La joie du surf (Préface Fanny Quément)

Traduit de l'ANGLAIS (ETATS-UNIS) par FANNY QUEMENT

À propos

"La joie du surf" présente toutes les qualités des meilleurs textes de non-fiction ou de journalisme littéraire. L'alliance de la poésie et de la précision technique est particulièrement intéressante, notamment lorsque London pose cette jolie question : "Qu'est- ce qu'une vague ?". Si la "maîtrise de la matière" est cruciale dans la pratique de ce sport, London affirme que le secret du surf repose en réalité moins sur la force et la domination des vagues que sur une absence de résistance à leur déferlement, c'est-à- dire une forme de souplesse, d'abandon et d'humilité. Il s'agit également d'un texte majeur dans l'histoire de ce sport, qui fait désormais partie de la culture populaire occidentale.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Jack London

  • Traducteur

    FANNY QUEMENT

  • Éditeur

    Rivages

  • Distributeur

    Union Distribution

  • Date de parution

    20/03/2024

  • Collection

    Litterature Americaine

  • EAN

    9782743662523

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    80 Pages

  • Longueur

    17 cm

  • Largeur

    11 cm

  • Épaisseur

    0.5 cm

  • Poids

    54 g

  • Diffuseur

    Actes Sud

  • Support principal

    Poche

Jack London

Né le 12 janvier 1876 à San Francisco, Jack London connaît une enfance misérable et entame à quinze ans une vie d'errance. Il exerce de nombreux métiers pour survivre : marin (jusqu'au Japon et à la Sibérie), blanchisseur, ouvrier dans une conserverie de saumon, pilleur d'huîtres, chasseur de phoques, employé dans une fabrique de jute... Après avoir participé à une marche de chômeurs vers Washington, il adhère au socialisme. Devenu vagabond, il est arrêté fin 1894 et passe un mois dans un pénitencier. En 1897, il participe à la ruée vers l'or du Klondike. Atteint du scorbut, il est rapatrié. C'est le début de sa prolifique carrière d'écrivain. À sa mort en 1916, des suites d'un empoisonnement du sang, il laisse quelque cinquante livres, parmi lesquels L'Appel de la forêt (1903), Croc-Blanc (1906) et Martin Eden (1909).

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