Rites funéraires catholiques présente et décrit les rites religieux, para religieux et coutumiers dans l'Europe catholique qui se répandent ensuite dans le monde à la faveur de l'évangélisation.
Les funérailles, impliquant la communauté, accompagnent les défunts, estompent l'angoisse de la mort, apaisant les survivants. Les rites funèbres se sont structurés, enrichis et adaptés à chaque époque. Au cours des siècles, on assiste à la démocratisation des pratiques mortuaires. Le mort est de moins en moins anonyme, passant de la fosse commune à la tombe personnelle alors que la liturgie s'uniformise.
La vie moderne du dernier demi-siècle a imposé des simplifications drastiques et grands nombres de rites et usages encore vivants dans l'Europe rurale de l'aprèsguerre (1945) ont disparu.
Dilaceratio Corporis est une collection dirigée par Nicolas Delestre sous la responsabilité éditoriale de Laurence Loutre-Barbier Rites funéraires du judaïsme présente les rites du judaïsme qui à l'époque contemporaine compte plusieurs courants principaux : orthodoxe, traditionnaliste, réformé ou libéral.
Certaines prescriptions très anciennes concernant la mort d'un proche continuent d'être respectées :
Inhumation et non crémation, délai très court entre décès et mise en terre, recours à une hevra qaddisha, simplicité du cercueil et de l'enterrement, déchirure d'un vêtement des personnes directement en deuil et récitation du Qaddish* devant la fosse. Les rites funéraires juifs ignorent l'embaumement et l'exposition du défunt.