Filtrer
Rayons
Support
Éditeurs
Langues
Prix
Culturea
-
Bistritz, 3 de mayo. Sali de Münich a las 8:35 de la noche del primero de mayo, llegué a Viena a la manana siguiente, temprano; debi haber llegado a las seis cuarenta y seis; el tren llevaba una hora de retraso. Budapest parece un lugar maravilloso, a juzgar por lo poco que pude ver de ella desde el tren y por la pequena caminata que di por sus calles. Temi alejarme mucho de la estación, ya que, como habiamos llegado tarde, saldriamos lo mas cerca posible de la hora fijada. La impresión que tuve fue que estabamos saliendo del oeste y entrando al este. Por el mas occidental de los espléndidos puentes sobre el Danubio, que aqui es de gran anchura y profundidad, llegamos a los lugares en otro tiempo sujetos al dominio de los turcos. Salimos con bastante buen tiempo, y era noche cerrada cuando llegamos a Klausenburg, donde pasé la noche en el hotel Royale. En la comida, o mejor dicho, en la cena, comi pollo preparado con pimentón rojo, que estaba muy sabroso, pero que me dio mucha sed. (Recordar obtener la receta para Mina). Le pregunté al camarero y me dijo que se llamaba paprika hendl, y que, como era un plato nacional, me seria muy facil obtenerlo en cualquier lugar de los Carpatos. Descubri que mis escasos conocimientos del aleman me servian alli de mucho; de hecho, no sé cómo me las habria arreglado sin ellos.
-
Le Péril Bleu de Maurice Renard plonge les lecteurs dans un univers de science-fiction fascinant où l'auteur dépeint un monde aux prises avec un danger mystérieux et menaçant. Renard, maître du genre, utilise son écriture imaginative pour créer une toile narrative qui explore les frontières entre la technologie et les conséquences imprévues.
L'intrigue du roman suit les protagonistes alors qu'ils se confrontent au Péril Bleu, un élément de la trame qui semble contenir des implications extraordinaires. Renard, avec son style captivant, explore les ramifications de cette menace, mêlant des éléments de suspense et d'anticipation pour maintenir l'intérêt du lecteur tout au long du récit.
Les thèmes de la science, de l'inconnu et des dilemmes éthiques sont habilement tissés dans le tissu narratif, créant une réflexion profonde sur les avancées technologiques et les choix moraux qui en découlent. Renard pourrait présenter des personnages complexes confrontés à des décisions difficiles, ajoutant une dimension humaine à l'histoire.
À travers une prose vive et une imagination débordante, Le Péril Bleu offre une plongée captivante dans un futur hypothétique. Renard pourrait utiliser son talent pour la description et l'exploration des concepts scientifiques pour transporter les lecteurs dans un voyage intrigant où l'inconnu et l'inexploré se dévoilent page après page. -
Le Maître de la Lumière est un roman écrit par Maurice Renard, un écrivain français du début du XXe siècle. Le roman a été publié en 1913.
L'intrigue de Le Maître de la Lumière est une oeuvre de science-fiction qui explore des concepts futuristes. Le titre suggère la présence d'un personnage central ou d'une entité liée à la lumière. Le roman se déroule dans un avenir hypothétique et peut inclure des éléments de technologie avancée, d'inventions extraordinaires et de réflexions sur la nature de la lumière.
Maurice Renard était un auteur prolifique de science-fiction et de fantastique. Ses oeuvres abordaient des thèmes tels que la technologie, l'avancée scientifique et les conséquences de la découverte. -
"L'Effrayante Aventure" est un roman écrit par Jules Lermina, un auteur français du XIXe siècle. Publié en 1890, ce roman est caractérisé par son mélange de suspense, de mystère et d'aventure, des thèmes couramment explorés par Lermina.
L'histoire tourne autour d'un jeune homme nommé Georges Berville, qui, après avoir été initié à une société secrète, se retrouve impliqué dans une série d'événements mystérieux et dangereux. Il est confronté à des conspirations, à des intrigues criminelles et à des menaces pour sa vie. Tout au long du roman, Georges Berville doit résoudre des énigmes et échapper à des périls pour démêler les mystères qui l'entourent.
Jules Lermina était un auteur prolifique qui a écrit dans divers genres, y compris le roman d'aventures, le mystère et le fantastique. Ses oeuvres étaient populaires à l'époque pour leur capacité à captiver les lecteurs avec des intrigues palpitantes.
Si vous aimez les récits d'aventures avec une dose de mystère et d'intrigue, "L'Effrayante Aventure" de Jules Lermina pourrait vous offrir une lecture passionnante qui vous tiendra en haleine jusqu'à la fin. -
Loup Larsen est le capitaine du Fantôme sur lequel il pratique la chasse aux phoques. C'est un homme puissant, brutal. Danois de naissance, il est d'origine modeste, mais a rapidement gravi les échelons, de mousse à capitaine, pour devenir, finalement à 40 ans, propriétaire de son bâtiment.Son équipage, de sacs et de cordes, est composé de brutes, d'ivrognes et de repris de justice qu'aucun marin digne de ce nom n'accepterait à son bord. Mais il entretient, grâce à la peur qu'il inspire, un semblant d'ordre à son bord.Il recueille, afin de le sauver de la noyade, Humphrey van Weyden - homme de lettres réputé - qu'il maintient, ensuite, prisonnier à son bord au lieu de le faire porter à la côte ou sur un bâtiment de rencontre.Loup Larsen, même s'il est une brute consommée, a une culture solide, c'est un homme intelligent, de cette sorte d'intelligence brutale et sauvage qui fait de l'homme parfois un prédateur dangereux.Il engage, alors, un jeu pervers et cruel aux dépens d'Humphrey van Weyden, puis d'autres marins qu'il recueille, également à son bord, ainsi que d'une femme Maud Brewster - femme de lettres et poétesse...Jack London, ne s'embarrasse pas de fioritures, il décrit simplement, d'un style plus efficace que jamais, la brutalité, la cruauté qui règne à bord.Pour Larsen le seul droit légitime est celui de la force, le faible a tort du fait même de sa faiblesse et la vie est une chose malpropre sans beauté aucune qui cesse aussi brutalement qu'elle a commencé.Tandis que van Weyden oppose à cet individualisme forcené une conception de solidarité, de fraternité et d'entraide du fort au faible.La lutte entre ces deux hommes est en fait, celle qui oppose ces deux modes de pensée, celle de l'homme civilisé contre la brute survenue du fond des âges luttant pour sa survie.Un récit fort en émotions.Biographie de l'auteurJack London, né John Griffith Chaney le 12 janvier 1876 à San Francisco et mort le 22 novembre 1916 à Glen Ellen, Californie, est un écrivain américain dont les thèmes de prédilection sont l'aventure et la nature sauvage.Il a écrit L'Appel de la forêt et plus de cinquante autres nouvelles et romans connus. Il tire aussi de ses lectures et de sa propre vie de misère l'inspiration pour de nombreux ouvrages très engagés et à coloration socialiste, bien que cet aspect-là de son oeuvre soit généralement négligé. Il a été l'un des premiers Américains à faire fortune dans la littérature.
-
Devant les exigences du maître de l'Enfer, le baron de Luizzi prend peur et se décide à jouer son va-tout.
D'une existence dont il craint le terme proche, il fait une effroyable course, poursuivant sans trève un bonheur qui se refuse à lui.
Le Diable mène le jeu avec un cynisme froid et calculé, guettant les moindres faiblesses, toujours prêt à tromper celui qui lui fait confiance pour le précipiter dans les flammes éternelles...
Frédéric Soulié (1800-1847) a été aussi célèbre, dans les années 1840, que Balzac, Dumas et Eugène Sue.
Mais, contrairement à certains auteurs contemporains qui, après un purgatoire plus ou moins long, ont été réédités et étudiés comme ils le méritent, Soulié, curieusement, est resté au bord de la route. Il a refait surface dans les années 1860, grâce à l'intérêt renouvelé pour le roman feuilleton et la littérature populaire.
Romancier réaliste avant la lettre, Soulié s'attache à faire - bien avant Zola - un tableau des « laideurs de la société ». Aussi dans ses romans, les crimes en tout genre occupent-ils une place importante : meurtre, viol, inceste, adultère, enfants abandonnés, fausses paternités.
Faut-il s'étonner que Les Mémoires du Diable offrent une palette fort complète de tous les méfaits possibles et imaginables ? Roman noir et mélodrame à la fois, ce livre a impressionné Balzac à tel point qu'il s'attache à y répondre par Splendeurs et misères des courtisanes.
Alex Lascar, connu pour ses travaux sur Balzac et le XIXe siècle, donne de ce texte haletant et drôle, une édition présentée et annotée avec finesse et compétence. Alex Lascar, agrégé de lettres classiques, est docteur d'État.
Il a soutenu une thèse en 1999 sur « Les problèmes du mariage dans le roman français (1830-1848). Les contemporains de Balzac, Stendhal et George Sand. » -
Devant les exigences du maître de l'Enfer, le baron de Luizzi prend peur et se décide à jouer son va-tout.
D'une existence dont il craint le terme proche, il fait une effroyable course, poursuivant sans trève un bonheur qui se refuse à lui.
Le Diable mène le jeu avec un cynisme froid et calculé, guettant les moindres faiblesses, toujours prêt à tromper celui qui lui fait confiance pour le précipiter dans les flammes éternelles...
Frédéric Soulié (1800-1847) a été aussi célèbre, dans les années 1840, que Balzac, Dumas et Eugène Sue.
Mais, contrairement à certains auteurs contemporains qui, après un purgatoire plus ou moins long, ont été réédités et étudiés comme ils le méritent, Soulié, curieusement, est resté au bord de la route. Il a refait surface dans les années 1860, grâce à l'intérêt renouvelé pour le roman feuilleton et la littérature populaire.
Romancier réaliste avant la lettre, Soulié s'attache à faire - bien avant Zola - un tableau des « laideurs de la société ». Aussi dans ses romans, les crimes en tout genre occupent-ils une place importante : meurtre, viol, inceste, adultère, enfants abandonnés, fausses paternités.
Faut-il s'étonner que Les Mémoires du Diable offrent une palette fort complète de tous les méfaits possibles et imaginables ? Roman noir et mélodrame à la fois, ce livre a impressionné Balzac à tel point qu'il s'attache à y répondre par Splendeurs et misères des courtisanes.
Alex Lascar, connu pour ses travaux sur Balzac et le XIXe siècle, donne de ce texte haletant et drôle, une édition présentée et annotée avec finesse et compétence. Alex Lascar, agrégé de lettres classiques, est docteur d'État.
Il a soutenu une thèse en 1999 sur « Les problèmes du mariage dans le roman français (1830-1848). Les contemporains de Balzac, Stendhal et George Sand. » -
«Une nuit du mois d'octobre couvrait d'épaisses ténèbres la célèbre ville de Madrid: déjà le peuple, retiré chez lui, laissait les rues libres aux amants qui voulaient chanter leurs peines ou leurs plaisirs sous les balcons de leurs maîtresses; déjà le son des guitares causait de l'inquiétude aux pères, et alarmait les maris jaloux; enfin il était près de minuit, lorsque don Cléophas Léandro Perez Zambullo, écolier d'Alcala, sortit brusquement par une lucarne d'une maison où le fils indiscret de la déesse de Cythère l'avait fait entrer.
Il tâchait de conserver sa vie et son honneur, en s'efforçant d'échapper à trois ou quatre spadassins qui le suivaient de près pour le tuer, ou pour lui faire épouser par force une dame avec laquelle ils venaient de le surprendre. Quoique seul contre eux, il s'était défendu vaillamment, et il n'avait pris la fuite que parce qu'ils lui avaient enlevé son épée dans le combat. Ils le poursuivirent quelque temps sur les toits; mais il trompa leur poursuite à la faveur de l'obscurité; il marcha vers une lumière qu'il aperçut de loin, et qui, toute faible qu'elle était, lui servit de fanal dans une conjoncture si périlleuse.
Après avoir plus d'une fois couru le risque de se rompre le cou, il arriva près d'un grenier d'où sortaient les rayons de cette lumière, et il entra dedans par la fenêtre, aussi transporté de joie qu'un pilote qui voit heureusement surgir au port son vaisseau menacé du naufrage.» -
Nous sommes à la veille de la révolution française, Zanoni et Mejnour, dont l'âge défie le temps, sont les derniers initiés survivants d'un antique Ordre Chaldéen, celui-là même qui donna plus tard naissance à la Rose+Croix. Mejnour, le sage âgé, poursuit la voie de la science pure, sèche, rigide sans émotion. Zanoni, beaucoup plus jeune, est plus enclin à la contemplation. Zanoni par amour pour Viola et par son sacrifice pourra accéder au royaume céleste.
Edouard Schuré, dans son ouvrage Les Grands Initiés, fait plusieurs fois allusion au roman Zanoni de Sir Edward Bulwer Lytton. -
Balzac écrit à Mme Hanska le 20 novembre 1833: «J'ai été dimanche chez Bra, le sculpteur, j'y ai vu le plus beau chef-d'oeuvre qui existe [...]. C'est Marie tenant le Christ enfant adoré par deux anges [...]. Là, j'ai conçu le plus beau livre, un petit volume dont Louis Lambert serait la préface, une oeuvre intitulée Séraphîta.
Séraphîta serait les deux natures en un seul être [...], mais avec cette différence que je suppose cette créature un ange arrivé à sa dernière transformation et, brisant son enveloppe pour monter aux cieux, il est aimé par un homme et par une femme auxquels il dit, en s'envolant aux cieux qu'ils ont aimé l'un et l'autre l'amour qui les liait, en le voyant en lui, ange tout pur, et il leur révèle leur passion, leur laisse l'amour, en échappant à nos misères terrestres. Si je le puis, j'écrirai ce bel ouvrage, à Genève, près de toi.» Il ne l'écrira pas en sa présence mais il lui dédiera ce roman sublime, achevé à Paris en novembre 1835, dans lequel le thème de l'androgyne angélique est «divinement traité». -
La Maison du Chat qui revient (1926) : Hériter d'un vieil oncle ! Qui n'en a pas rêvé ? Henri, journaliste à Lyon, ne connaissait même pas l'oncle Barnabé... Le voici propriétaire d'une maison en Haute-Savoie avec vue sur le Lac Léman. Un héritage qui tombe à pic ! Il vient d'épouser Françoise et rêve d'écrire un roman. Sans hésiter, le couple quitte Lyon pour s'installer dans sa nouvelle « maison de campagne ».
Mais au lieu de la villa proprette qu'ils avaient imaginée, la « Maison-rouge », comme on l'appelle dans le pays, est une bâtisse biscornue et, pour tout dire, plutôt moche... On semble lui avoir ajouté des ailes et des annexes un peu au hasard et sans se préoccuper d'esthétique. À quoi donc pouvaient servir toutes ces pièces et tous ces lits à un vieil homme solitaire, veuf depuis des années ?
Hébétés par la nuit d'orage qui accompagne leur installation, Françoise et Henri sont loin de réaliser le piège dans lequel ils sont tombés. Et d'où vient ce chat noir énigmatique et sauvage ? Ce ne serait rien qu'il ait la griffe facile... mais Catherine, la vieille servante affirme qu'il est un fantôme, une réincarnation de l'oncle Barnabé. Ce chat qui revient saura-t-il protéger le jeune couple des difficultés qui vont naître et de l'avalanche qui s'apprête à leur tomber sur la tête ?
Une histoire bien menée, malgré quelques faiblesses de style, où le lecteur sera conduit de rebondissements en situations bloquées jusqu'à une fin en grand style et toute romantique.
Michel Epuy (de son vrai nom Louis Vaury 1876-1943) est un écrivain et traducteur suisse. Auteur d'une vingtaine de titres et de quelques trente-cinq autres en traduction, il fit oeuvre de romancier, de conteur, d'écrivain pour la jeunesse et d'éditeur d'anthologies ou de volumes d'oeuvres choisies, comme celles de Kipling. -
Mistress Amadroz, femme de Bernard Amadroz de Belton et mère de Charles et de Clara, mourut quand ses enfants avaient huit et six ans, leur faisant ainsi éprouver le plus grand malheur qui puisse atteindre des enfants nés dans une telle position sociale. Ce malheur fut encore aggravé par le caractère du père. M. Amadroz n'était pourtant pas un méchant homme, ni même ce qu'on appelle un homme vicieux ; mais il était paresseux, insouciant, et, à l'âge de soixante-sept ans, âge auquel le lecteur fait sa connaissance, il n'avait encore fait aucun bien en ce monde. Il avait fait un grand mal, car son fils Charles s'était suicidé, et cet affreux événement avait été amené en partie par l'incurie du père.