Filtrer
Rayons
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
- Sciences humaines & sociales
- Sciences & Techniques
- Scolaire
- Parascolaire
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation
Support
Éditeurs
Omnibus
-
" cette espèce de pétillement très faible.
C'est la bataille acharnée vers laquelle ils marchent, et qui halète là, de l'autre côté de cette crête qu'ils vont franchir. ils marchent ; chaque pas qu'ils font les rapproche de ce coin de terre oú l'on meurt aujourd'hui, et ils marchent. ils vont entrer là-dedans, chacun avec son corps vivant ; et ce corps soulevé de terreur agira, fera les gestes de la bataille ; les yeux viseront, le doigt appuiera sur la détente du lebel ; et cela durera, aussi longtemps qu'il sera nécessaire, malgré les balles obstinées, qui sifflent et chantent sans arrêt, et souvent frappent et s'enfoncent avec un horrible petit bruit mat qui fait tourner la tête, de force, et qui semble dire :
" tiens, regarde ! " et ils regarderont.
Et ils auront peur dans toute leur chair. ils auront peur, c'est certain, c'est fatal ; mais ayant peur, ils resteront. " (sous verdun. ).
-
Le roman des pôles
Collectif, Fridtjof Nansen, Jean-baptiste Charcot, Roald Amundsen
- Omnibus
- 18 Avril 2013
- 9782258100503
Les plus belles pages d'une quête et d'une conquête dans un univers de glace.
Sur le calendrier de la découverte du monde, les régions polaires figurent parmi les dernières à avoir été conquises. On peut parler de conquête à propos des pôles, tellement l'approche de ces terres inhospitalières est jalonnée de naufrages, de disparitions, d'agonies, d'aventures meurtrières. La majorité des hommes partis explorer les univers glacés de notre planète ne sont jamais revenus. Ceux qui ont survécu au froid, à la famine, à l'angoisse de l'incertitude du lendemain, nous ont ramené les plus belles pages de l'héroïsme, jusque-là insoupçonné, de la nature humaine.
Longtemps restés Terra Incognita sur les mappemondes, les contours géographiques de ces contrées inaccessibles ont été dessinés par des hommes d'exception. Nansen, Amundsen et Charcot sont tous les trois des pionniers magnifiques.
Les récits qui nous sont proposés dans ce livre sont parmi les plus forts et les plus révélateurs de ce que l'engagement humain veut dire ; ils nous ont appris qu'on ne repousse pas ses limites, mais qu'on les découvre.
Jean-Louis Etienne.
Textes réunis et présentés par Dominique Le Brun -
« Jamais je n'ai tant pensé, tant existé, tant vécu, tant été moi, si j'ose ainsi dire, que dans les voyages que j'ai fait à pied », écrivait Jean-Jacques Rousseau. Il fut le seul écrivain randonneur à avoir imaginé une écritoire portative qui lui permette d'écrire tout en marchant, mais pas le seul à avoir nourri sa pensée en mettant un pied devant l'autre, loin de là.
De Pétrarque jusqu'à Jim Harrison en passant par Flaubert, Rimbaud, Proust, Colette, Simone de Beauvoir, Jacques Lacarrière... tous ont écrit des pages inoubliables sur cette expérience qu'ils ont eue en commun avec tous les amateurs de randonnée.
-
" Ce que j'aimais le plus en lui, c'est une sorte de native noblesse, âpre, dédaigneuse et quelque peu désespérée, celle même qu'il prête à Lord Jim. "
André Gide,
La NRF, " Hommage à Joseph Conrad ", déc. 1924
Jeunesse (nouvelle) - Le Miroir de la mer (recueil de 14 récits) - Le Nègre du "Narcisse" (roman) - Lord Jim (roman) - Le Frère-de-la Côte (roman)
" Comment un adolescent, né dans les plaines d'Ukraine à quatre cents kilomètres de la mer Noire et huit cents de la Baltique, peut-il décréter un jour qu'il sera marin alors qu'il n'a jamais vu ni l'océan ni un navire et pas même rencontré le moindre navigateur ? Pourquoi, lorsqu'il se décide à écrire, Joseph Conrad ne choisit-il pas le polonais qui est sa langue maternelle ou le français qu'il maîtrise à la perfection, mais l'anglais qu'il a laborieusement appris en embarquant sur des navires marchands britanniques ? Ce sont là deux des interrogations qui ajoutent un parfum de mystère à une oeuvre romanesque immense et fascinante. "
De tous les écrivains de la mer, Joseph Conrad est celui qui a restitué avec le plus d'authenticité la vie à bord d'un navire au temps où les grands-voiliers croisaient la route des premiers vapeurs. Cette anthologie regroupe les oeuvres maritimes les plus remarquables d'un monstre sacré de la littérature anglaise dans des traductions révisées, dont
Le Frère-de-la-Côte, son roman ultime et méconnu.
Préface et dossier de Dominique Le Brun -
En huit romans, toute la grandeur de l'écrivain Pierre Loti, ce "désenchanté perpétuel".
" Au terme d'un siècle qui n'en finissait pas de finir un certain Julien Viaud qui allait devenir Pierre Loti ressentit le besoin violent d'immensités, de respirations profondes, de mondes merveilleux, de voluptés exotiques. De ses pérégrinations naquirent ces huit romans, parmi les plus célèbres, qui entraînent au loin, vers la Turquie, l'Orient, Tahiti, le Japon, mais aussi le Sénégal, la Bretagne la plus rude, le Pays Basque...
Loti redoutait par-dessus tout le temps à venir "où la terre sera bien ennuyeuse à habiter quand on l'aura rendue pareille d'un bout à l'autre, et qu'on ne pourra même plus essayer de voyager pour se distraire un peu.' "
Claude Gagnière
Préface de Claude Gagnière
Elu à l'Académie française en 1891 -
Depuis qu'un certain Alexandre Selkirk - modèle de Robinson Crusoé - a survécu seul sur une île déserte, nombreux ont été les témoignages d'hommes et de femmes confrontés au même défi : refuser la mort et dépasser ses propres limites... Certains ont marché pendant des jours sans boire à travers le désert (Saint-Exupéry), ou des semaines à travers la forêt équatoriale (Isabelle Godin, Yossi Ghinsberg). Certains ont dû escalader des crêtes à 5 000 mètres d'altitude, parfois sans équipement (Henri Guillaumet) ou avec une jambe cassée (Joe Simpson). Certains ont accepté de se nourrir de chair humaine (Nando Parrado, Pierre Viaud), d'autres de s'amputer eux-mêmes (Aron Ralston)... Tous, au retour, se sont posés la même question : qu'est-ce qui m'a fait avancer ? Leurs témoignages ici réunis permettent de répondre à ce mystère, dont l'alchimie est faite de courage et d'imagination, mais aussi d'amour.
-
Souvenirs d'un voyage dans la Tartarie et le Thibet ; l'Empire chinois
Evariste-régis Huc
- Omnibus
- 8 Mars 2018
- 9782258151208
« Nul lieu n'est impénétrable pour quiconque est animé d'une foi sincère. » Guidé par ce précepte, le père Evariste Huc entreprit en 1841 une extraordinaire expédition de dix années à travers la Mongolie et la Chine - en chariot, en jonque, à dos de mulet, à dos de chameau, sur ses jambes « rarement complaisantes », et même sur son derrière, seul moyen d'atteindre une vallée du haut d'une montagne glacée. Il fut le premier Français à atteindre Lhassa.
Adoptant le costume, la langue, les usages des contrées traversées, le père Huc affronta - avec une vigueur et un humour inaltérables - le sable, la boue, la neige, la glace, les naufrages, les ponts délabrés, les précipices, les brigands, les aubergistes, et les tracas de l'administration. Il brossa à son retour un tableau irremplaçable de la vie quotidienne en Chine.
Ce prodigieux témoignage, véritable roman d'aventures vécues, n'a cessé d'être réédité depuis sa parution. La présente édition réunit dans leur version intégrale les deux volumes des Souvenirs d'un voyage à travers la Tartarie et le Thibet pendant les années 1844, 1845 et 1846 et L'Empire chinois, récit du voyage de retour sous escorte armée.
-
Les îles de Jules Verne ne se ressemblent pas, mais elles se complètent.
A elles toutes, elles forment un vaste jeu de rôle dont les pions sont des hommes devenus surhommes face à la violence d'une nature hostile, et dont l'enjeu est la survie. Les îles de Jules Verne sont inquiétantes, délirantes, mais aussi initiatiques et nourricières. Inquiétantes comme l'île Lincoln (L'Ile mystérieuse), où d'étranges événements persuadent les voyageurs échoués qu'une puissance occulte conduit leur destinée.
Initiatiques comme l'île Phina (L'Ecole des Robinsons), où le jeune et tendre Godfrey doit oublier son éducation dorée pour devenir le nouvel Adam d'un monde vierge. Nourricières comme la Nouvelle-Suisse (Seconde Patrie), où deux familles naufragées changent à force d'ingéniosité leur île déserte en une terre promise. Délirantes comme Standard Island (L'Ile à hélice), où des milliardaires pensent se protéger de toute laideur et de toute pauvreté en se retranchant du monde...
En vain.
-
(Sept ans d'aventures au Tibet) Mystique, mythique, ésotérique, le voyage au Tibet a toujours été une aventure spirituelle avant d'être une découverte géographique : alors même que les premiers visiteurs cherchaient à nouer des relations commerciales, ils étaient frappés par l'omniprésence du sacré dans les hautes vallées de l'Himalaya. Aucun n'en est revenu indemne ; certains y sont morts, pour n'avoir pas fait demi-tour à temps. Aussi les récits de "Tibet - Vers la terre interdite" entraînent-ils le lecteur vers un ailleurs immatériel en même temps que sur les sentiers du mont Kailash.
Cette anthologie réunit les plus beaux d'entre eux, extraits et textes entiers. Elle est indispensable pour comprendre à la fois le pouvoir de fascination du Tibet sur les Occidentaux, et les raisons tragiquement politiques de l'interdit : caché derrière les montagnes les plus hautes du monde, le Tibet a toujours été un enjeu stratégique majeur, le miracle étant que, malgré (ou à cause?) des prédateurs qui rôdent , il ait toujours gardé son pouvoir d'envoûtement. Samuel Turner (1783) : un commerçant à la rencontre de l' enfant sacré. Les pères Huc et Gabet (1845) : deux missionnaires catholiques envoûtés par le lamaïsme.
Nicolas Prjevalsky (1880), Dutreuil de Rhins (1894), Ovché Narzounov (1900), Francis Younghusband (1903) : quand le Tibet devient un enjeu stratégique mondial - on appelle cette course à Lhassa "le grand jeu". Jacques Bacot (1910), Alexandra David-Néel (1923), Heinrich Harrer (1944): braver l'interdit pour trouver la paix intérieure.
-
Cent récitations de notre enfance
Albine Novarino-Pothier, Béatrice Mandopoulos, Michel Maïofiss
- Omnibus
- 15 Novembre 2018
- 9782258161344
Cent récitations éternelles, celles de notre enfance, celles qui rythment la vie de chaque génération sur le chemin de l'école, du collège et du lycée. Au fil du temps, elles resurgissent dans nos mémoires. Vous vous souvenez ? La Biche brame au clair de lune ; La Complainte du petit cheval blanc ; La Ronde autour du monde ; Le Hareng saur, sec, sec, sec... ; La Ballade des pendus ; Que sont mes amis devenus... ; Quand vous serez bien vieille ; Heureux qui comme Ulysse ; L'Albatros ; Le Dormeur du val... Et aussi La Fontaine, Hugo, Prévert, Desnos, Queneau...
Textes réunis par Albine Novarino-Pothier et Béatrice Mandopoulos. Un album illustré de photos noir et blanc de Michel Maïofiss.
-
La fascinante aventure des chasseurs de baleine racontée par ceux qui la vivaient.
En ce temps-là, chasser la baleine, c'était partir pour trois ou quatre années de mer. C'était affronter un géant à l'aide d'un simple harpon depuis un esquif qu'un seul coup de queue réduisait en pièces. En ce temps-là, chasser la baleine, c'était l'aventure. Une aventure que les massacres actuels sont en passe de faire oublier. C'est pourquoi ce dossier de témoignages vécus a une double valeur : somme de récits authentiques que les plus beaux romans de mer ne peuvent égaler, il est aussi la plus belle façon de perpétuer le souvenir de ces hommes " au coeur de bronze qui naviguaient sur des navires au coeur de chêne ".
Aux origines de Moby Dick : traduction inédite du témoignage des rescapés de l'Essex.
Le journal de bord d'un médecin français
Les souvenirs de Conan Doyle, baleinier dans les mers arctiques...
Présenté par Dominique Le Brun -
Dès 1840 Flaubert écrivait : « Tout ce qu'on dit sur la Corse est faux. » Alors, laissons la place à la littérature. Contes populaires ou légendes, romans, témoignages plongeant dans les racines de l'île, ce volume réunit des textes divers : écrits au XIXe ou au XXesiècle, par des Corses ou des continentaux ; mêlant la mémoire et l'imagination, ils composent une mélodie à plusieurs voix et permettront peut-être de comprendre un peu de son âme tumultueuse et passionnée, d'aborder de façon sensible les rives de cette « véritable montagne dans la mer », pour reprendre l'expression de Maupassant, de saisir la complexité et la subtilité de ses contrastes : bergers et pirates, fureur et silence, mystère et tradition, fidélité, vengeance et amitié.
-
Aucun roman d´aventure, aucun film à grand spectacle ne peut égaler les récits de ces explorateurs qui tous avaient quelque chose des chevaliers de la quête du Graal. Pour restituer la force et l´élan de leur voyage initiatique, Chantal Edel a réalisé un travail d´anthologie qui dépasse la simple réunion de récits d'exploration. Non seulement, elle a sélectionné les plus beaux témoignages, mais aussi et surtout, elle les a choisis et les présentés pour qu´ensemble ils forment une longue aventure dont le lecteur peut vivre toute les étapes comme s´il en était le héros : les cartes et les bagages, la marche à travers la savane écrasée de soleil, le bivouac autour d'un feu, la rencontre avec les chefs africains et les chasseurs d'esclaves, les rivières en crues et les murailles de terre, les échos de la brousse, les vagues immenses des troupeaux de gnous... Les sources du Nil ou l'Aventure absolue.
-
Au terme d'un siècle qui n'en finissait pas de finir, un certain julien viaud qui allait devenir pierre loti ressentit le besoin violent d'immensités, de respirations profondes, de mondes merveilleux, de voluptés exotiques.
De ses pérégrinations naquirent ces huit romans, parmi les plus célèbres, qui nous entraînent au loin, vers la turquie, l'orient, tahiti, le japon, mais aussi le sénégal, la bretagne la plus rude, le pays basque...
Loti redoutait par-dessus tout le temps à venir " où la terre sera bien ennuyeuse à habiter quand on l'aura rendue pareille d'un bout à l'autre, et qu'on ne pourra même plus essayer de voyager pour se distraire un peu ".
Cent ans ont passé.
Les voyages et les rêves de voyage ne sont plus ce qu'ils étaient. le moment est venu de redécouvrir pierre loti.
-
-
-
Jules verne et son époque : le ciel à conquérir, le monde à découvrir, l'eau à apprivoiser, l'énergie à dompter.
Jules verne et sa mythologie : les volcans qui donnent la vie et la lune qui donne le rêve. jules verne et ses obsessions : le pôle, l'abîme marin, le centre de la terre. jules verne, c'est tout cela mais c'est peut-être avant tout le peintre visionnaire des quatre éléments : l'eau, l'air, la terre, le feu. c'est par l'eau, la mer immense, que tout commence et c'est par elle que tout finit. au fond des gouffres oú rôde le nautilus (vingt mille lieues sous les mers), par-delà les banquises oú se cachent les pôles (voyages et aventures du capitaine hatteras ; le sphinx des glaces), sur les flots déchaînés (le chancellor).
Lorsque le rêve veut prendre son essor, c'est en l'air, dans l'infini du cosmos qu'il s'élance. vers cet astre lunaire tant chanté (de la terre à la lune ; autour de la lune) ou vers l'empire du soleil (hector servadac). et s'il redescend dans notre ciel, c'est pour mieux le dompter (robur-le-conquérant). tout comme cette terre que sillonnent des voyageurs soucieux de gagner un pari (le tour du monde en quatre-vingts jours) ou un but - des steppes russes (michel strogoff) aux déserts chinois (les tribulations d'un chinois en chine), en passant par les glaces de l'alaska (césar cascabel).
Et comme le feu, celui qui gronde dans les entrailles du monde (les indes noires), celui qui foudroie du haut du ciel (maître du monde), celui que les hommes ont apprivoisé (le château des carpathes), celui, enfin, qui plonge jusqu'au royaume des morts (voyage au centre de la terre).
-
-
Pierre, Louis, René, Guillaume... ils n'étaient pas des pêcheurs comme les autres. Ils n'avaient aps quinze ans quand ils se sont embarqués, et ont labouré vingt années durant les eaux glacées qui vont de l'Islande à Terre-Neuve. Ils racontent l'excitation du poisson qui mord et l'orgueil du retour les cales pleines, mais aussi, surtout, les mers démontées, les tempêtes de neige, la mort tapie dans la brume. On les appelait les "bagnards de l'océan" ou les "galériens des brumes" . Pourtant leurs souvenirs laissent une large place à la gaieté, à l'émotion, et même à la nostalgie. On comprend pourquoi, à écouter leurs voix d'hommes simples et dignes. D'anecdotes en portraits, ils décrivent une aventure comme il n'en existera plus jamais.
-
Aux sources du mythe, les témoignages vécus des hommes qui ont rencontré le véritable Moby Dick, et en sont revenus vivants.
Moby Dick, de Herman Melville, est plus qu'un chef-d'oeuvre, c'est un mythe. Depuis sa création en 1851, le cachalot blanc du capitaine Achab n'a jamais quitté l'imaginaire occidental. Géant paisible capable de se muer en démon justicier, il a longtemps incarné l'ambivalence de l'homme acharné à détruire un mal qu'il croit étranger et qui, en fait, est caché en lui-même. Il est aussi, à présent, une image de la nature, qui se retourne avec violence contre celui qui la blesse - c'est à ce titre qu'il inspire de nouveaux films, de nouveaux dessins animés, de nouveaux livres. Il est d'autant plus fascinant de découvrir que Moby Dick avait un modèle, ou plutôt des modèles, auxquels Melville emprunta beaucoup, jusque dans les moindres détails. Dans les récits authentiques réunis dans
Le Mystère de la baleine blanche ["baleine" était alors un nom générique] court le frisson du mystère qui fait la beauté éternelle de
Moby Dick, le mystère de l'animal dont l'intelligence apparaît soudain à l'égal de celle de l'homme.
Au sommaire, les témoignages des survivants du naufrage de l'
Essex, navire baleinier coulé par un cachalot ; le témoignage de l'homme qui se vantait d'avoir tué le véritable Moby Dick ; la traduction des chapitres du livre de Melville dont les détails sont empruntés à ces témoignages.