Filtrer
Rayons
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
- Sciences humaines & sociales
- Sciences & Techniques
- Scolaire
- Parascolaire
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation
Support
Éditeurs
Langues
Prix
Fauves
-
"Il m'a fallu du temps avant d'accepter ma condition de femme et de juive. Un jour, j'ai découvert deux lettres de mon grand-père, Abraham-Charles, qu'il avait écrites du camp de Drancy avant d'être déporté à Auschwitz en juillet 1943. J'ai alors décidé d'aller à sa rencontre, mais aussi à la rencontre de ma famille, originaire de Russie. j'ai fait connaissance avec elle, cette famille pleine de la yiddish kaite, de l'amour de la vie, de la foi et de la confiance en l'Eternel, héritage des générations précédentes. Les parfums de mon enfance et de mon adolescence ont ressurgi avec l'histoire de mes grands-parents maternels, en parallèle avec celle de l'histoire de mes grands-parents paternels. Ce livre est un témoignage romancé de notre histoire familiale, de 1905 à 1960, à travers mon regard de petite fille de cinq ans qui, au fil des pages, deviendra celui d'une adolescente de quinze ans."
-
Marcher envers et contre tout ; trekking en Patagonie, pays du vent qui rend fou avec une sclérose en plaques
Nathalie Gomez, José Gomez
- Fauves
- 25 Janvier 2021
- 9791030203721
Nathalie et José Gomez, sportifs et grands marcheurs, amateurs de trekking et de bivouac, rêvent de vivre une expérience similaire aux récits de voyage et témoignages d'expériences hors du commun aux quatre coins du monde auxquels ils sont tant sensibles. Mais début 2008, Nathalie se retrouve aux urgences, presque aveugle et en proie à de gros troubles de l'équilibre. Le diagnostic tombe : sclérose en plaques.
« Vivre ses rêves et non plus rêver sa vie » apparaît dès lors comme une évidence. Le temps leur est compté. Nathalie et José décident de tout plaquer pour vivre une aventure unique, au bout du monde : une marche à pied de 3000 kilomètres à travers l'Argentine et le Chili, à la rencontre de la mythique terre de Patagonie.
Journal de bord de cette épopée sud-américaine, Marcher envers et contre tout est autant le récit d'un voyage exceptionnel qu'un extraordinaire message d'espoir.
-
"Elle avait tout pour être heureuse : un mari aimant, trois filles bien charmantes et un travail captivant. Si seulement tout s'était passé comme prévu... Une banale scoliose, une opération classique « a priori ». Sauf que la moelle épinière a été touchée - aléa médical ou faute à pas de chance - elle se réveille paraplégique. - Dès lors, la vie ne sera plus jamais comme avant. Elle découvre le handicap, le corps emprisonné, le statut de patient, le quotidien à l'hôpital. Infantilisation et rééducation. - Avec une vie de famille brutalisée et l'incertitude pour seul horizon, comment retrouver une identité quand tout nous échappe ? Comment faire face à la peur, calmer son chagrin, dire sa peine, sa colère ? Et reprendre la vie en main. - Avec une écriture singulière, tantôt poétique, tantôt âpre, toujours portée par une langue réjouissante et sans jamais rien perdre de son humour, Nadalette La Fonta Six dépeint un univers de souffrances et de désespoir, parfois éclaboussé de joie. Car ce récit, c'est celui d'un combat mais aussi d'une renaissance."
-
« L'homme extraordinaire, c'est l'homme ordinaire » professait Georges Bernanos. Cette maxime s'applique on ne peut mieux à l'homme qui est coeur de ce récit : Ridha Khadler. Cet immigré tunisien, issu d'une famille de modestes agriculteurs est devenu l'un des artisans les plus en vogue de la capitale.
Né à Tunis, débarqué à Paris à l'âge de 15 ans, il travaille d'abord dans la boulangerie de son frère qui lui enseigne les rudiments du métier, avant d'ouvrir son propre commerce en 2010. Trois ans plus tard c'est la consécration : il remporte le concours de la meilleure baguette, devenant ainsi le fournisseur officiel de l'Élysée, Matignon et du Quai d'Orsay.
Ce succès, il le doit d'abord à sa mère qui lui prodigue les meilleurs conseils, mais surtout à un travail sans relâche, de jour comme de nuit. Enfin, pour parvenir à l'excellence, il dispose du meilleur des carburants : un enthousiasme à toute épreuve !
À l'heure où certains jeunes perdent la tête et versent dans la haine, où le terrorisme djihadiste sème la terreur et suscite en retour des fantasmes populistes et racistes, l'exemplarité de la vie personnelle et la réussite professionnelle de Ridha Khadher nous offre une formidable leçon de vie. -
Impossible d'imaginer dans les années 1980 que la vague punk allait éclabousser tous les rivages culturels du siècle suivant. Difficile d'admettre qu'une poignée de réfractaires allait finir par bouleverser l'ensemble des comportements artistiques.
« J'ai seize ans en 1977. Le mouvement punk m'embarque. Si les Sex Pistols et les Ramones ouvrent le chemin, les anonymes sont les véritables piliers du mouvement. Inadaptés, soldats perdus, perturbateurs des faubourgs, chanteurs freluquets, roitelet de la fontaine, prennent la parole à mes côtés pour exprimer nos parcours jamais relatés. En remontant les veines de mes souvenirs parisiens, je me souviens de mes groupes fétiches : Lucrate Milk, Les Endimanchés, Bérurier Noir, Les Négresses Vertes et La Mano Negra.
Les premiers punks se sont faits avoir par l'industrie du disque, mais la deuxième génération dresse des réseaux dynamiques, compose des autoproductions révolutionnaires et monte des labels indépendants sous la dynamique du fameux : « Do it yourself ». Alors que les autres jeunesses se rangent derrière une idôle, un King ou un Boss, les punks arrachent l'individu à sa condition prévisible pour lui redonner le contrôle de sa propre création. Le « No Future » des anciens se transforme alors en « Yes Future ». Dire que ce mouvement qui démarre dans une bousculade incarne la relève la plus vigoureuse du rock. »
-
Sarajevo au début des années 2000.
Lejla, Amra, Dunja, Zehra, Azra et leurs amies ont vingt-cinq ou trente ans. Pas vieilles donc, mais leur enfance est morte pendant les années de guerre.
Dans les portraits de Sarajéviennes proposés ici, la fiction rejoint souvent la réalité. À travers le parcours de ces femmes, belles et fières, on découvre aussi cette ville de Sarajevo, meurtrie par la folie des hommes et terriblement attachante. -
C'est une extraordinaire aventure humaine. Il s'agit de mon combat contre la leucémie. Une seconde leucémie.
Dès l'annonce de la maladie, ma fille m'a invité à initier un blog pour restituer mon parcours. J'ai suivi son conseil. Romancier à mes heures, il était clair que l'écriture pouvait être une aide. Elle a bien eu raison. Écrire est une thérapie.
Ces pages proposent une approche totalement inédite : un témoignage au jour le jour. Vous croyez qu'il n'a fait du bien qu'à moi ? Détrompez-vous ! Nombreux sont les lecteurs de ce blog m'ayant confié qu'il leur avait apporté un regard meilleur sur la vie.
200 articles. 2 000 commentaires. 70 000 visites. Ces pages sont mon histoire. Une histoire formidablement humaine. Elles ne sont ni exagérations ni vérité unique. Elles sont ma vérité au jour le jour. Avec la liberté d'écriture et l'instantané du récit au quotidien que confère le format blog, sans tricherie, écrit avec mon coeur et mes tripes, mais aussi avec un inépuisable besoin d'optimisme et d'humour. Parce que trouver le positif dans le négatif, c'est la force de la vie.
-
Ils ont vendu mon fère ; ou le douloureux chemin de l'immigration
Jacky Moiffo, Yannick w. j. Nambo
- Fauves
- 28 Février 2018
- 9791030200911
« Aucune femme, aucun homme ne quitte son pays au péril de sa vie en espérant que 50% de chance de mourir se transformeront en 50% de chance de survivre. Quel pari. » Max Mathiasin À l'image de milliers de candidats à l'exil, Jacky Moiffo a connu le douloureux parcours de l'immigration. Pour fuir les persécutions liées à son origine, il quitte à 27 ans son Cameroun natal, avec la France en ligne de mire : passeurs sans scrupule, racket et exactions par les autorités gabonaises, pays voisin par lequel il a transité, traversée périlleuse sur un bateau de fortune, nuits blanches à la belle étoile, violences policières, errance dans le froid de Roissy, promiscuité et insalubrité au foyer de la Croix-Rouge du Bourget près de Paris... Un parcours semé d'embuches qu'il a souhaité à tout prix épargner à sa famille demeurée au pays alors que le cadet de la fratrie s'est pourtant laissé prendre au piège d'esclavagistes des temps modernes.
170 ans tout juste après son abolition, cette pratique barbare que l'on croyait révolue est-elle à nouveau d'actualité ? Et ce, au sein même du continent africain ? Yannick Nambo et Jacky Moiffo unissent leurs voix pour livrer ce témoignage poignant doublé d'une réflexion d'ensemble sur l'immigration et ses drames.
-
Pour quelques millimètres de vie ; chronique d'un désir d'enfant
Florence Wagner
- Fauves
- 22 Août 2018
- 9791030202595
"Mon ventre est vide. Comme d'habitude. Je mets seulement quelques secondes à apprivoiser cette idée chaque matin, tellement elle m'est familière. Vivre avec cette pensée qui n'en est plus une, cette idée qui est une réalité, ces mots qui résonnent : « je suis stérile »" Pour faire un bébé, parfois, faire l'amour ne suffit pas... Ce journal d'une femme de trente ans attendant désespérément le résultat positif retrace avec spontanéité et transparence cette difficile épreuve qu'est l'infertilité, lorsque le désir d'enfant devient un combat de tous les jours.
Entre péripéties médicales et angoisses existentielles, de tests négatifs en fausses couches précoces, les traitements et inséminations s'enchaînent avec leur lot de déceptions et d'interrogations... Mais aussi d'espoir
-
« Tout débute dans un état de semi-conscience entre le sommeil et la veille, après une journée de promenade dans la capitale, alors que dans la rue, l'on m'offre un brin de mimosa. Je commence, ainsi, dans un état de "haute étrangeté" à méditer, un carnet de voyage intérieur, un va-et-vient mêlant des notations subjectives avec une chronique des temps présent et passé, une géographie intérieure, mi-rêvée, mi-réelle. Une partie inaperçue de moi, indicible, une face cachée et mystérieuse à la fois - qui revient à travers les perceptions, chuchotements, souvenirs, personnages, un vécu, l'art, mes lectures fondatrices... De cette altérité intime, il résulte un rapport au monde d'une "spectatrice" alternant détachement et engagement. » Ce voyage traverse les frontières spatiales, mentales et intellectuelles de manière plus fondamentale. Il s'efforce de circuler du particulier vers une universalité à travers des lignes de fuite dont la création littéraire est le moteur. C'est une « invention de soi » pour culminer sur un embrasement plus universel, un couronnement de nimbes où la symbolique du feu et de la lumière occupe une place centrale.
-
Tu sais, Jenny, derrière ces murs, on enferme les petites filles qui parlent trop.
Petite fille docile et sensible, Jenny passe les sept premières années de sa vie dans le mensonge et la douleur. Elle survit, et raconte avec courage et détermination la maltraitance sexuelle et le déni familial. Le ton, sobre et pudique, est celui d'une violence rentrée et maîtrisée sous forme d'interrogations quant au rôle d'une mère.
Plutôt que de se concentrer sur les agissements du prédateur et d'accuser, Le confort de l'autruche dénonce avant tout le comportement des proches, mère et grand-mère, engluées dans leurs mensonges, leur passivité et leur confort organisé. Toute la particularité de ce texte se situe dans l'évocation d'une tacite malfaisance familiale et affective. -
Le Cimarrón retrace la trajectoire de Charles Bedaux, homme d'affaires franco-américain qui a commencé souteneur à Pigalle, avant de devenir la cinquième fortune des Etats-Unis dans les années 20. Chantre de l'organisation scientifique du travail, il servit de modèle à Chaplin pour son film Les Temps Modernes .
Prêts à tous les défis, il a conduit la Croisière blanche Citroën ou encore organisé le mariage du duc de Windsor dans son château de Touraine, déclaré annexe de l'ambassade américaine au début de la Seconde guerre mondiale.
Soupconné d'être un espion nazi, américain, français, voire japonais, Charles Bedaux fut inculpé de forfaiture par la Maison-Blanche, puis décoré à titre posthume par le premier gouvernement du générral de Gaulle.
Après avoir côtoyé tous les décisionnaires économiques et politiques du vingtième siècle, il s'est ou on l'a suicidé en 1944 dans une prison de Miami avant son procès pour haute trahison.
Le mystère reste entier, le FBI interdisant toujours l'accès à son dossier top-secret. A moins qu'il n'ait été exfiltré par Hoover à Cuba, pour services rendus...
De la Belle Epoque à la crise des missiles soviétiques, le récit allègre de ce Cubain plus que centenaire traverse une bonne partie des événements qui ont secoué la Terre au cours du siècle dernier. -
«On ne fait jamais son deuil d'une mère, je crois. On la porte en soi comme elle nous a porté. On enfante de sa mort, dans un corps recréé, visité par ce que l'on a cru percevoir au moment de son départ.
Tout s'entremêle, tout est lié.
Commencer par la fin me donne envie de te redonner vie, comme une conteuse le ferait à partir de ce qu'elle a entendu, reçu, avec mes mots, mon histoire, ce que tu m'as raconté, ce que tu as omis, ce qui m'a échappé et ce qui me reste de ton passage.» Un premier livre tout en pudeur, adressé aux mères toujours trop tôt disparues. -
"Face à la succession d'épreuves et d'obstacles qui ont jalonné sa vie, Sandrine de Montmort n'a jamais perdu son goût irrépressible de la vie. Aujourd'hui riche de ses blessures et des leçons qu'elle a su en tirer - cultiver la pensée positive, la confiance et l'estime de soi, apprendre à se préserver, garder sa curiosité intacte, considérer l'argent comme « l'art des gens » - , elle livre le fruit de ses expériences et de ses rencontres dans un récit lumineux, hommage à celles et ceux qui ont croisé sa route.
Quel sens donner à nos expériences ? Où trouver la lumière après avoir vécu un drame ? Comment apprendre à traverser les épreuves ? Comment les transformer en matière à réfléchir, à guérir ?
De la reconstruction à la guérison : Sandrine de Montmort offre ici son histoire en toute sincérité, comme une apologie de la résilience et un fabuleux voyage vers la voie de la sagesse.
Le témoignage d'un éveil spirituel, ou comment transformer nos fêlures en une force." -
"En Colombie, la disparition de jeunes civils d'une banlieue de Bogota, retrouvés morts quelques mois plus tard dans des fosses communes loin de chez eux, a déclenché l'un des plus gros scandales de l'histoire contemporaine du pays. Des crimes commis de sang-froid, selon un schéma qui s'est perfectionné au fil des années. Le caporal Mora est entré dans l'armée colombienne en 2006, rêvant de justice et d'une meilleure protection des populations. Un an plus tard, quand il dénonce les assassinats des civils commis par l'armée colombienne, ainsi que la collusion de certains hauts commandements avec les paramilitaires, il ne savait pas jusqu'où son témoignage le mènerait.
Mortels Barrages est un récit exceptionnel qui relate le parcours et le combat de Carlos Eduardo Mora, sous la plume de la journaliste Guylaine Roujol Perez." -
"« Je ne veux pas de ton foie. C'est trop tard... Je suis lasse de vivre ainsi... ». Ainsi s'achève le courrier funeste, qu'adresse une fille gravement malade à sa mère. Un véritable appel au secours auquel la mère va répondre à travers ce livre, retraçant pas à pas le long cheminement d'une vie où se mêlent trop de sentiments, trop de drames et d'incompréhensions. Où plane la vilaine fée de la drogue, qui va distiller ses poisons avec lenteur, jusqu'à faire de cette enfant tant désirée une victime dressée contre sa propre mère. Deux solitudes pour une même vie. - Si le foie, offert tel un espoir de survie était bien compatible, mère et fille peuvent-elles l'être lorsque le destin s en mêle ? Dans ce récit inspiré par son vécu personnel, Isabelle Marnier explore la complexité des relations filiales. - "