À propos

Ce colloque extrêmement riche et structuré donne successivement la parole au philosophe, au psychanalyse, à l'anthropologue et même à une lecture avisée d'Homère. Il interroge également les pratiques individuelles et collectives à partir d'approches physiologiques, psychologiques et sociologiques, et se consacre enfin aux expériences artistiques : peinture, photographie, cinéma, théâtre, littérature, et aux rapports entre l'art et la nuit. La quatrième partie propose divers éclairages sur les Enjeux économiques et politiques du développement des activités nocturnes, notamment dans les villes, et ouvre le débat prospectif sur l'économie de la nuit et les nouvelles mobilités. En conclusion, l'alternative est laissée ouverte : banalisation de la nuit grignotée par l'économie du jour ou maintien de la spécificité nocturne en termes de services, d'économie, de culture ou d'identité ? Il élargit la réflexion à la nuit urbaine, active ou assoupie , festive ou laborieuse, contrastée ou homogène, dangereuse ou policée, spatialement polarisée ou diffuse. Entre insécurité et liberté, comment la rendre accessible et hospitalière, comment en faire un espace de créativité et de projet ?


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Marianne Rubinstein

  • Éditeur

    Phebus

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    26/08/2005

  • EAN

    9782752900999

  • Disponibilité

    Manque sans date

  • Nombre de pages

    122 Pages

  • Longueur

    20.5 cm

  • Largeur

    14 cm

  • Épaisseur

    0.9 cm

  • Poids

    160 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Marianne Rubinstein

Marianne Rubinstein enseigne l'économie à l'université Denis Diderot, Paris 7. Elle est l'auteur de Tout le monde n'a pas la chance d'être orphelin et C'est maintenant du passé chez Verticales et L'économie pour toutes (2014) à La Découverte. Côté romans elle a publié En famille chez Phébus, Journal de Yaël Koppman chez Sabine Wespieser et chez Albin Michel en 2012 Les arbres ne montent pas jusqu'au ciel.

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