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Du Polar
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Saint-Genix sur Guiers, petit village Savoyard endormi dans la froideur de l'hiver. Pourquoi Josselin a-t-il disparu ? Où est passé ce gosse du village ? Quel effroyable secret cache sa famille ? Et voilà un mauvais plaisantin qui a osé accrocher une boîte aux lettres aux grilles du cimetière. On jase, on déblatère, on rit jaune, on a peur.. Voila que les morts se mettent à recevoir du courrier !
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Dans le microcosme des stations de ski, entre glace, free ride et poudre du bonheur, tout porte à la béatitude. Pourtant, lorsqu une série de meurtres expédie les inspecteurs Camille Sora et Michel Vega sur le toit du monde, c'est une enquête des plus débridée qui les attend. Un polar givré mené tambour battant, un suspens haletant sur fond de free ride qui tient le lecteur en haleine jusqu'à la dernière page ! Un humour noir à la William Boyd... La lecture anti-déprime la plus rafraîchissante de l'année !
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Viltot sur mer est un petit port tranquille jusqu'à ce qu'une vieille dame y soit sauvagement assassinée. Crime passionnel ou simple barbarie ? La commissaire Patricia Leroux, venue de la police criminelle parisienne, va peu à peu se laisser envoûter par la folie et les superstitions du cru. Entre psychanalyse, bon sens local et religiosité, elle aura bien du mal à démêler l'écheveau de son enquête et de ses propres contradictions.
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La première enquête, « Des cendres en décembre », nous amène à Sausset-les-Pins où Volpi réside maintenant. Ce qui se présente au départ comme un drame domestique va entraîner le perspicace Volpi dans une série à rebondissement qui le conduira jusqu'en pays basque.
Notre commissaire va ensuite côtoyer les membres des loges maçonniques pour la disparition d'un architecte aixois de renom, franc-maçon notoire. Dans « Requiem pour l'architecte », va-t-il résister aux sollicitations multiples dont il est l'objet ?
La dernière enquête, « le crime des saints Pères » introduit Volpi dans le monde des entreprises aixoises, Le sous-titre, « una storia criminale » révèle que toutes les victimes sont d'anciens immigrés italiens. Un passé d'origine napolitaine ressurgit dans la campagne aixoise. Volpi, pour la première fois de sa carrière fait équipe avec des femmes. Comment subir « ce choc » ?
Un ouvrage dense, idéal à lire sur tablette et qui permet de s'immerger dans le monde de Volpi. Pas de longueurs, du vivant, prenant et récréatif. -
Un ouvrage qui permet de prendre une bonne dose de polar, en se plongeant dans l'aventure. Idéal pour tout oublier. Gros volume, agréable à lire sur tablette.
Dans « les angoisses de Volpi », le lecteur fait connaissance avec le héros, fin des années 60 et va le suivre dans une affaire surgie du passé. Volpi, tenaillé par le chagrin et la déprime, cherche à se venger, en marge de la loi. Le moral dans les chaussettes mais une volonté d'acier.
Puis nous retrouvons le commissaire au bord de la Grande bleue, avec « Du sang dans les algues », une enquête qui l'entraine fin des années 70, au contact impitoyable et brutal de la pègre de la « French connection ». Volpi va mettre sa vie en jeu, pour les beaux yeux de la belle Gilda.
Enfin, le lecteur suivra Volpi dans les Cévennes où il devait couler des vacances tranquilles avec son pote Michaud et toute leur petite famille. Pourtant, drôles de vacances où ils passent leur temps à poursuivre un tueur en série marquant ses victimes d'un tampon en forme de serpent. « Du serpent, on s'en tamponne ! », certes, sauf les femmes assassinées et la population traumatisée !
Écrites dans un style concis et fluide, ces enquêtes se lisent aussi facilement qu'on regarde une série télé. -
Recueils de trois enquêtes qui constituent un ouvrage papier de près de 1000 pages.
La première enquête : "trois p'tits tours et puis s'en vont" se déroule dans les années 60 aux alentours d'Aix en Provence, alors que Volpi débutait sa carrière. Des jeunes filles sont retrouvées mortes après avoir été maquillées et vêtues comme des actrices ou des chanteuses à la mode.
La deuxième enquête nous plonge dans le milieu des salafistes et des juifs orthodoxes, après l'assassinat inexpliqué d'un des lieutenant de Volpi, David Cohen.
Enfin, la troisième enquête a pour toile de fond les problèmes actuels des gangs de l'Est et du trafic de migrants.
Une bonne dose de polar pour voyager dans le temps et l'espace et qui fera passer un long et agréable moment au lecteur. -
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A la suite d'une déception amoureuse, Stéphane Lorain ancien journaliste, s'inscrit sur un site de rencontres "mesamours.com" où il fait la connaissance de plusieurs femmes et s'attache à l'une d'elles, Françoise sans se douter que, quelques jours plus tard, son dernier amant va être assassiné.
La victime, homme fortuné, était aussi un habitué de "mesamours.com" et ne collectionnait pas uniquement les aventures, mais aussi, les inimitiés et les rancunes.
Stéphane, secondé par Françoise, va mener l'enquête, parallèlement à la police à travers les nombreux messages des internautes.
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Forcalquier : Décès mystérieux d´un cultivateur à la ferme de « la Boucharié » près de Reillanne...
Aix -en-Provence : Eugène Garcin, candidat républicain, trouve la mort dans un accident, chemin de Valcros...
Aix-en-Provence : Mort inexpliquée d´un chapelier dans sa cuisine...
Barcelonnette-Vallée de l´Ubaye : Une jeune femme enceinte retrouvée morte dans l´église de Larche au pied de l´autel de la Vierge...
Pertuis : Crimes abominables dans une ferme du quartier des Moulières !
Se déroulant sous le Second Empire ou la Troisième République, ces nouvelles nous sont offertes un peu comme des friandises, dans les décors et les moeurs de la Provence du XIXe siècle. Pas de sang, meurtres ou non ? On se plaît à s´imaginer vivre en ce temps-là et chercher des faits croustillants dans les journaux de l´époque pour agrémenter son quotidien. Mais, la dernière nouvelle, clou du spectacle, nous fait découvrir en revanche l´horreur et le sang... Et pourtant, cette histoire est justement tirée d´une affaire criminelle bien réelle !
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Le passé peut parfois vous rattraper, en causant des drames insoutenables. Gino Volpi va en faire la triste expérience. Sa femme et son fils sont assassinés dans un faux accident de voiture. Volpi erre entre chagrin et angoisses, traînant ses santiags dans la région d'Aix, à la recherche du meurtrier, avec la ferme intention de venger les siens. Un homme est retrouvé dans sa voiture accidentée, une balle dans la tête. Volpi a-t-il réussi son coup ? C´est pourtant lui qui est chargé de l'enquête. L'identité du mort nous replonge dans une histoire vieille de plusieurs années qui laisse penser que Volpi est effectivement le meurtrier. Le commissaire est-il réellement malade et dangereux ou est-il le jouet de la fatalité? Difficile d'enquêter quand on ne sait plus trop qui on est..
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Un de vos équipiers, parti en congé de formation, est retrouvé mort dans le parking de votre immeuble. Rien que cela, déjà, vous pose un problème en tant que commissaire. Imaginez, en plus que cet adjoint soit accoutré comme un parfait
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Pour Volpi, le Procureur a encore une fois bien chargé la mule. Jugez plutôt :
Un riche architecte spécialisé dans la restauration des monuments historiques, franc-maçon notoire, disparaît mystérieusement...
Djamila, élève d'un lycée professionnel tente de se suicider dans son établissement...
Des jeunes d'une cité trouvent la mort en scooter dans de faux accidents de la route.
Y a t-il un lien entre toutes ces affaires ?
Avec Volpi, on est bien loin de la théorie du complot. La tête froide, pour une fois, il va mener son enquête entre Aix et Lubéron, aussi bien dans le milieu maçonnique aixois que dans les cités de la ZAC, en passant par la fréquentation de dealers et d'amateurs d'Harley-Davidson.
Va-t-il réussir à éviter la compromission et la diffamation pour défendre sa réputation d'homme intègre ?
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On aurait dit que la Lune était rousse et que le soleil venait à peine de rejoindre l'autre hémisphère, quand tous les chiens du quartier se mirent à hurler à la mort. Un bien triste concert qui interrompit la nuit hivernale des habitants du petit village, mais des grognements et des gémissements exprimant un irrépressible effroi, avaient fait converger tous les regards dans le moindre recoin sombre. Ils sortaient tous de chez eux, jeunes et vieux se regroupant au coeur du bourg, les yeux rivés sur les nuages illuminés par un feu intense. Ils venaient de comprendre l'origine de ces cris inhumains qui donnaient cette impression unique d'apercevoir une esquisse de l'enfer. Lorsque cet événement exceptionnel arriva à l'Aber-Ildut, petit bourg aux confins de la Bretagne, les esprits des villageois façonnés par de vieilles légendes, surent que de terribles maux allaient les accabler bientôt. Le mage était mort. Assassiné. La rumeur circulera dès le lendemain, des murmures apeurés. Les langues se délieront bientôt, chaque villageois, convaincu de ce qu'il sait ou imagine. Et rien que du mauvais pour tous. L'inspecteur Lavigne va devoir comprendre leur personnalité, savoir ce qu'ils savent réellement. Qui avait intérêt à tuer le mage tant craint et respecté ? Quel en était le mobile ? Qui en voulait à ce point au rebouteux ? Solitaire et taciturne, l'inspecteur poursuivra auprès d'une population qui a toujours été effrayée par la personnalité de la victime, son côté sombre, une force obscure qu'il tirait du pouvoir de l'ombre. Qui ? Sa femme ? Sa maîtresse. Le contenu de ses livres, aussi anciens que secrets ? Lavigne va livrer une bataille muette, tenter de comprendre le contexte dans lequel vit ce bourg figé dans des croyances d'un passé qu'il croyait révolues. Et il ira de surprise en surprise, jusqu'à avoir peur de son ombre.
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Au bord de la Grande Bleue, Sausset-les-Pins est une petite ville agréable et tranquille. Tranquille ? Pas sûr ! La preuve : Une femme rousse fait une chute dans l´escalier de sa villa. Jusque-là, rien de bien extraordinaire, si ce
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La face cachée de l'Afghanistan.
On peut présenter des points de vue complexes de manière distrayante et en des termes simples. C'est ce que fait John le Carré. Dans La base, Martial Bouanchaud le fait avec beaucoup plus modestement. Il n'en demeure pas moins qu'à travers Emmanuelle, son personnage central, il parvient à nous parler de l'imbroglio afghan avec lucidité, abordant des points de vue personnels pertinents, et une analyse de la situation dans cette contrée complexe qui ne laisse pas le lecteur indifférent.
Au terme de la lecture de La base, une vision claire se fait jour des non dit, de ce que peut penser la majorité silencieuse afghane. Les volontaires qui se vouent à l'action humanitaire, sur la religion et les différentes politiques nationales ou internationales qui s'évertuent à trouver une solution dans un pays en guerre depuis plus de trente ans. Pris entre les multiples facettes d'Al Quaïda, la pugnacité des Talibans et des Moudjahidin, les méandres de la religion, la guerre que leur font les services secrets et l'activité d'une étrange société secrète, qui dans ce pays tente-t-il de tirer son épingle de ce jeu de massacre ?
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Des embrouilles qui laissent un goût aigre doux.Il y en a qui les cherchent et, forcément, ils arrivent à les trouver.
Il suffit de prendre les gens pour des imbéciles. Oui, il y en a pas mal qui nous entourent, mais ils ne veulent pas qu'on le leur fasse remarquer. Il y en existe, forcément d'autres qui négligent cette règle de primordiale prudence. Ainsi le personnage de ce polar jubilatoire et à contre-courant. Tout commence dans notre bon RER de la région parisienne. Une remarque idiote, mais spontanée adressée à une bande de banlieusards sans humour, lui vaut une correction magistrale.
Il y a des journées comme ça, qui commencent du mauvais pied. D'autant plus qu'en rentrant chez lui, il découvre son appartement saccagé. Bien sûr, il n'est pas plus surpris que ça : Paris a des avantages et des inconvénients. Mais les inscriptions qui maculent les murs de son logis, d'un goût discutable, le plongent dans des conjonctures improbables. " Les s... ça s'oublie difficilement " À qui les vandales font-ils allusion ? Évidemment, il va tenter de le savoir.
Mal lui en prend. Du coup, sa vie devient un véritable cauchemar où des micmacs à l'aigre doux, Chinois, chiens, pizzas et vol d'oeuvre d'art, s'engouffrent dans son espace vital et vont lui rendre la vie impossible. Il comprendra vite la signification du proverbe urbain. Mais qu'à cela ne tienne. Jean Milpied est sûr du bon droit de son héros. Même si l'esprit de celui-ci est un tantinet tortueux. Il est vrai qu'il n'y est pour rien...
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Etre trop à cheval sur les principes, nuit gravement.
La Bretagne, ses verts pâturages, les champs de courses hippiques sous un ciel radieux et la brise marine. Les chevaux piaffent d'impatience sur la ligne de départ. Ça y est, c'est parti à un train d'enfer. Mais l'un d'eux ne franchira pas la ligne d'arrivée. Il est rare qu'un beau coursier, soit fauché en pleine course par un tir de carabine de fort calibre. Pas dans "Mort sur le fil." A la lecture du polar de Michel Ollivier, journaliste, spécialiste du monde hippique, on découvre que cet univers n'est pas comme peut l'imaginer un banal adepte du PMU.
Rancunier et violent. On aurait tort, en effet, de ne pas penser à l'envers de la médaille. Elle est loin d'être étincelante comme un Louis d'or. D'ailleurs, nous serions bien naïfs de croire le contraire et Michel Ollivier met les points sur les "i" sur un sport qui, comme tous les autres, a son coté noir. "Mort sur le fil" nous y fait entrer dans le détail et on en sort très édifié. C'est que son personnage, Steve, un jeune garçon promis à un bel avenir de jockey en connaît long sur la chose.
Qui plus est, Steve est très jeune homme très malin. Poussé par l'un de ses professeurs passionné de chevaux, le jeune homme découvre un monde dont ses qualités et son intelligence peuvent lui ouvrir les portes et, pourquoi pas, lui offrir une existence hors du commun et la notoriété. Il s'y jette donc à corps perdu, sans ménager sa peine et ses efforts. Mais comme on le verra, seules la déception et l'amertume seront au rendez-vous.
Et il le prendra très mal. Steve est un rancunier violent. Ainsi, son désir de vengeance se focalisera alors sur celui qu'il considère comme le responsable de son échec. Il prendra des détours perfides, des attitudes trompeuses. Méthodiquement, sans jamais s'en prendre directement à lui, Steve va tenter de le lui faire payer cher son comportement. Un récit plein d'enseignements sur un milieu aux moeurs inattendues, mené avec brio du début à la fin par un auteur qui en connaît un bout.
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L'action est basée sur des faits historiques méconnus.
1963.Un meurtre somme toute banal dans les environs de Marseille. Une brève dans le journal régional. Un assassinat, non résolu et peu à peu oublié. Pas pour tout le monde. La seconde Guerre mondiale est loin et son souvenir s'estompe lentement. Sauf pour un pilote de l'US Air Force qui recouvre la mémoire. Une histoire d'espionnage commence qui nous tiendra en haleine dès le début du récit. Elle entraînera le lecteur de Montevideo à Santorin, de Marseille à Londres, avec un détour en Argentine et en Corse.
Un parrain corse en perte de vitesse en fera les frais. Des barbouzes de tout poil vont participer à une chasse à l'aveugle, sans compter des révolutionnaires sud-américains qui y trouveront de quoi alimenter leur croisade. Mais c'est surtout Jean Merra qui mettra tout son coeur pour résoudre une affaire qui ne demandait qu'à se faire oublier. Pour résoudre les mystères de ces sursauts d'outre tombe, il s'engagera à corps perdu, car l'homme assassiné pourrait être lui.
Et Jean a beaucoup d'atouts dans sa manche. N'est-il pas le meilleur des double cross existant ? Mais pour élucider un mystère né dans les officines obscures de la seconde Guerre mondiale, le divisionnaire Merra aura beaucoup de surprises et du souci à se faire. Il devra aussi faire vite, avant que la planète ne s'embrase de nouveau.