel sur le cinéma), assomptions (Damien Manivel), trouées de fantastique (L'Esprit sacré, qui sort ce mois-ci). Surprenant été à tous !
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Cahiers du cinéma n.790
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
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- 3 Septembre 2022
- 9782377160808
Exceptionnellement, nous revenons en couverture de ce numéro sur un film qui est déjà en salles depuis un mois, Nope de Jordan Peele. Rarement un film, un « blockbuster de l'été » aura autant divisé, autant suscité des interprétations, des critiques, des débats. Il nous semblait indispensable d'y revenir pour proposer différentes visions sur un film aussi clivant et, pour nous, aussi important. Jordan Peele lui même livre quelques secrets dans l'entretien qu'il nous accorde, où il approfondi dans sa vision du film, sa conception, sa fabrication, mais aussi sur l'accueil qu'il a provoqué. Nous sommes persuadées qu'entre autres, on se souviendra de 2022 comme l'année de Nope, mais cela ne nous fait pas oublier d'autres grands films qui arrivent en salle ce mois-ci, comme Chronique d'une liaison passagère d'Emmanuel Mouret (qui se livre dans nos pages à un jeu de références cinéphiliques qui vont de Lubitsch à Woody Allen) ou Juste sous vos yeux de Hong Sang-soo. Joe Dante et Joao Pedro Rodrigues sont aussi parmi les cinéastes qui s'expriment dans ce numéro, tout comme un texte très émouvant du jeune réalisateur espagnol Jonas Trueba sur l'oeuvre de Jonas Mekas. Finalement, un long dossier sur Douglas Sirk, l'un des plus grands cinéastes hollywoodiens, étudie son oeuvre américaine et allemande (quand il s'appelait encore Detlef Sierck) à l'occasion d'une grande retrospective à la Cinémathèque française qui sera sans doute l'un des moments forts du cinéma de cette rentrée.
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Cahiers du cinéma n.787 : Cannes 2022
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 7 Mai 2022
- 9782377160778
Chaque année, le Festival de Cannes représente la plus grande rencontre mondiale du cinéma.
À l'occasion de cette édition, nous avons voulu donner la parole à des cinéastes de la sélection officielle, dans une série de longs entretiens avec David Cronenberg, qui présente son nouveau film très attendu Les Crimes du futur, Serge Bozon, un nouvel arrivé à Cannes, ou encore Arnaud Desplechin et Marco Bellocchio. Le Festival sera aussi l'occasion de redécouvrir La Maman et la Putain, film légendaire de Jean Eustache qui enfin restauré arrivera en salles en juin.
Nous consacrons un long dossier à ce film, si important pour l'histoire de la revue et pour ses lecteurs. En plus de ces deux grands ensembles, vous pouvez trouver dans ce numéro des textes sur Marilyn Monroe, Jean-Pierre Mocky, Shoei Imamura, et bien entendu, nos critiques des meilleurs films en salle ou plateformes et encore des séries, en plus de notre habituel Journal où l'on décrypte l'actualité cinématographique du mois. -
Cahiers du cinéma n.788 : retour de Cannes ; Vincent Lacoste
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
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- 11 Juin 2022
- 9782377160785
Notre numéro de juin profite du Festival de Cannes pour faire un point sur une question qui a régulièrement passionné les Cahiers, celle des actrices et acteurs français dont les films dans les différentes sections offraient un aperçu nouveau. Virginie Efira, Benoît Magimel, Karim Leklou, Lina Khoudry ou Vincent Lacoste. C'est avec lui que nous avons eu envie d'échanger longuement, lui qui représente une nouvelle donne de l'acteur, quelque part entre le naturel autodidacte de Depardieu et une plasticité proche de la BD. Deux dates anniversaires nous ont aussi donné envie de revenir à deux figures essentielles pour l'histoire du cinéma et de la critique en France : Alain Resnais, avec plus de 15 pages (dont un entretien avec Sabine Azéma) pour fêter son centenaire, et Serge Daney, disparu il y a 30 ans et dont l'héritage est toujours vivant, comme le confirme notre table ronde avec des jeunes critiques. Françoise Lebrun, qui nous a accordé son temps et ses archives, au moment de la sortie de La Maman et la Putain restauré, complète un numéro marqué par le fil des comédiennes et comédiens, et dévoile une vérité intime de son métier au long d'une riche carrière qui va d'Eustache à Pierre Creton, en passant par Paul Vecchiali, Adolfo Arrietta, Michèle Rosier ou même récemment Gaspar Noé.
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Cahiers du cinéma n.721 : cinéma français, vive les excentriques
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 2 Mai 2016
- 9782866429829
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Cahiers du cinéma n.717 : année noire
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 3 Décembre 2015
- 9782866429768
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Cahiers du cinéma n.755 : Cannes 2019
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 1 Mai 2019
- 9782377160228
Qu'il le veuille ou non, celui qui arrive pour la première fois dans une ville débarque avec, dans ses bagages, certains noms qu'il associe à la ville. Pour Grenoble, ce seront Juliet Berto, Jean-Luc Godard et Jean-Pierre Beauviala. La première (qui a tourné dans les films du second) est née à Grenoble en 1947. Le second s'y est installé entre 1974 et 1978 parce le troisième y vivait et qu'il voulait travailler avec lui lors de sa période vidéo. Les risques sont alors grands de ne voir (ou de ne chercher) que les vestiges du passé si les forces du présent ne font pas signes. Autrement dit : que se passe-t-il aujourd'hui à Grenoble ?