Le Cabaret de la dernière chance : Un roman de Jack London (IMPRESSION A LA DEMANDE)

À propos

«John Barleycorn», paru en France sous le titre «Le Cabaret de la dernière chance», est une autobiographie romancée. Ces souvenirs alcooliques étaient destinés à appuyer les partisans de la prohibition. A la parution en feuilleton dans le Saturday Evening Post, tous les antialcooliques s'en servent comme d'un étendard. Ni autobiographie, ni mémoires, ni récit, mais tout à la fois, le narrateur nous conte comment, tout au long de sa vie, une sorte de double l'accompagna en permanence: John Barleycorn, qui ,en Amérique, est la personnification de l'alcool. Pourquoi boiton, comment, dans quelles circonstances. Faits et geste du whisky, méfaits et geste de l'alcoolique. «Dehors, nous brisions les goulots contre la bordure des trottoirs, et nous buvions.» Comment faire pour arrêter. Estil possible de seulement y penser? «Tous les chemins que je suivais étaient détrempés d'alcool.»


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  • Auteur(s)

    Jack London

  • Éditeur

    Culturea

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    22/11/2022

  • EAN

    9791041917013

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    236 Pages

  • Longueur

    22 cm

  • Largeur

    17 cm

  • Épaisseur

    1.3 cm

  • Poids

    374 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Jack London

Né le 12 janvier 1876 à San Francisco, Jack London connaît une enfance misérable et entame à quinze ans une vie d'errance. Il exerce de nombreux métiers pour survivre : marin (jusqu'au Japon et à la Sibérie), blanchisseur, ouvrier dans une conserverie de saumon, pilleur d'huîtres, chasseur de phoques, employé dans une fabrique de jute... Après avoir participé à une marche de chômeurs vers Washington, il adhère au socialisme. Devenu vagabond, il est arrêté fin 1894 et passe un mois dans un pénitencier. En 1897, il participe à la ruée vers l'or du Klondike. Atteint du scorbut, il est rapatrié. C'est le début de sa prolifique carrière d'écrivain. À sa mort en 1916, des suites d'un empoisonnement du sang, il laisse quelque cinquante livres, parmi lesquels L'Appel de la forêt (1903), Croc-Blanc (1906) et Martin Eden (1909).

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