Lors d'un accident étrange digne d'un passage rituel de superhéroïne, une jeune femme obtient des mains magiques.
Des mains à la force herculéenne mais capables de doigté, pas des grosses paluches de carreleurs ! Capables de tout briser, concasser, mettre en boîte, étirer, elles peuvent aussi reformer, réimaginer, réemployer... véritables personnages à part entière, prolongement de l'état d'esprit de leur propriétaire, elles vivent un récit initiatique, des débuts balbutiants à leur emprise sur le monde. Grip, c'est un récit frappant à la patte graphique psychédélique, c'est une aventure muette, véritable geste moderne.
Fungirl ressemble à une grande gigue et a le tempérament d'un enfant hyperactif. Elle aime se masturber, faire tout se qui lui passe par la tête comme inviter un sdf au restaurant ou passer pour une femme enceinte dans le bus, elle aime emmerder Peter, le copain trop patient de sa coloc, qui n'a jamais rien demandé. Elle picole dans les bars la nuit, travaille dans une maison fun-éraire le jour, où elle y fait n'importe quoi, n'importe comment.
Même les morts pourraient craindre sa fun-este impulsivité, s'ils n'étaient pas si morts. Avec son allure d'Olive Oyl, Fungirl relève du Gaston Lagaffe féminin qui serait tombée enfant dans une bassine d'ecstasy. Loin de se cantonner à une longue suite de gaffes, Fungirl raconte l'histoire d'une fille un peu paumée, trop enthousiaste, qui agite les bras pour se faire remarquer et ne pas rester seule.
Et si par hasard vous rencontrez Fungirl : elle vous fera rire, elle vous fera pleurer, elle vous fera vomir. Et ça c'est pas fun ?
Fungirl, cette grande tige que rien n'arrête, a trouvé un job de vendeuse de saucisses. Complètement inadaptée, elle se fait virer aussi vite qu'on réchauffe une curry-wurst au micro-ondes. Mais grâce à cet incident, elle fait la connaissance d'un beau skateur et instagrammeur, avec qui elle débute une histoire d'amour. Quand soudain, en plein acte sexuel, l'impensable se produit... Véritable "spin-off" de Fungirl, Elizabeth Pich refait vivre ses personnages pour une aventure express, aussi trash que désopoilante. Qui vivra vulva !
Bottleneck n'est pas un lieu à proprement parler, c'est un goulet où tous les chemins conversent pour n'en former plus qu'un. Dans ce récit choral feutré, parsemé de road-movie, de thriller atmosphérique et d'anecdotes plus quotidiennes, l'attente d'un grand événement commence et la tension monte. Chaque étrange personnage trace sa route au grès de rencontres et d'interactions hasardeuses nous entraînant inévitablement vers le goulet dont on ne discerne pas le point de fuite. Il se dessine pourtant bien sous nos yeux, élégamment coloré et étonnement découpé, fragile et mystérieux.
Pinocchio narre les (mes)aventures de la celebre marionnette, revues et corrigees par ce bon petit diable de Winshluss. La trame est la meme que dans le roman de Collodi, cependant lfintrigue est modernisee. Avec Winshluss, le pantin de bois devient un simple androide concu par un ingenieur en mal de reconnaissance. Tandis que á le grillon qui parle â (ici un cafard ) connait un sort plus enviable que celui du roman, puisqufil sfagit dfun SDF qui trouve a squatter dans la boite cranienne du petit robot.
Toute la force du travail de lfauteur reside dans son traitement graphique€ : outre un dessin tres expressif, Winshluss fait preuve dfune maitrise insolente du recit muet. Ce livre imposant, prouve que Winshluss est un des auteurs de bande dessinee les plus virtuoses de sa generation.
Quel est ce mystérieux « Z » auquel Willem fait référence ? Il y a environ un an, nous l'avions vu apparaître, énigmatique, sur les belliqueux véhicules russes qui attaquaient l'Ukraine. Signe emblématique de l'injuste offensive de Moscou contre Kiev, il donne le ton : un an de guerre en Ukraine, ça ne se célèbre pas, ça se corrode avec une vodka frelatée, sous la plume du désormais retraité Willem. Parce qu'après le virus, les russes : mégalomanie et folie de Poutine, oligarques et militaires entre nostalgie de l'URSS et crasse stupidité... sous forme de bandes dessinées aux atours symboliques de personnages de fiction, et grandes compositions faisant référence à la vie et l'oeuvre de Poutine le terrible, c'est du pur Willem enragé et engagé sur la guerre en Ukraine, entre inédits et prépublications dans Charlie Hebdo depuis un an, qui nous feront grincer les zygomatiques !
Histoires croûtes est de retour ! Grand manipulateur du verbe, Antoine Marchalot l'est aussi de sa forme dont il maîtrise le style et la dysharmonie vibrante. Il s'attaque ici à tous les genres et les époques avec une énergie absurde inépuisable. Ainsi vous saurez tout sur les liens entre le Pôle Emploi et les oiseaux exotiques, sur l'élaboration des goûters dans un laboratoire scientifique, l'avantage et les inconvénients de ne pas aimer le poisson ou vous apprendrez différentes techniques pour dessiner des loups.
Mieux qu'une anthologie de blagues de Jean Roucas, ce livre illuminera vos soirées en famille ou entre amis.
Issues toutes les deux de la culture populaire et de la contre-culture, la bande dessinée et la musique rock et dite « pop » au sens large, entretiennent depuis longtemps des rapports étroits et féconds. L'exposition « Rock ! Pop ! Wizz ! Quand la BD monte le son » propose une plongée dans ces deux univers, pour afficher le dialogue permanent entre ces formes d'art, leur connivence et comment elles se nourrissent l'une et l'autre depuis plus d'un demi-siècle. À partir de janvier 2023 et au sein de la Cité Internationale de la Bande Dessinée et de l'Image d'Angoulême, elle rassemble plus de 50 dessinateurs venus de tous les pays, des centaines de pochettes de disques, et autant de planches originales. Sous forme de magazine, le catalogue reprendra une grande partie de l'iconographie de l'exposition, mais aussi des inédits, images, interviews ou textes d'acteurs à la croisée de ces deux mondes.
Après s'être attaché à déconstruire Pinocchio, Winshluss s'attaque au livre de contes et de légendes le plus lu au monde : la Bible. Un narrateur extérieur, Saint Franky (Saint François d'Assise), guide le lecteur, en portant une vision particulièrement acerbe, à travers les différents épisodes marquants de l'Ancien et du Nouveau Testament. Tout comme Pinocchio investissait les multiples parties de l'âme humaine, In God We Trust s'attelle à envelopper la Bible de plusieurs auras. Allant de la parodie du comic book (God vs Superman) à la tragédie (sic) adultérine et les difficultés que peut traverser une famille monoparentale, en passant par une étude sur la disparition des dinosaures, la densité du livre ne laissera au lecteur aucun répit. Ponctuées d'anecdotes inédites, les fabuleuses aventures de Dieu narrées par Winshluss nous en apprendront plus sur ce mystérieux personnage.
Dans l'immensité froide de l'Univers, un point lumineux, incandescent, pénètre le vide infini. Au centre de ce point, c'est un être de métal qui file vers sa destination. Fascinant robot aux capacités hors-normes, B.0 n'est pas un Gode, c'est un Dieu du sexe ! Véritable bijou de mécanique, créé pour faire jouir les femmes de toutes les galaxies habitées, il sème sa voie lactée depuis près de 8 siècles. B.0 écume les lunes, saute de trous noirs en naines brunes, pour satisfaire des générations d'humaines et d'extra-terrestres friandes de mécanique des fluides et de vols à biter. Mais une question le hante : quel est le sens de cette vie débridée ?
Au centre d'une constellation d'influences allant de Stanley Lubrick, Philip. K Bite, jusqu'au Sexoschtroumpf et Astro Toy, Ugo Bienvenu nous fait sonder les travers de l'intelligence artificielle d'un engin bien huilé. Au centre d'une constellation d'influences allant de Stanley Lubrick, Philip. K DICK, jusqu'au Sexoschtroumpf et Astro Toy, Ugo Bienvenue nous fait sonder les travers de l'intelligence artificielle d'un engin bien huilé.
A bord d'un grand ferry à voile et à vapeur, Noé, sa progéniture, ainsi qu'une tripotée d'animaux, forniquent au sec en attendant la fin de la plus grosse saucée que la Terre ait connu. De ce déluge d'amour de 40 jours, le monde doit ressusciter, une fois les pieds et les pattes posés sur le sol meuble... Mais il faut dire que la tâche incombe surtout à Sem, fille unique de Noé, et dernière femelle humaine : le Grand Inondeur en personne lui est apparu pour lui intimer l'ordre de se faire enSEMencer pour sauver l'Humanité ! Sem, qui prend son rôle au sérieux, préfère néanmoins éviter l'abouchement avec ses frères benêts ou son père tyran-nique, et part fouiller le nouveau monde à la recherche d'éventuels géniteurs survivants.
Mais un doute l'habite : pourra-t-elle rester coït si elle rencontre des hommes qui n'associent pas forcément dimension plastique et abysse intellectuel ? A mi-chemin entre l'Arrache de Noé et l'Orifice des espèces, nous ne dirons pas si l'Homme sera sauvé, déso.
La Comtesse est une jeune femme ignorante des mystères du sexe. C'est toute fraîche et vierge qu'elle s'apprête à passer sa nuit de noces. Son mari, vieux, moche et rabougri la laisse au matin écoeurée à jamais du plaisir en chambre.
À jamais ?
C'est sans compter sur la fougue de son personnel de maison ! Dès que son époux quitte le château, le valet, de ses assauts répétés, ramènera bien vite le rouge aux joues de la Comtesse.
Mais qui est Gabor Varga, alias Lucien Etavard ? Volubile charmeur proche du monde de l'art, grand résistant contre l'Occupant Nazi, ou discret opportuniste ? Publicitaire évoluant dans les milieux huppés parisiens à la fin des années 30, Gabor aime les salles de jeux, les armes, l'art, les femmes, enfin, surtout la ténébreuse Tamara... Exilé dans un maquis de Dordogne sous l'Occupation, devenu Lucien, il est mêlé au casse d'un train de fonds devant servir à financer la Résistance.
Mais face à sa disparition soudaine après l'attaque, concordant avec celle d'une partie du magot, ses compagnons d'armes douteront de son altruisme, surtout, quand des années après la Libération, son retour coïncidera avec le meurtre d'une veille connaissance et à un trafic d'oeuvres spoliées... Sur la période s'étalant des années 30 à 50, nous suivons l'ascension et la chute d'un personnage haut en couleurs, dans un environnement sombre comme dans un film sépia, où les personnages parlent avec des petites voix pincées.
Et comme dans ces films d'époque, c'est la gloire, la richesse, la guerre, le meurtre et le sexe. Ca ne se passe pas à La Souterraine, mais peu importe, c'est ça, La vie souterraine.
Au commencement, Dieu créa le sexe. Lilith et Adam, les deux premiers humains, jouissaient dans le Jardin d'Eden, jusqu'à ce que le second veuille soumettre la première.
Lilith, conçue dans le même argile qu'Adam, se rebella contre son égal et le laissa en plan. Mais si Dieu est Amour, Il sut prendre le parti d'Adam pour condamner Lilith et lui donner une femelle docile du nom d'Eve... « Oh my Gode », fit Lilith fièrement.
Pas de repos dominical pour Guillaume Bouzard qui nous sert un nouveau cock-tail à se damner. Qui d'autre pouvait se permettre de mélanger avec autant de malice goupillon et croupion ?
Promu jeune curé de campagne, le père Guillaume décide d'aller rendre une petite visite de courtoisie à ses ouailles. Que cachent donc les habitants de Bourg-Saint-Guillaume derrière leur prétendue bienveillance ? D'abord sous le charme, le père Guillaume parviendra peu à peu à lever le voile sur les secrets de ce petit village. Moderne et volontaire, le saint homme réglera de nombreux conflits dans sa paroisse grâce à un sens du compromis hors du commun et un pragmatisme qui en désarçonnera plus d'une. Avec pour seules armes sa robe de burnes et son cierge gonflé à bloc, il prend courageusement le relais du père Lucas pour continuer l'évangélisation de ce petit bourg impie. Vin de messe dans la figure, grosse hostie impossible à avaler, tout est bon pour ce brave curé qui n'hésite pas à remonter ses manches et sa soutane pour accomplir cette sainte mission.
Priez pour nous pauvres branleurs, avec le père Bouzard on va avoir les messes toutes rouges !
Doigt humide en constant zwipage d'écran de son smartphone, fesses molles phosphorescentes posées sur des toilettes d'eau potable, lunettes mal ajustées, le mâle blanc chie. Cet auteur de BD, célibataire habitant en banlieue, n'aime pas trop sortir de son appartement pour affronter le monde extérieur. À priori ouvert, il va vite découvrir que quand la mendiante du Monoprix vient chez lui, puis un ami à elle, puis Christian Clavier, il n'aime pas non plus... D'une comédie française en huis-clos à un thriller mystique, Eric Salch fait partir en vrille les certitudes d'un stupide mâle blanc, dans un style graphique reconnaissable mais dans un registre inattendu et inventé pour l'occasion : le "Salcher" !
À Chams City, se tient chaque année la grande fête qui annonce l'arrivée de l'été. Une course de pigeons se tient sur le pigeodrome de la ville. Ratiche, aidé de son complice Bourricot, va participer à la course sur le dos d'une palombe sauvage et intrépide. Peu avant ça, le volatile a été acheté par Mitch à Furax, un commerçant ambulant à l'honnêteté douteuse. Tout au long des trois parties qui composent ce récit, les Minets de la Cité vont jouer les troubles fête en essayant de récupérer des champignons hallucinogènes égarés. Mis en dessin par Guerse, B-gnet et James, ces trois histoires se suivent tout en pouvant être lues indépendamment, entre elles, se succèdent des jeux, des rubriques, des articles, des réclames réalisés pour certaines par Louise Collet et Tangui Jossic qui signe aussi l'habillage graphique de l'ouvrage. Destiné à la jeunesse, Ratiche joue des codes de la BD populaire en lorgnant sur Pif le Chien, Tartine et surtout le Pepito de Luciano Bottaro auquel les auteurs rendent hommage.
Nejma, une française qui vient de casser avec son mec, part sur un coup de tête à Los Angeles. Accueillie là-bas par un couple de jeunes filles, Aya et Misato, elle va découvrir les charmes subtils de la Cité des Anges... Pour une apprentie fashionista comme Nejma, les anges sont les beaux mecs qu'elle croise partout : ils peuplent les magasins de vêtements et n'hésitent pas à proposer des tu-niques pour satisfaire leur nouvelle cliente, ils servent du café robusta et font bouillir la crème fraîche comme des dieux...
La french touch de Nejma sera-t-elle à la hauteur d'une nouvelle vie composée de hot couture et de bitch volley ? Au pays des excès et sous le soleil torride de L.A, ce sera à coup sûr La La Glande et Californication !
Teddy Beat, l'ourson de ces dames, dont la réputation de baiseur au grand coeur n'est plus à faire, se réveille un jour avec le besoin de percer à jour le secret de la jouissance féminine. Jouir, quand on est une femme, à quoi ça ressemble ? Et pour ce faire, aux grands maux, les grands remèdes, il file chez le chirurgien plastique pour se faire transformer intégralement en femme. Une femme avec des vrais nichons, une vraie chatte et tout le reste.
Mais suffit-il d'en avoir les organes pour l'être vraiment, femme ? C'est ce que Teddy va tenter de découvrir dans la jungle urbaine de Brooklyn.
Roger l'astronaute est en mission. Loin de la douce Penny qui attend patiemment son retour, il explore une étrange planète.
Fasciné par ces paysages désertriques aux cieux chatoyants comme un dégradé photoshop, il se laisse aller à quelques fouilles un peu trop approfondies. A la fois rongé par l'absence de sa tendre Penny et bercé par les réminiscences de leurs étreintes, Roger se laisse enivrer par le plaisir apparemment partagé d'une exploration sans tabou. La jouissance est intense mais, au petit matin, la perte est lourde : Sa bite a disparu ! Et la faune locale constituée de créatures toutes plus exotiques les unes que les autres, des vulvolantes aux baleines à bites, ne semble exister que pour lui rappeler son triste sort.
Roger ne connaitra aucun répit, du fond de ses caves moites au sommet de ses dunes voluptueuses, cette planète semble bien décidée à lui faire pleurer son foutre.
Vous souvenez-vous de Bernadette, l'inépuisable égérie du camping du « Dauphin Vert » ? Elle est de retour pour la saison d'hiver à la station de ski du « Pingouin Bleu », où elle a troqué son moule-bites contre des moonboobs.
Avec elle, impossible de se cailler les miches, dans sa boutrique de location de matériel ou lors de descentes en hors-piste dans des forêts de sapinettes. Au creux d'une vallée alpine, vous ne sucerez pas que des glaçons, car la station du « Pingouin Bleu » regorge d'une avalanche d'activités, du tire-fesses aux balades en raquéquettes. Vous y retrouverez Nadine, ancienne ingénue, suivant les cours très particuliers de Jörgen, le beau moniteur de ski suédois, mais aussi Marco, Fifi, Gégé, les jumelles hollandaises et tous les pensionnaires du « Dauphin Vert » venus planter leurs bâtons dans la poudreuse et se dégeler la serrure ! Ce sera aussi l'occasion de découvrir ce que renferme la mystérieuse piste rose, et le secret que cache Pingoui, la mascotte de la station.
Suivez Bernadette en « tout choune » jusqu'en aval(e) des pistes, et si vous pensiez que le réchauffement climatique était le vrai responsable de la fonte des glaciers, demandez plutôt à Bernadette...
Teddy Beat reprend du service !
Quatre ans après son Prix de l'Audace au Festival d'Angoulême, il est de retour dans : Les Voyages de Teddy Beat.
Toujours à la recherche du plus doux des miels, l'ours le mieux léché du règne animal part à l'aventure avec pour seul bagage le guide du broutard et une bonne brosse à dents. En bon Philéas Fokk, il visite à fond les trous les plus reculés de la planète dans un véritable tour du monde en 80 bourres !
Des cochonnes d'Indes aux bonnasses de neige Teddy Beat a fourré, au cours de ses voyages, plus d'espèces exotiques qu'un taxidermiste !
Avec ce nouveau volume, la collection BD Cul fêtera ses 5 ans et son dixième volume ! Et quoi de mieux pour un anniversaire qu'un retour aux sources ?
Jadis, les Dieux de l'Olympe régnaient sur trous les êtres vivants. Les Hommes leur étaient soumis... jusqu'à ce que Prométhée décide de les libérer. Pour leur insuffler le Feu Sacré, le vigoureux Titan n'eut qu'une seule solution : leur passer sur le corps, sans leur demander leur avis, répandant le savoir dans l'humanité comme une MST pandé-nique. Prométhée puni et enchaîné, la bande des Dieux craignant de disparaître aux yeux des humains, envoyèrent Mercure en grande pompe, reprendre patiemment la vénérable flamme à chaque femme et chaque homme de la planète.
"Plus jamais ça" , dirent les humains après cette double conquéquette, en rajoutant : "Promettez-nous".