Filtrer
Rayons
Support
Éditeurs
Langues
Editions Des Lacs
-
Emma, écrivaine en panne d'inspiration, prend une décision radicale : s'enfuir. Elle loue une maison isolée dans une petite ville bretonne et disparaît sans prévenir personne. Mais en fuyant le présent, ce sont les fantômes du passé qu'Emma va réveiller. Sans savoir pourquoi, cette phrase, comme un morbide refrain, tourne en boucle dans sa tête... Il ne s'est pas suicidé, et tu le sais. Emma, accompagnée de Mickaël et sa soeur Danielle rencontrés sur place, va mener l'enquête pour découvrir ce qui s'est passé dans cette maison et tenter d'expliquer les phénomènes qui s'y produisent. Mais remuer un passé vieux de quatre-vingts ans n'est pas sans danger. En sortiront-ils indemnes ? Un futur est-il possible lorsque les temps se confondent ainsi, jusqu'à vous mener aux confins de la folie ?
-
On sort difficilement indemne d'une enfance douloureuse. Alice en sait quelque chose : sa soeur aînée s'est volatilisée la nuit de ses seize ans. Et ça fait plus de dix ans que le fantôme de son absence hante chaque recoin de Forville. Alice croit lui échapper en s'expatriant aux États-Unis mais à son retour, alors qu'elle pense que ses parents sont enfin prêts à tourner la page, elle reçoit un colis sans cachet de la Poste qui contient le collier que Margaux portait le jour de sa disparition. Afin de protéger ses proches d'une éventuelle nouvelle déception, Alice prend la décision la moins raisonnable : mener elle-même l'enquête accompagnée d'Adrian, son ami d'enfance. Les secrets sont faits pour être partagés mais il est parfois préférable de ne pas être dans la confidence.
-
Victime d'un coup du sort et n'ayant plus les moyens de loger toute sa famille, Arthur Comte est contraint d'accepter la proposition de son père : hériter de la maison de Datura.
Celle dans laquelle il a grandi.
Celle où sa mère vient de mourir.
Il emménage à contrecoeur dans l'immense bâtisse avec sa femme Jade, leurs trois enfants, et rapidement, le malaise s'installe.
Pendant des décennies, il a essayé d'enfouir tous les souvenirs qui s'y rattachent. Le soir de la claque, par exemple. L'atmosphère. Les bruits.
Mais on n'échappe pas à soi-même. Surtout pas à Datura.
Dans "La mécanique du néant", Delphine Muse parle de la peur comme puissance créatrice, comme matrice hostile de toutes nos perceptions, de tous nos choix et de tous nos projets.