Les morts concentriques

Traduit par MARIE PICARD

À propos

La folle cupidité des hommes des grandes cités, la rouerie des trafiquants du Klondike, les aspirations bourgeoises des indigènes d'un atoll du Pacifique. Les décors des trois nouvelles de ce recueil sont aussi différents que chers à London ; il y met en scène des personnages aux prises avec leurs passions, nobles ou mesquines, et confrontés à la violence éternelle du monde qui les entoure.

Ce volume contient : Les Morts concentriques, La Face perdue et La Maison de Mapuhi. Ces nouvelles avaient été choisies en leur temps par Jorge Luis Borges pour donner la pleine mesure de la diversité du talent de London, dans le cadre de la Bibliothèque de Babel dont il était l'éditeur.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Jack London

  • Traducteur

    MARIE PICARD

  • Éditeur

    Sillage

  • Distributeur

    Sillage

  • Date de parution

    11/04/2013

  • EAN

    9791091896078

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    96 Pages

  • Longueur

    16.8 cm

  • Largeur

    11.5 cm

  • Épaisseur

    1 cm

  • Poids

    100 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Jack London

Né le 12 janvier 1876 à San Francisco, Jack London connaît une enfance misérable et entame à quinze ans une vie d'errance. Il exerce de nombreux métiers pour survivre : marin (jusqu'au Japon et à la Sibérie), blanchisseur, ouvrier dans une conserverie de saumon, pilleur d'huîtres, chasseur de phoques, employé dans une fabrique de jute... Après avoir participé à une marche de chômeurs vers Washington, il adhère au socialisme. Devenu vagabond, il est arrêté fin 1894 et passe un mois dans un pénitencier. En 1897, il participe à la ruée vers l'or du Klondike. Atteint du scorbut, il est rapatrié. C'est le début de sa prolifique carrière d'écrivain. À sa mort en 1916, des suites d'un empoisonnement du sang, il laisse quelque cinquante livres, parmi lesquels L'Appel de la forêt (1903), Croc-Blanc (1906) et Martin Eden (1909).

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