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Douro
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Lors d'un séjour dans le Finistère en 1988, Émile est assis face à la mer d'Iroise. il se plonge dans ses souvenirs d'enfance. Il se retrouve en 1934 à l'âge de sept ans au port de Marseille. Il est prêt à embarquer sur un paquebot avec sa soeur Andrée et ses parents, après des vacances en Bretagne.
C'est son 4e voyage : destination la Chine où il est né. Son père est policier à la concession française de Shanghai depuis dix ans.
Le voyage est ponctué d'escales : Port-Saïd, Suez, Djibouti, Colombo, Singapour, Saïgon et Hong Kong. Puis c'est la vie en Chine : l'école, les loisirs, les vacances. Ensuite, arrive la guerre sino-japonaise en 1937. La concession française subit le conflit. La situation est de plus en plus inquiétante. Quel sera l'avenir de cette famille expatriée ? -
Ce livre est le fruit d'un défi lancé par deux enseignantes à 28 élèves de première baccalauréat professionnel ASSP du lycée Bouchardon : écrire un livre. La thématique : raconter la vie de femmes et d'hommes ordinaires qui ont traversé l'histoire de la Haute-Marne et de départements limitrophes. À travers leur destin et grâce aux illustrations réalisées par des élèves de Terminale STD2A du lycée Charles de Gaulle, le lecteur pourra ainsi découvrir - ou redécouvrir - un terroir, des événements marquants, des anecdotes émouvantes et cocasses ou tout simplement des modes de vie oubliés.
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Le récit raconte comment quelques souvenirs ont modifié le déroulement d'une session de pratique de méditation bouddhiste effectuée au sein d'un groupe dans un temple. Je suis allé me placer le long du cercueil posé sur des tréteaux devant moi. De l'autre côté, vus de face, à trois mètres de là, la famille et quelques amis étaient présents. Il y avait aussi cette étendue des autres tombes tout autour. J'aurais préféré qu'il n'y en ait aucune, que l'on soit les premiers. Et puis voilà, c'est notre tour d'être ici, nous n'y pensons jamais, ou furtivement, et l'on finit par y être. J'ai perdu pied, je me suis retrouvé noyé dans un fatras d'émotions, j'ai bien senti que je n'allais pas pouvoir aligner trois mots. J'ai regardé vers le sol, je me suis dit : je ne suis pas habitué, c'est la première fois qu'elle meurt. J'ai posé une main sur le cercueil, puis aussitôt j'ai regardé les visages devant moi, espérant y trouver un appui. La veille, je m'étais entraîné à affronter cet instant, je m'étais imaginé parler avec aisance et fluidité en prononçant des mots simples et forts.
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Un marin amateur, mais averti, prend en charge le convoyage en solitaire d'un voilier, pour les Etats-Unis, au départ de la Bretagne. Il décide de raconter, dans un journal de bord personnel, comment cette expérience se déroule, et dans quelles circonstances il a choisi de faire cette traversée. Il nous livre ainsi un triple voyage. C'est évidemment, et tout d'abord, le journal d'un convoyage, d'une traversée, avec ses aléas et les petits gestes du quotidien d'un navigateur solitaire. Mais c'est aussi un voyage intérieur, un retour sur soi, empreint de réflexions personnelles, de souvenirs. Et c'est enfin, troisième voyage, le récit d'une traversée vers un destin choisi, qui se tisse au fil des pages.
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Puis, comme il parcourait le livre, il quittait les méandres de la philosophie et la rigueur des mathématiques, et en vint au Catalogue des Etoiles... Georges Duquin - Georges Duquin renoue avec la poésie originelle qui est philosophie dans son grand oeuvre, Le rêve. Sa manière syncrétique, dans l'Ouvert, est pure philosophie de vie. Le chemin s'ouvre et chaque bifurcation est à la fois choix et hasard, chaque bifurcation enfonce dans la vie... mais nous n'avons pas la maîtrise du vent. Philippe Thireau
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Il fait trop chaud pour se tenir la main
Anne Letoré
- Douro
- La Bleu-Turquin
- 1 Avril 2024
- 9782384063345
Par l'écriture, on peut sauter d'une ville à l'autre. Mais pas dans la vie réelle qui a ses limites. » Enrique Vila --Matas in Docteur Pasavento. Dans ce recueil, chaque personnage principal entame un dialogue avec une ville dans un hasard objectif, cher à André Breton. Dans une écriture singulière et audacieuse, les corps se croisent, traversent l'espace urbain, respirent le souffle de la ville, inhalent leurs solitudes humaines et libres.
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Plancher du ciel fait suite à Le Ciel n'écrit rien qui est paru dans cette même collection de « La Diagonale de l'écrivain » l'année dernière. Chaque pièce, qui constitue ce livre, est bien souvent constituée d'une citation suivie d'un texte. Les autres, Gilbert Bourson a décidé d'inscrire leur toute première lettre en caractère gras, un peu à la manière des lettrines des copistes du moyen-âge. Première constatation : il n'est pas question d'écrire comme mais plutôt d'écrire avec. Quel est le statut de ces textes ? De purs exercices de style ? Pas si simple. Car on a la nette impression, en lisant chacun, que chaque texte s'écrit par lui-même, de lui-même, qu'il en quelque sorte, s'auto-génère. Pour aller où me direz-vous ? Mais pour aller vers lui-même, tout simplement. Et on ne peut que penser à Roland Barthes et à son Plaisir du texte. Car chaque texte écrit ici, comme dans le précédent livre par Gilbert Bourson, est une pure merveille. Mais il y a aussi ce qui est peut-être le plus important, à savoir la sensation que tout lecteur de Bourson ressent : celle de vivre et d'atteindre, le lisant, une certaine forme de métaphysique. Métaphysique de la langue et métaphysique de l'Être. Gilbert Bourson est incontestablement un styliste hors pair.
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Die „Polaroidkamera« ist zuerst ein Begriff. Ganz nah schreiben. Ganz nah vom Objektif, ganz nah vom Sex, in Zustand der Erektion. Ein sehr kurzer Moment, ebenso kurz wie der Orgasmus. Über den Orgasmus, die Obszönität, das Unzeigbare, das Unsagbare schreiben. Über das Sehen, das Unverzügliche, schreiben. Über den Schweiss, auch, der auf der Haut steht. Vor dem Geistigen fliehen und nur den Körper, seine Obszönität zeigen.
Zu der Zeit, als die Polaroidkamera das fotografische Klischee ersetzen wird (und pornografische).
Ein „Zyklus des Spermas«, ein „Zyklus der Pisse«, und ein „Zyklus der Scheisse« - dem Bild der drei Elementen der sexuellen Materie entsprechend, je nach dem Kommen dieser Polaroidkameras Gestalt angenommen haben.
Das Werk ist von neun Tuschen des Kunstmalers Jacques Cauda begleitet. -
Les utocrates : quand les vieux anarchistes s'habillent en blanc
Bernard Delambre
- Douro
- D'ici Et D'ailleurs
- 1 Décembre 2022
- 9782384061525
Dans ce second récit, l'auteur nous amène sur les chemins qui l'ont conduit en 1969 à Auroville, cette cité utopienne, fondée le 21 février 1968. À l'heure où les médias parlent abondamment d'Auroville, offrent des reportages pas toujours exacts, il est intéressant de découvrir à travers ces pages qui nous sont offertes, un itinéraire particulier par un des pionniers qui ont fondé cette expérience d'une nouvelle vie communautaire qui perdure dans le sud de l'Inde, près de Pondichéry.
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Le 3 septembre 1939, La FRANCE déclare la guerre à l'ALLEMAGNE. Comme des millions de personnes, Georges Woltersdorf est mobilisé et doit tout quitter soudainement en laissant derrière lui femme et enfant. Il a 30 ans et il part rejoindre son Corps à Avignon. C'est le début d'un incroyable périple parsemé d'épreuves douloureuses, depuis le Vaucluse où est formé son régiment jusqu'aux Ardennes, puis des forêts autrichiennes de la Haute-Autriche jusqu'aux rivages de la mer Baltique en Pologne et de la mer Noire en RUSSIE. C'est un voyage d'où il revient tel un miraculé après avoir affronté la faim, le froid, les châtiments corporels, la maladie et plus cruel encore, la séparation d'avec les êtres chers. Il a maintes fois frôlé la mort mais c'est la volonté de revoir les siens qui l'a accompagné tout au long de ces années de guerre et qui lui a permis d'en réchapper...
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« J'ai quitté la rivière Wei ardent et plein d'espoir. Je suis maintenant transi et las. Ainsi le temps se mesure-t-il moins aux événements et aux aventures, ses jalons apparents, qu'à l'étalon des changements de l'âme. Dans le sein de l'impassible nature, l'homme change puis se dissout. » Georges Duquin. La langue de Georges Duquin, la pure syntaxe de son texte, la finesse de sa pensée philosophique nous transportent dans le monde de la montagne renversée. L'émergence de l'Occident en accident, sous la forme d'une femme évanouie dans un rêve londonien, à moins que ce ne fût à Calcutta, la ville incalculable, semble une absurdité. Et pourtant. Philippe Thireau
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Traite d'onanirisme à usage de celles qui ont perdu la mémoire
Jehan Van Langhenhove
- Douro
- 1 Juillet 2022
- 9782384060726
Si sous couvert d'érotisme inavouable existent via Thanatos des textes relevant de l'amour fou alors ce Traité d'Onanirisme à Usage de celles qui ont perdu la mémoire relève assurément de ceux-là...
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Au sein de liquidités instables vitales, où le temps s'étire et se contracte, le récit impressionniste de Debora Stein nous plonge dans une poche onirique. Entre sommeil et veille, captifs d'une larme primordiale, extensible de l'infiniment grand à l'infiniment petit, nous épousons un cycle de métamorphoses, au gré duquel, nous voici tour à tour bactérie, poisson ou crabe. Ou lettre d'un alphabet originel. Le chant visionnaire de l'artiste plasticienne, voix expérimentale d'un parcours initiatique intime, nous mène dans l'énergie des cellules souches : lieu de tous les possibles, où se dissolvent l'espace et le temps. Anna-Maria Celli
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« Dans mon Cahier de brouillon, j'écris : à l'orée des précipices à l'aventure des Esprits correspond la Nuit . Penser à Paul Klee . J'écris encore à une date indéterminée, la première semaine de mon Hospitalisation : À la croisée des fugues la corolle du hasard s'ouvre en un long voyage qui se cherche un but à atteindre . Puis pages blanches que je noircirai quelques mois plus tard de dessins colorés, dans ce palimpseste de la Folie, il y a ces caractères en Hébreu écrits en rouge et de courts poèmes rayés, illisibles. »
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Ces quelques pages racontent au jour le jour une expérience intime, celle du confinement imposé par l'épidémie du Covid 19 en mars, avril mai 2020. Je n'ai pas voulu faire acte de littérature, ni de diariste, ni de journaliste de l'intime. Il s'agit de simples chroniques parfois drôles, parfois acerbes, parfois émues que j'ai postées tous les jours sur Facebook. Elles n'obéissent à aucun projet sinon à celui de trouver quelque chose à dire, alors que le rien était notre quotidien. Aucune unité de style ou de forme. Telle n'était pas mon intention. D'ailleurs comment parler de cohérence alors que ce que nous vivions tenait de l'absurde le plus échevelé. J'ai donc écrit presque par jeu, pour que mon temps passe plus vite. D F
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Dans ce récit, l'auteur évoque le parcours initiatique d'un jeune homme en quête de sa raison d'être à partir d'une cellule de prison où il a eu vingt ans. Tiraillé entre une profonde aspiration à vivre un idéal élevé et le besoin vital de guérir les blessures de son enfance, il confie dans ces pages parfois bouleversantes, les coulisses intimes d'un itinéraire peu ordinaire. Vivant depuis plus de trente-trois ans à Auroville dans le sud de l'Inde, où il a exercé de nombreuses activités bénévoles, il a fait l'objet d'interviews, notamment par Sud-Radio dans le cadre de l'émission « Les aventuriers de l'étrange », ainsi que par Arte: « Écolos avant l'heure », de Vladimir Vasak. Il a aussi figuré dans les reportages sur Auroville de Frédéric Cébron (Vimeo). Il exerce aujourd'hui la fonction de galeriste au Centre d'Art d'Auroville.
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Ces chroniques se veulent des réflexions sur notre temps où déjeuners et dîners constituent autant de prétextes à des anecdotes. Des tranches de vie suspendues entre l'ici et l'ailleurs où il est prouvé que tout ce que l'on traverse s'avère souvent aussi inattendu que ce que l'on éprouve. S'attachant à transcender l'ordinaire, l'auteur amène le lecteur à Madagascar puis dans le Cantal et en Belgique en passant par Rio de Janeiro, Pékin, La Havane, Helsinki, Alger, Santiago, etc. La table comme lieu où le temps se dilate, les langues se délient, les idées se confrontent, la vie palpite. Le rideau s'ouvre : le temps et le lieu, plus encore que ce qui le compose, contribuent alors à faire d'un repas ce qu'il devient pour nous. Une jolie manière de laisser filer le temps si tant est que nous soyons en bonne compagnie, car, pour l'Homo sapiens, la commensalité va de mise avec la convivialité. Chaque récit est une invitation, quelquefois facétieuse, saugrenue ou rêvée, à retrouver le goût de la légèreté pour célébrer la jubilation du carpe diem, des voyages et des rencontres.
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Chaque jour est un morceau d'éternité : Journal parisien
Youcef Zirem
- Douro
- 2 Janvier 2022
- 9782384060368
Loin de sa terre natale, un écrivain prend la plume pour raconter le temps qui passe ; son vécu, avec ses joies et ses peines, durant dix ans. Ce sont ces mots qui l'aident à atténuer la douleur de l'exil. C'est aussi cette ville, Paris, dont il est amoureux, qui lui permet de supporter les difficultés, le bannissement. Dans ce journal, il y a une chronique apaisée d'une décennie parisienne : il s'agit souvent de littératures, de rencontres, de nostalgies, de questionnements, de l'actualité française, des nouvelles de ceux qui se battent pour une Algérie démocratique. La poésie est parfois le seul remède aux journées sombres, la poésie est partout, dans les rues de la ville, sur les visages de femmes aimées ou fuyantes. La poésie s'avère une façon d'être quand l'homme veut rester libre et en accord avec ses principes. Il y a aussi des surprises dans ce journal : les rencontres inattendues de l'écrivain avec ceux qui visitent Paris, tel cet instantané avec la reine d'Angleterre. Avec les mots du coeur, l'écrivain fait part de ses lectures, de ses errances et tente de saisir un bonheur toujours possible. Car l'Homme s'adapte à tout ; il réussit à inventer un monde intérieur qui lui permet de dépasser la fureur du monde ambiant. Ce journal est une belle balade dans Paris, c'est également un voyage au plus profond de l'âme d'un écrivain. Une âme qui se sent proche de tous les humains, surtout ceux qui souffrent le plus.