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Il y a vingt-cinq ans, dans la chine des Royaumes Combattants, était rédigé le premier traité sur l'art de la guerre. Pour atteindre la victoire, le stratège habile s'appuie sur sa puissance, mais plus encore le moral des hommes, les circonstances qui l'entourent et l'information dont il dispose. La guerre doit être remportée avant même d'avoir engagé le combat.
Sun Tzu ne décrit pas des batailles grandioses et le fracas des épées, pas plus qu'il n'énumère des techniques vouées à l'obsolescence : L'Art de la guerre est un précieux traité de stratégie, un grand classique de la pensée politique, et une leçon de sagesse à l'usage des meneurs d'hommes.
Autant que de courage, la victoire est affirme d'intelligence. -
La Guerre Sociale est un roman écrit par André Léo, le nom de plume de la militante et écrivaine française Léodile Champseix. Le livre a été publié pour la première fois en 1871. Il s'agit d'une oeuvre de fiction qui se situe dans le contexte de la Commune de Paris, un événement majeur de l'histoire de France au XIXe siècle.
Le roman La Guerre Sociale raconte l'histoire de plusieurs personnages qui ont été impliqués dans la Commune de Paris de 1871. Il explore les idéaux révolutionnaires de l'époque, les luttes politiques et sociales, ainsi que les sacrifices et les pertes subis par les communards. Le livre est un témoignage important de cette période de l'histoire française et reflète les préoccupations politiques et sociales de l'auteure.
André Léo était une militante engagée dans la lutte pour les droits des femmes et des travailleurs, et elle a participé activement à la Commune de Paris. Son roman La Guerre Sociale s'inscrit dans le contexte de son engagement politique et social. -
Le Manifeste du parti communiste (en allemand : Manifest der Kommunistischen Partei) est un essai politico-philosophique commandé par la Ligue des communistes (ancienne Ligue des justes), et rédigé en allemand par Karl Marx (qui intègre dans le texte certains passages écrits antérieurement par Friedrich Engels).
Écrit fin 1847 et début 1848 et publié en février 1848, il a été diffusé à l'origine sous le titre Manifest der kommunistischen Partei (Manifeste du parti communiste, bien qu'il n'existât alors aucun Parti communiste; le terme « parti » désignait à l'époque l'ensemble des courants partisans du communisme), et il a ensuite été republié sous le titre Manifeste communiste.
Contexte et portée Une commande de la Ligue des communistes À la fin des années 1840, la Ligue des justes représente la principale organisation du mouvement ouvrier. Si son évolution témoigne d'un dépassement des conceptions ouvriéristes des débuts et d'un besoin d'une conception scientifique de la révolution, sa doctrine demeure surtout inspirée par la philosophie allemande et un socialisme abstrait, ne fournissant pas de compréhension solide des structures économiques. En 1846, un Comité de correspondance communiste est créé à Bruxelles, notamment par Marx et Engels, afin d'établir un lien entre les différents groupes et de propager la conception matérialiste de l'histoire. Il finit par remporter l'adhésion de la majorité de la Ligue des justes. Lors du congrès tenu du 2 au 9 juin 1847, l'ancienne organisation se transforme en Ligue des communistes et adopte comme devise la future exhortation finale du Manifeste, « Prolétaires de tous les pays, unissez-vous ! » À l'issue de ce premier rassemblement, la Ligue ne rallie pas encore entièrement le socialisme scientifique mais encourage à la propagation des idées communistes, ce qui tranche avec les pratiques conspiratrices antérieures2.
Au sortir du congrès de juin, la Ligue diffuse un Projet d'une profession de foi qui prend la forme de 22 questions-réponses et invite les membres à en discuter. À la suite d'une proposition édulcorée de Moses Hess, Engels rédige un brouillon qui prend la forme d'une véritable profession de foi, Principes du communisme, dans lequel il expose plusieurs idées reprises dans le Manifeste, comme la conception du prolétariat et les conséquences de la révolution industrielle. Dans une lettre du 23-24 novembre adressée à Marx, il suggère d'abandonner la forme catéchistique et propose le terme de manifeste4. Lors du second congrès de la Ligue, qui se tient à Londres du 29 novembre au 8 décembre 1847, Marx et Engels emportent l'adhésion générale et sont chargés de la rédaction. Engels n'étant pas présent en même temps que Marx à Bruxelles, c'est surtout ce dernier qui élabore le texte. Néanmoins, au regard de leur collaboration, il est admis qu'ils en sont tous deux auteurs5. Il paraît de manière anonyme durant le mois de février 1848, dans le contexte des mouvements révolutionnaires à Paris, après l'interdiction d'un banquet républicain le 22 février 1848. Les auteurs en reconnaissent la paternité dans une réédition de 1872, sous le titre Manifeste communiste. -
L'État, son rôle historique est un texte politique de Kropoktine publié en 1906. Dans ce court texte, Kropotkine reprend des idées déjà familières aux habitués des Editions de Londres, les principes fédératifs régissant les communes du 12ème siècle, la démocratie participative, mais surtout il nous offre une autre philosophie de l'histoire, une vision radicalement différente de celle que des générations d'universitaires ont su nous imposer, avec leur tropisme intellectuel fondé sur l'Etat et le concept avant la réalité, l'abstrait avant le concret. Kropotkine nous propose un autre contrat social, un regard neuf sur une société de libre initiative, de libre entente, d'unions voulues et librement consenties. Un texte fondamental, essentiel.
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L'archiviste Frantz Funck-Brentano nous livre dans cet ouvrage richement documenté des éléments historiques importants basés sur les archives de la célèbre forteresse prison. En sept chapitres, nous découvrons la vie quotidienne à la Bastille mais aussi ses légendaires prisonniers comme l'Homme au Masque de fer. L'auteur nous invite aussi à un voyage avec les gens de lettres qui firent des séjours à la Bastille, avant de terminer son ouvrage sur le 14 juillet 1789, date qui transféra définitivement le nom de cette prison à la postérité.
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Es galt vor allem den Klassenkampf in der Tagesgeschichte zu verfolgen und an dem vorhandnen und täglich neu geschaffnen geschichtlichen Stoff empirisch nachzuweisen, daß mit der Unterjochung der Arbeiterklasse, welche Februar und März gemacht hatte, gleichzeitig ihre Gegner besiegt wurden - die Bourgeoisrepublikaner in Frankreich, die den feudalen Absolutismus bekämpfenden Bürger- und Bauernklassen auf dem gesamten europäischen Kontinent; daß der Sieg der honetten Republik in Frankreich gleichzeitig der Fall der Nationen war, die auf die Februarrevolution mit heroischen Unabhängigkeitskriegen geantwortet hatten; daß endlich Europa mit der Besiegung der revolutionären Arbeiter in seine alte Doppelsklaverei zurückfiel, in die englisch-russische Sklaverei. Der Junikampf zu Paris, der Fall Wiens, die Tragikomodie des Berliner November 1848, die verzweifelten Anstrengungen Polens, Italiens und Ungarns, Irlands Aushungerung - das waren die Hauptmomente, in denen sich der europäische Klassenkampf zwischen Bourgeoisie und Arbeiterklasse zusammenfaßte, an denen wir nachwiesen, daß jede revolutionäre Erhebung, mag ihr Ziel noch so fernliegend dem Klassenkampf scheinen, scheitern muß, bis die revolutionäre Arbeiterklasse siegt, daß jede soziale Reform eine Utopie bleibt, bis die proletarische Revolution und die feudalistische Kontrerevolution sich in einem Weltkrieg mit den Waffen messen. In unsrer Darstellung, wie in der Wirklichkeit, waren Belgien und die Schweiz tragikomische karikaturmäßige Genrebilder in dem großen historischen Tableau, das eine der Musterstaat der bürgerlichen Monarchie, das andre der Musterstaat der bürgerlichen Republik, beides Staaten, die sich einbilden, ebenso unabhängig von dem Klassenkampf zu sein wie von der europäischen Revolution.