La Corée en feu

Traduit de l'ANGLAIS (ETATS-UNIS)

À propos

En 1904 éclate la première guerre de Corée entre Russes et Japonais. Jack London en fera le reportage pour le quotidien The Examiner de San Francisco. Par la volonté des Japonais hostiles à sa mission, la ligne de feu apparaît moins souvent que prévu. Jack London livre une chronique flamboyante de ce qu'il voit. Il apparaît avec une énergie indomptable, généreux comme un Robin des Bois, lucide comme un prophète. Il est d'abord contraint d'acheter une jonque pour gagner le continent, puis il parcourt la Corée de Séoul à Pying Yan à pied sur des chemins couverts de boue liquide ou à cheval aussi. Durant son séjour, il observe les souffrances des civils et des soldats, et prend même le temps de sermonner un féodal coréen qui détourne l'argent attendu par des paysans pour leurs fournitures à l'armée japonaise.
Un témoignage saisissant.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Jack London

  • Éditeur

    Bartillat

  • Distributeur

    Interforum

  • Date de parution

    20/02/2025

  • Collection

    Litterature

  • EAN

    9782841007837

  • Disponibilité

    À paraître

  • Longueur

    20 cm

  • Largeur

    12.7 cm

  • Épaisseur

    2 cm

  • Poids

    264 g

  • Diffuseur

    Interforum

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Jack London

Né le 12 janvier 1876 à San Francisco, Jack London connaît une enfance misérable et entame à quinze ans une vie d'errance. Il exerce de nombreux métiers pour survivre : marin (jusqu'au Japon et à la Sibérie), blanchisseur, ouvrier dans une conserverie de saumon, pilleur d'huîtres, chasseur de phoques, employé dans une fabrique de jute... Après avoir participé à une marche de chômeurs vers Washington, il adhère au socialisme. Devenu vagabond, il est arrêté fin 1894 et passe un mois dans un pénitencier. En 1897, il participe à la ruée vers l'or du Klondike. Atteint du scorbut, il est rapatrié. C'est le début de sa prolifique carrière d'écrivain. À sa mort en 1916, des suites d'un empoisonnement du sang, il laisse quelque cinquante livres, parmi lesquels L'Appel de la forêt (1903), Croc-Blanc (1906) et Martin Eden (1909).

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